Page images
PDF
EPUB

Solliciter. Qui sollicite pour les autres a la confiance d'un homme qui demande justice, I, 426. Sots. Comment ils jugent les livres, I, 216.

Ne

font rien comme un homme d'esprit, 252. C'est le rôle d'un sot d'être importun, 303. Les provinciaux et les sots sont toujours prêts à se fâcher, 325 et suiv. Rire des gens d'esprit, c'est le privilége des sots, 326. Portrait du sot, II, 121. Est celui qui n'a pas assez d'esprit pour être fat, 150. Ne se tire jamais

du ridicule; c'est son caractère, 151. embarrassé de sa personne, 152.

Est

Sottise. Il n'y a rien qui rafraîchisse le sang comme d'avoir su éviter de faire une sottise, II, 86. Soulager. Tel soulage les misérables qui laisse son fils dans l'indigence, II, 164.

Souverain. Voyez Prince.

Stoïcisme. Jeu d'esprit, idée semblable à la république de Platon, II, 58 et suiv.

Stupide. Est un sot qui ne parle point, en cela plus supportable que le sot qui parle, II, 151.

Style. Comment il est perfectionné, I, 206. — Du beau style, 215. Du style vain et puéril, 236.

Il le faut éviter, ibid.

Sublime. Qu'est-ce que le sublime? 1, 231.

Entre les grands génies, les plus élevés en sont seuls capables, 232.

Suffisant. Ce qui le fait, II, 152.

Synonymes. Leur définition, I,

231.

T.

Talents. L'universalité de talents n'est pas comprise par les esprits bornés, I, 251.

Tempérament. Il en est qui ne sont susceptibles que de politesse; d'autres servent aux grands talents, ou à une vertu solide, I, 319.

Temps. Le regret de l'avoir mal employé ne conduit pas toujours à en faire un meilleur usage, II, 81. Ceux qui l'emploient mal sont les premiers à se plaindre de sa brièveté, 171 et Ceux qui en font bon usage en ont de

suiv.

-

reste, ibid.

TERENCE. Jugement sur cet auteur, I, 218. Testament. Inconstance des hommes dans leurs dispositions testamentaires, II, 239 et 240 Textes. Avantages que procure l'étude des textes pour tous genres d'érudition, II, 249.

Théâtre. D'où vient que l'on rit si librement au théâtre, et que l'on a honte d'y pleurer, I, 225. Ses mœurs doivent être décentes et instructives, 226.

THEOPHILE. Jugement sur cet auteur, I, 219. THERSITE. Jetez-moi dans les troupes comme un simple soldat, je suis Thersite; mettez-moi à la tête d'une armée dont j'aie à répondre à toute l'Europe, je suis Achille, II, 19. Tragédie. Ses effets, 1, 227.

Traits (les). Découvrent la complexion et les mœurs, 1, 356.

Travail. Comment on juge celui d'autrui, II, 158. Tyrannie. Il ne faut ni art ni science pour l'exercer, II, 29. — C'est la manière la plus horrible et la plus grossière de se maintenir ou de s'agrandir, ibid.

U.

Usages. Souvent bizarres et tyranniques, II, 223, 224. Divers selon les pays, 250, 251.

V.

Valoir. Se faire valoir par des choses qui ne dépendent que de soi seul, I, 240.

Vanité. La fausse modestie est le dernier raffinement de la vanité, II, 88. La fausse gloire est son écueil, ibid.

Venger (se). C'est par foiblesse qu'on songe à se venger, et c'est par paresse qu'on ne se venge point, I, 298.

Vérité. N'est pas à l'homme; elle vient du ciel toute faite, pour ainsi dire, et dans sa perfection, II, 282. Vers. Le peuple écoute avidement les vers pompeux; et à mesure qu'il les comprend moins, il les admire davantage, I, 204.

ly

-

Vertu. Vivement touché des choses rares, pourquoi l'est-on si peu de la vertu? I, 245. Il a une fausse vertu qui est hypocrisie, 273. Est égale et ne se dément point, II, 125. Qu'elle soit à la mode, qu'elle n'y soit plus, elle demeure vertu, 198. Seule va au delà des temps, 216.

Vices. Point de vice qui n'ait une fausse ressemblance avec quelque vertu, et qui ne s'en aide, I, 300. La fausseté, vice de cour, 390.- Des vices innés et des vices acquis, II, 73.

d'une dépravation du cœur, 151.

Partent

Vie. Sa brièveté, I, 297. Se passe toute à désirer, II, 74. Misérable, elle est pénible à supporter; heureuse, il est horrible de la perdre, Rien que les hommes aiment mieux, et qu'ils ménagent moins, ibid. Est un sommeil,

78.

[ocr errors]
[ocr errors]

Le

81. Vieillards. C'est une grande difformité dans la nature qu'un vieillard amoureux, II, 107. souvenir de la jeunesse est tendre dans les vieillards, 108. En eux une trop grande négligence, comme une excessive parure, multiplie leurs rides, 109. Le vieillard est d'un commerce difficile, s'il n'a beaucoup d'esprit, ibid. S'accommode mal de la solitude, 110. Vieillesse. L'on craint la vieillesse, que l'on n'est pas sûr de pouvoir atteindre, II, 80. L'on espère de vieillir et l'on craint la vieillesse; on aime la vie, on fuit la mort, ibid.

Ville. La petite ville, I, 324, 325.

[ocr errors]

Coteries de la ville, 371. On s'élève à la ville dans une indifférence grossière des choses rurales, 386.

Otez les passions, l'intérêt, l'injustice, quel calme dans les plus grandes villes! II, 76. Visage. Un beau visage est le plus beau de tous les spectacles, I, 261.

Vivre. Qui a vécu un seul jour a vécu un siècle, II, 287. VOITURE. Jugement sur ses Lettres, I, 221. · Était né pour son siècle, II, 200. Volupté. Elle naît avec l'homme, et ne finit qu'avec lui, II, 106. Elle est pour lui le fruit de la bonne fortune, ou le dédommagement de la mauvaise, ibid.

X.

Xantippe, ou le favori imprévu, I, 419.

Z.

Zélie, ou la dévote enrichie, II, 212 et suiv.
Zélotès, ou l'approbateur tardif, I, 210.

ZENOBIE, reine de Palmyre. Magnificence de son

palais, I, 364-366.

Zoïle, ou l'auteur jaloux, I, 209.

FIN DE LA TABLE ANALYTIQUE.

« PreviousContinue »