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dans son genre, être opposé aux plus grands orateurs, aux plus grands historiens de l'antiquité, IV, 386, notes a et b.

BOUCINGO, marchand de vin, I, 108, note b.

BOUHOURS (le père), jésuite. Fait une raillerie à Antoine, jardinier

de Despréaux, II, 140, note b. Son avis sur deux locutions qui partagent l'académie françoise, IV, 399, note a.

BOUILLON. Note sur ce poëte, III, 7, note a. Fragments de sa nouvelle de Joconde, 33, note a, 37, notes a et b.

BOURDALOUE. Despréaux se déclare son écolier ou plutôt son singe, dans l'art de tracer des portraits, I, 294, note 1. Des illustres françois, c'est celui qu'il admire le plus après le docteur Arnauld, II, 527, note d. Jugement très fin de ce grand prédicateur sur les sermons de l'abbé Charles Boileau, IV, 266, note b. Il prend mal une plaisanterie des Despréaux, 441, note 1.

BOURDELIN (François). Choisi par Despréaux comme son élève à l'académie des inscriptions et belles-lettres, IV, 412, note b. BOURSAULT. Critique plusieurs vers de Despréaux, I, 51, note 1, 52, note a, 112, note a, 115, note c. Se venge d'un trait satirique par une comédie, 173, note 2. Se plaint de ce que son adversaire s'est opposé à la représentation de cette pièce, 227, note 1. Son nom est remplacé dans la satire Ix par celui de Haynaut (Hesnault), 238, note a; par celui de Pradon, 258, note a; et par celui de Pérost (Charles Perrault), dans le mo chant du Lutrin, II, 377, note a. Il va voir Despréaux à Bourbon, et lui offre sa bourse, IV, 90, note 1. Met les belles actions de ce dernier audessus de ses ouvrages, 353, note a.

BOURVALAIS. Note sur cet exacteur que Despréaux avoit d'abord placé dans la satire xio, I, 346, note b.

BOUTIGNI (François Levayer de), maître des requêtes. On présume que la Dissertation critique sur Joconde lui est adressée, III, 3, note b.

BOYER, de l'académie françoise. Raillerie de Despréaux sur ce poëte, I, xlvij, note a. Note biographique sur lui, II, 281, note 1. Épigramme dont il est l'objet, 555, note b. Prédiction sur sa tragédie de Judith, IV, 281, note c.

BOZE (Gros de). Avance un fait peu vraisemblable, I, ij. N'est pas

d'accord avec Louis Racine sur la manière dont Despréaux renonça à la profession d'avocat, xlvij. Nous apprend que celui-ci suivit quelque temps les cours de la Sorbonne, xlviij. N'est pas exact dnas ce qu'il dit de l'admission de Despréaux à l'académie françoise, xlvij, note c. S'accorde à peu près avec Brossette sur l'emploi que le satirique fit des revenus d'un prieuré dont il se démit, II, 510, note 1. Son éloge de Tourreil cité, IV, 259, note a. Son opinion sur J.-B. Rousseau, 389, note c. Dissertation sur un ancien monument pour un Taurobole, 539, note a. BRANTOME, I, 311, note c.

BRÉBEUF. Despréaux avoue qu'il y a du génie dans ses écrits, I, 14.
Note biographique sur ce poëte, ibidem. La Pharsale approuvée
en tous lieux, II, 101, note 1. Vers emphatique cité, 178, note a.
Ce poëme est chéri des provinces, vo chant du Lutrin, 429, note a.
Étincelle au milieu de son fatras obscur, 530.
BRÉCOURT, auteur et comédien. Despréaux lui fait une réponse pi-
`quante, II, 291, note d. La vieille servante de Molière ne prend
point le change sur une des pièces de Brécourt, III, 158, note 1,
BRIENNE (M. de ), secrétaire d'état, veut frapper l'abbé Cassagne,
I, 112,
note a. Épigramme latine contre lui, II, 562, note d. Note
biographique, IV, 1, note a:

BRIOCHÉ, fameux joueur de marionnettes, II, 96, note c.
BRODEAU. Note sur ce jurisconsulte, I, 89, 1.

