Lettres de madame de Sévigné, de sa famille et de ses amis, précédées d'une notice par C. Nodier, Volume 1 |
From inside the book
Results 1-5 of 100
Page vii
... mademoiselle du Sommery , fort connue vers la fin du dix - huitième siècle par le tour caus- tique de ses idées , et par cette frénésie du paradoxe qui mettoit alors en cir- culation tant de déplorables mensonges , bien déterminée d ...
... mademoiselle du Sommery , fort connue vers la fin du dix - huitième siècle par le tour caus- tique de ses idées , et par cette frénésie du paradoxe qui mettoit alors en cir- culation tant de déplorables mensonges , bien déterminée d ...
Page viii
... mademoiselle du Sommery n'avoit jamais été mère . Il y a plus . Enfant recueilli dans ses langes par les soins pieux de la charité , mademoiselle du Sommery ne s'étoit point connu de mère . De quel droit auroit - elle sondé le cœur des ...
... mademoiselle du Sommery n'avoit jamais été mère . Il y a plus . Enfant recueilli dans ses langes par les soins pieux de la charité , mademoiselle du Sommery ne s'étoit point connu de mère . De quel droit auroit - elle sondé le cœur des ...
Page xiii
... Mademoiselle Marie de Rabutin - Chantal , née en 1626 , était fille du baron de Chantal , duelliste effréné , qui , un jour de Pâques , quitta la sainte table pour aller servir de second au fameux comte de Bouteville . Ele- vée par son ...
... Mademoiselle Marie de Rabutin - Chantal , née en 1626 , était fille du baron de Chantal , duelliste effréné , qui , un jour de Pâques , quitta la sainte table pour aller servir de second au fameux comte de Bouteville . Ele- vée par son ...
Page xiv
... Mademoiselle Marie de Rabutin - Chantal , née en 1626 , était fille du baron de Chantal , duelliste effréné , qui , un jour de Pâques , quitta la sainte table pour aller servir de second au fameux comte de Bouteville . Ele- vée par son ...
... Mademoiselle Marie de Rabutin - Chantal , née en 1626 , était fille du baron de Chantal , duelliste effréné , qui , un jour de Pâques , quitta la sainte table pour aller servir de second au fameux comte de Bouteville . Ele- vée par son ...
Page xv
... Mademoiselle ; ainsi la lettre à M. de Coulanges sur ce pauvre Picard qui est renvoyé pour n'avoir pas voulu faner . Ces sortes de lettres , brillantes de forme et d'art , et où il n'y avait pas trop de petits secrets ni de médisance ...
... Mademoiselle ; ainsi la lettre à M. de Coulanges sur ce pauvre Picard qui est renvoyé pour n'avoir pas voulu faner . Ces sortes de lettres , brillantes de forme et d'art , et où il n'y avait pas trop de petits secrets ni de médisance ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
abbé Adieu admirable affaires agréable aimable aime aise amitié assez assure auroit avez avoit beau belle Bretagne c'étoit cardinal cardinal de Retz Chaulnes chère enfant chevalier chose coadjuteur cœur compliments comte DE BUSSY connoissez consolation conte Corbinelli crois d'Hacqueville dame Dieu dire disoit donner écrire enfin êtes étoient étoit faisoit Fayette femme fille fils Fouquet gens Gourville grace heures homme j'ai j'avois J'embrasse j'en j'étois jamais joie jolie l'abbé l'autre jour Lavardin lettre Livry long-temps Louvois m'en vais madame de Coulanges madame de Grignan madame de Maintenon madame de Montespan madame de Sévigné mademoiselle mande maréchal mari ment mercredi mieux mille monde Monsieur mort n'ai n'en parler paroît passé pauvre pense personne petite plaisir Pomponne prince princesse Provence raison ravie rien Rochefoucauld Rochers sais santé savez sentiments sera seroit seule soir songe sorte souhaite tendresse très-chère trouve Turenne vendredi veux Vichi voilà vois voudrois vouloit vrai
Popular passages
Page 59 - Je ne puis me résoudre à la dire, devinez-la, je vous le donne en trois; jetez-vous votre langue aux chiens? Hé bien ! il faut donc vous la dire : M. de Lauzun ' épouse dimanche au Louvre , devinez qui ? Je vous le donne en quatre , je vous le donne en dix, je vous le donne en cent.
Page 240 - ... n'at-il pas eu un seul moment? ah! mon Dieu! quel sacrifice! et là-dessus elle tombe sur son lit , et tout ce que la plus vive douleur peut faire, et par des convulsions, et par des évanouissements , et par un silence mortel , et par des cris étouffés , et par des larmes amères , et par des élans vers le ciel , et par des plaintes tendres et pitoyables , elle a tout éprouvé.
Page 203 - Champmeslé pour vous réchauffer la pièce. Le personnage de Bajazet est glacé ; les mœurs des Turcs y sont mal observées ; ils ne font point tant de façons pour se marier ; le dénouement n'est point bien préparé : on n'entre point dans les raisons de cette grande tuerie.
Page 203 - Vive donc notre vieil ami Corneille! Pardonnons-lui de méchants vers en faveur des divines et sublimes beautés qui nous transportent: ce sont des traits de maître qui sont inimitables.
Page 107 - Je voudrais faire une fable qui lui fit entendre combien cela est misérable de forcer son esprit à sortir de son genre, et combien la folie de vouloir chanter sur tous les tons fait une mauvaise musique. Il ne faut point qu'il sorte du talent qu'il a de conter.
Page xxiv - Vous êtes la plus civile et la plus obligeante personne qui ait jamais été ; et, par un air libre et doux qui est dans toutes vos actions, les plus simples compliments de bienséance paraissent en votre bouche des protestations d'amitié ; et tous les gens qui sortent d'auprès de vous s'en vont persuadés de votre estime et de votre bienveillance, sans qu'ils puissent se dire à eux-mêmes quelle marque vous leur avez donnée de l'une et de l'autre.
Page 240 - Sa pensée n'osa aller plus loin. Madame, il se porte bien de sa blessure. — Il ya eu un combat. Et mon fils? — On ne lui répondit rien. — Ah! mademoiselle, mon fils, mon cher enfant, répondez-moi, est-il mort? — Madame, je n'ai point de parole pour vous répondre. — Ah! mon cher fils! est-il mort sur-le-champ? n'at-il pas eu un seul moment? Ah ! mon Dieu ! quel sacrifice...
Page 59 - ... dont on ne trouve qu'un exemple dans les siècles passés, encore cet exemple n'est-il pas juste, une chose que nous ne saurions...
Page xlii - Le faux est toujours fade, ennuyeux, languissant; Mais la nature est vraie , et d'abord on la sent : C'est elle seule en tout qu'on admire et qu'on aime.
Page 402 - Avant-hier on roua un violon qui avoit commencé la danse et la pillerie du papier timbré : il a été écartelé après sa mort, et ses quatre quartiers exposés aux quatre coins de la ville, comme ceux de Josseran