ProseHenri Bornecque Larousse, 1924 - French literature |
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... vrai que le lieu était plus grand que d'une prison commune ; aussi était - il plus grand que prisonniers communs . MÉMOIRES . ( 1490 ou 95-1553 ) RABELAIS I. Manière de vivre à l'abbaye de Thélème1 Toute leur vie était employée , non ...
... vrai que le lieu était plus grand que d'une prison commune ; aussi était - il plus grand que prisonniers communs . MÉMOIRES . ( 1490 ou 95-1553 ) RABELAIS I. Manière de vivre à l'abbaye de Thélème1 Toute leur vie était employée , non ...
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... vrai d'avec le faux , pour voir clair en mes actions et marcher avec assurance en cette vie . Il est vrai que pendant que je ne faisais que considérer les mœurs des autres hommes , je n'y trouvais guère de quoi m'assurer , et que j'y ...
... vrai d'avec le faux , pour voir clair en mes actions et marcher avec assurance en cette vie . Il est vrai que pendant que je ne faisais que considérer les mœurs des autres hommes , je n'y trouvais guère de quoi m'assurer , et que j'y ...
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... vrai ; il me fait tant de civilités et tant de compliments , que je ne saurais jamais lui demander de l'argent . SGANARELLE . Je vous assure que toute sa maison périrait pour vous ; et je voudrais qu'il vous arrivât quelque chose , que ...
... vrai ; il me fait tant de civilités et tant de compliments , que je ne saurais jamais lui demander de l'argent . SGANARELLE . Je vous assure que toute sa maison périrait pour vous ; et je voudrais qu'il vous arrivât quelque chose , que ...
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... vrai . MARTINE . Et vous êtes un sot de venir vous fourrer où vous n'avez que faire . MONSIEUR ROBERT . Il passe ensuite vers le mari , qui pareille- ment lui parle toujours en le faisant reculer , le frappe avec le même bâton et le met ...
... vrai . MARTINE . Et vous êtes un sot de venir vous fourrer où vous n'avez que faire . MONSIEUR ROBERT . Il passe ensuite vers le mari , qui pareille- ment lui parle toujours en le faisant reculer , le frappe avec le même bâton et le met ...
Page 44
... vrai . Mais quoi ! on ne prévoyait pas les choses . De grâce , monsieur , dépêchez . SCAPIN . - GÉRONTE . - Tiens , voilà la clef de mon armoire . SCAPIN . - GÉRONTE . SCAPIN . GÉRONTE . qui Bon . Tu l'ouvriras . Fort bien . Tu ...
... vrai . Mais quoi ! on ne prévoyait pas les choses . De grâce , monsieur , dépêchez . SCAPIN . - GÉRONTE . - Tiens , voilà la clef de mon armoire . SCAPIN . - GÉRONTE . SCAPIN . GÉRONTE . qui Bon . Tu l'ouvriras . Fort bien . Tu ...
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ANTHOL avez Azelma BAYARD beau belle Bergeret bêtes bois c'était cents chambre cher cheval chose ciel cœur Colin corps Cosette coup Crainquebille devant Dieu dire discours DON JUAN drapeau ÉMILE AUGIER ÉMILE ZOLA enfants enfin êtes Fabrice faisait femme fille GASTON gens GÉRONTE gloire Gourville HARPAGON homme HONORÉ DE BALZAC j'ai j'étais jamais Jeannot jour L'AÏEUL l'esprit L'ONCLE laisser législative lettres Louis Louis XIV madame main MAÎTRE DE PHILOSOPHIE MAÎTRE JACQUES manger ment misère monde MONSIEUR DIMANCHE monsieur Grandet MONSIEUR ROBERT mort mourir n'avait Napoléon Ier nuit parler passer pensées père père Goriot petite peuple pieds plaisir poésie poupée premier prince PROSE puissance exécutrice qu'un raison regard reste rien Riquet Romains sais SCAPIN semble sentir sera seul SGANARELLE soir soldats sorte sous-préfet Tarascon Tartarin Tartarin de Tarascon terre tête Thénardier trouve vais VALÈRE Vatel venir veux voilà vrai yeux Yonville Zadig