BROSSETTE. Note biographique sur ce commentateur, I, ij. Observations sur son commentaire, ix. S'est borné à consulter les éditions les plus connues des OEuvres de Despréaux, xxxv. Ne connoissoit pas celle de 1667, 4. Propose une mauvaise correction, 131, note 1.. Substitue mal-à-propos un mot à un autre, ibidem, note c. A l'oreille prosaïque, 182, note 1. Ne saisit pas la pensée de son auteur, 184, note 2. Sa mémoire le trompe, 191, note a. Sa circonspection au sujet du jansénisme, 341, note. b. Sa mémoire paroît le tromper, 359, note a, II, 46, note b. La plupart de ses rapprochements manquent de justesse, 114, note a. Propose une màuvaise correction, 258, note a. On desireroit qu'il eût développé l'opinion de Despréaux sur Molière, 271, note 1, Condamne malà-propos une ellipse hardie, 278, note a. Méprise au sujet de La

Fontaine, 292, note 2. Retient mal les explications de Despréaux, 369, note d. Citation inexacte, 379, note c. Préfère, dans un vers du v chant du Lutrin, le texte de la première édition à celui des éditions corrigées, 424, note b. Se méprend sur le sens du mot épais, appliqué aux ouvrages de Le Vayer, 428, note 2. Observation sur le style prolixe de son commentaire, 430, note 2. Auroit pu résoudre plusieurs de ses doutes, en ouvrant le dictionnaire de l'académie, 436, note c. Singulière permission qu'il demande à Fontenelle, 469, note b. N'ose pas parler des circonstances de la mort du docteur Arnauld, 553, note c. Commet une méprise au sujet de Caligula, III, 5, note a; au sujet de Zoïle, 202, note 1. Rapprochement qui manque de justesse, 342, note 1. Exemples des corrections qu'il fait au texte de Despréaux 436 et 437, notes a, 438, note b, 454, note a, 455, note 5. Insère la première leçon de quelques vers traduits d'Homère, sans égard pour les corrections faites par le traducteur, 477, note a. Rétablit des mots changés par ce dernier, 563, note a. Substitue une locution vicieuse à la véritable, IV, 16, notè c. Observation grammaticale inexacte, 391, note 1. Remarque sur le dieu Cneph, 400, note a; sur une explication forcée d'un vers d'Homère, 425, note a. N'ose pas se permettre une critique incontestable, 475, note a. En propose qui sont déplacées, 479, note a. S'en excuse dans les termes les plus soumis, 487, note a. Ce qu'il raconte des miracles d'un jésuite nommé Romeville, 512, note b. Échappe au plus affreux danger, 525, note a. Ses changements dans les vers pour le portrait de Despréaux ne sont point adoptés par celui-ci, 537, note a. Description d'un ancien monument pour un taurobole, 539, note a. S'excuse auprès de Despréaux de s'être marié, 558, note c. Recueilloit les moindres particularités qui concernoient ce dernier, 586, note a. Conjectures sur un monument nommé le tombeau des deux amants, 594, note a. Inscription pour ce monument, ibidem, note b. Remarque sur les observations de Despréaux relatives à cette inscription, 597, note a. Conseille à ce dernier de faire imprimer ses ouvrages en caractères romains, ibidem, note b. Changement proposé mal-à-propos pour deux vers de la sat. XII, 598, note a. Remède indiqué à Despre aux pour l'hydropisie, 619,

note a. Objections qui supposent un homme étranger à l'harmonie poétique, 631, note a. Quelle est la perte la plus cruelle, celle de la vue ou celle de l'ouïe, 632, note a. La ville de Lyon paie une rente viagère à Despréaux, sans aucun retranchement, 639, note a. BROTIER (Gabriel). Son édition de Pline l'ancien citée, III, 194, note 1. Son recueil de Paroles mémorables cité, IV, 149, note a, 157, note a, 211, note a.

