Histoire des Girondins, Volume 1Hachette, 1881 - France |
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actes âme applaudissements aristocratie armée assemblée avaient Bailly Barnave Bouillé Brissot c'était Camille Desmoulins Champ de Mars choses citoyens clergé club des Jacobins clubs cœur commandement comte de Fersen conspiration constitutionnel cour crime culte Danton décret député despotisme devait dévouement discours émigrés ennemis esprit eût factieux factions famille royale fanatisme Fayette femme force foule garde nationale génie Girondins gouvernement guerre haine hommes Jacobins jeune jour l'âme l'armée l'Assem l'Assemblée constituante l'Assemblée nationale l'empereur l'empire l'esprit l'Europe l'homme Lameth législative liberté Louis XVI lui-même Madame Élisabeth mains ment ministres Mirabeau Mme Roland monarchie municipalité n'avait n'était nation noblesse officiers paroles passé passions patrie patriotes pensée Pétion peuple philosophie politique populaire porter pouvait pouvoir prêtres prince Prusse puissance qu'un raison reine république respect reste révolution révolutionnaire Robespierre royauté s'était Sainte-Menehould sang secret semblait sentiment serait seul soldats sort Stenay tion tribune triomphe trône troupes Tuileries Varennes Vergniaud voitures voix Voltaire voulait
Popular passages
Page 252 - Majestés, les moyens les plus efficaces relativement à leurs forces, pour mettre le roi de France en état d'affermir, dans la plus parfaite liberté, les bases d'un gouvernement monarchique, également convenable aux droits des souverains et au bien-être de la nation française.
Page 435 - C'est à l'Assemblée nationale, c'est au Roi, c'est à tous les administrateurs, c'est à la Patrie entière à s'envelopper la tête pour n'être pas de complaisants ou de silencieux témoins d'un outrage fait à toutes les autorités et à la Patrie entière. C'est le livre de la Loi qu'il faut couvrir, lorsque ceux qui en ont déchiré les pages à coups de fusil reçoivent des honneurs civiques.
Page 146 - Les grands ne nous paraissent grands que parce que nous sommes à genoux... Levons-nous!...
Page 244 - ... le reste de la monarchie. Je viens de m'adresser à l'empereur, à l'impératrice de Russie, aux rois d'Espagne et de Suède, et je leur présente l'idée d'un congrès des principales puissances de l'Europe...
Page 252 - Prusse, ayant entendu les désirs et les représentations de Monsieur et de M. le comte d'Artois , déclarent conjointement qu'elles regardent la situation où se trouve actuellement Sa Majesté le roi de France , comme un objet d'un intérêt commun à tous les souverains de l'Europe...
Page 253 - Alors, et dans ce cas, Leurs dites Majestés l'empereur et le roi de Prusse sont résolues d'agir promptement, d'un mutuel accord, avec les forces nécessaires pour obtenir le but proposé et commun. En attendant, elles donneront à leurs troupes les ordres convenables pour qu'elles soient à portée de se mettre en activité.
Page 311 - Tous ceux qui font quelque usage de la raison, et en qui le patriotisme n'est pas un violent désir de dominer, voient avec beaucoup de chagrin que les dissensions des prêtres aient pu occuper les premiers moments de l'Assemblée nationale, et surtout que l'on ait fait prendre à cette question une tournure aussi alarmante pour la tranquillité de l'empire. Il serait temps 1 Cet article fut publié dans le Moniteur du 22 octobre 1791.
Page 210 - Révolution venaient trop souvent affliger mon cœur, j'espérais que la loi reprendrait de la force entre les mains des nouvelles autorités , et qu'en approchant du terme de vos travaux , chaque jour lui rendrait ce respect sans lequel le peuple ne peut avoir ni liberté ni bonheur. « J'ai persisté longtemps dans cette espérance, et ma résolution n'a changé qu'au moment où elle m'a abandonné. Que chacun se rappelle...
Page 305 - Est-il des circonstances dans lesquelles les droits naturels de l'homme puissent permettre à une nation de prendre une mesure quelconque relative aux émigrations? » La nation française se trouve-t-elle dans ces circonstances ? » Si elle s'y trouve , quelles mesures lui convient-il de prendre?
Page 350 - Cependant je me rappelle avoir vu avec beaucoup d'émotion un jeune peintre nommé Taboral, qui venait parfois chez mon père; il avait peut-être vingt ans; une voix douce , une figure tendre , rougissant comme une jeune fille. Lorsque je l'entendais dans l'atelier, j'avais toujours un crayon ou autre chose à y aller chercher; mais comme sa présence m'embarrassait autant qu'elle m'était agréable, je ressortais plus vite que je n'étais entrée, avec un battement de cœur et un tremblement que...