| Jacques Bénigne Bossuet - 1748 - 588 pages
...ne voit plus que carnage : le fang enivre le foldat , jufqu'à ce que le grand Prince , qui ne put voir égorger ces lions comme de timides brebis , calma les courages émus » & joignit au plaifir de vaincre celui de pardonner. Quel fut alors l'étounement de ces vieilles... | |
| Jacques Bénigne Bossuet (évêque.) - 1754 - 530 pages
...ne voit plus que carnage : le fang enyvre le foldat v jufqu'à ce que le grand Prince , qui ne put voir égorger ces lions comme de timides brebis , calma; les courages émus ; & joignit au plaifir de vaincre celui de pardonner. Quel fut alors l'étonnement de ces vieilles... | |
| Jacques Bénigne Bossuet - Fondo antiguo - 1785 - 470 pages
...décharge jnet les nôtres en furie : on ne voit plus que carnage : le fang enivre le foldat , jufqu'à ce que le grand Prince , qui ne peut voir égorger, ces lions comme de timides brebis , câlina les courages; cmus ; & joignit au plaifir de vaincre celui de pardonner. Quel fut alors r,ctonnement... | |
| Encyclopedias and dictionaries, French - 1786 - 748 pages
...voit » plus que carnage : le fang enivre le foldat , » jufqu'à ce que le grand prince, qui ne put voir » égorger ces lions comme de timides brebis , « calma les courages émus , & joignit au plaifir » de vaincre celui de pardonner. Quel fut alors » l'étonnement de ces vieilles... | |
| J. L. Ferry - Orators - 1789 - 662 pages
...: on ne voit plus que car» nage ; le fang enivre le foldat ; mais le grand » Prince , qui ne put voir égorger ces lions *> comme de timides brebis , calma les courages » émus , & ajouta au plaifir de vaincre celui n de pardonner. -•> • De la. Réfutation & de la Confirmation.... | |
| D. Ordinaire - Mythology - 1899 - 336 pages
...de la force et du courage , comme l'agneau est celui de la douceur. « Ce grand prince, qui ne put voir égorger ces lions comme de timides brebis, calma les courages émus. » (Bossuet.} Voilà une image parfaitement juste , comme toutes les images populaires. On comprend... | |
| 1805 - 466 pages
...surprise de quelque nouvelle attaque : » leur effroyable décharge met les nôtres en furie : ». on ne voit plus que carnage; le sang enivre le » soldat, jusqu'à ce que le vainqueur, qui ne put » voir égorger ces lions comme de timides bre» bis, calma les courages émus,... | |
| Louis Joseph de Bourbon prince de Condé, Louis Joseph de Condé - France - 1806 - 394 pages
...craignent la surprise de quelque nouvelle attaque : leur effroïable décharge met les nôtres en furie ; on ne voit plus que carnage ; le sang enivre le Soldat, jusqu'à ce que le Grand Prince , qui ne put voir égorger ces lions comme de timides brebis , calma les courages émus , et joignit au plaisir... | |
| Louis Joseph de Bourbon prince de Condé - France - 1806 - 422 pages
...craignent la surprise de quelque nouvelle attaque : leur effroïable décharge met les nôtres en furie ; on ne voit plus que carnage ; le sang enivre le Soldat, jusqu'à ce que le Grand Prinçp, qui ne put voir égorger ces lions comme de timides bi-ebis , calma les courages émus, et... | |
| François-Joseph-Marie Fayolle - 1807 - 346 pages
...craignent la surprise de quelque nouvelle attaque : leur effroyable décharge met les nôtres en furie : on ne voit plus que carnage ; le sang enivre le soldat, jusqu'à ce que le vainqueur , qui ne put voir égorger ces lions comme de timides brebis, calma les courages émus, et... | |
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