BROUSSIN (le comte du). Despréaux lit chez lui sa deuxième satire I,

97, note a. Cet homme, si difficile en bonne chère, se reconnoît avec plaisir dans la m° satire, 114, note c. Il avoit voulu détourner l'auteur de traiter un pareil sujet, 115, note a. Importance qu'il attachoit à la bonne chère, II, 67, note b. Affecte de critil'École des Femmes, 86, note c. quer

BRUMOY ( le père) répond aux critiques de Muralt sur la vie satire, I, 158, note b, 161, note c. Donne l'origine de la tragédie chez les Grecs, II, 225, note a. En trace les commencements dans les pièces de Thespis, 226, note 1.

BRUNO (saint), fondateur de La Grande Chartreuse, II, 439, note 1. Burluguay, théologien, II, 161, note 1.

BUSSI-RABUTIN. Ce qu'il faut entendre par les saints qu'il a célébrés, I, 183, note I. Cité comme auteur de l'Histoire amoureuse des Gaules, 311, note b. Écrit au père Rapin, jésuite, et au comte de Limoges une lettre contre Despréaux, IV, 4, note a. Portrait qu'il fait du comte de Grammont, 534, note b.

C.

CADETS (compagnies de), I, 282, note b.

CAILLY (le chevalier de). Despréaux aimoit l'épigramme qu'il fit sur

la suppression des rentes, I, 106, note I.

CALEPIO (Ambroise de). Note sur ce religieux, I, 80, note a.
CALLISTHÈNE. Note biographique, III, 385, note a.

CALVIN, I, 199, note d.

CAMBERT, musicien, I, 223, note 3.

CAPPERONNIER (Claude et Jean). Saint-Marc a profité des lumières

de ces deux érudits, dans son travail sur le Traité du Sublime, par

Longin, III, xj. Le premier combat les opinions de Despréaux, de Huet et de Le Clerc sur le sublime; celle qu'il leur oppose n'est que tranchante, 325, note a.

CAREL de Sainte-Garde, auteur du poëme de Childebrand, II, 101, note 2. Ce poëme cité dans l'épître Ix, 113, note c. Se défend contre Despréaux, 251, note c. L'accuse de l'avoir pillé d'une manière maladroite, 362, note b.

CARMES (les), II, 330, note c.

CASAUBON (Isaac et Méric), III, 349, note a.

CASSAGNE (l'abbé). Note sur ce prédicateur, I, 111, note a. CASSANDRE. Despréaux le désigne sous le nom de Damon, I, 75, note 1. Il fait l'éloge de sa traduction de la Rhétorique d'Aristote, III, 367, note b. Parle de ses derniers sentiments, IV, 268, note b.

CASSINI, célèbre astronome, I, 302, note 1.

CASTEL (le père). Ses réflexions sur la nature et la source du sublime sont d'un esprit bizarre, III, 376, note a.

CATULLE. Despréaux applique au docteur Arnauld un vers que ce poëte adresse à Cornelius Nepos, I, 35. S'autorise des traits lancés dans ses épigrammes contre d'illustres Romains, 70. Cite un de ses vers, IV, 338, note b. Applique à Brossette celui qu'il avoit appliqué au docteur Arnauld, 356, note a. S'en applique un autre à lui-même, 365, note a. Autre vers cité au sujet de Charles Perrault, 474, note a.

GAUMARTIN. Note biographique sur ce conseiller d'état, I, 337,

note I.

CAVOIE (le marquis de), se distingue au passage du Rhin, II, 45, note e. Sa liaison avec Racine, IV, 115, note b. Ses plaisanteries sur ce dernier et sur Despréaux, 116, note a. Ne pouvant obtenir le cordon bleu, se retire de la cour, et Louis XIV l'y retient, 203, note b.

CAYLUS (madame de). Met Guilleragues au nombre des adorateurs de madame de Maintenon, II, 51, note a. Despréaux lui envoie des pêches, IV, 171, note a. Elle aconte ce que l'on disoit de l'indifférence du prince de Conti pour le trône de Pologne, 307, note b. Son jugement sur le style de l'abbé Testu, 567, note b.

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