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qu'elle occasionna, 289, 290. - Sa liberté lui fut procurée par des crimes, et confirmée par des crimes, 290. C'était un grand vice, dans son gouvernement, d'affermer les revenus, 299. La république périt, parce que la profession des traitants y fut honorée, ibid. Comment on y punissait les enfants, quand on eut ôté aux pères le pouvoir de les faire mourir, 314. - On y mettait les esclaves au niveau des betes, ibid. - Les diverses lois touchant les esclaves et les affranchis prouvent son embarras à cet égard, ibid. - Ses lois politiques au sujet des affranchis étaient admirables, 315. - Est-il vrai que pendant cinq cent vingt ans personne n'osa user du droit de répudier, accordé par la loi? 321. Quand le péculat commença à être connu, la peine qu'on lui imposa prouve que les lois suivent les mœurs, 343. On y changea les lois à mesure que les mœurs y changèrent, 344.

La politesse n'y est entrée que quand la liberté en est sortie, 348. Différentes époques de l'augmentation de la somme d'or et d'argent qui y était, et du rabais des monnaies qui s'y est toujours fait en proportion de cette augmentation, 386 et suiv. Sur quelles maximes l'usure y fut réglée, après la destruction de la république, 390 et suiv. - Les lois y furent peut-être trop dures contre les båtards, 394.-Fut plus affaiblie par les discordes civiles, les triumvirats et les proscriptions, que par aucune guerre, 399. Il y était permis à un mari de prèter sa femme à un autre, et on le punissait s'il la souffrait vivre dans la débauche: conciliation de cette contradiction apparente, 431. - Par qui les lois sur le partage des terres y furent faites, 434. - On n'y pouvait faire autrefois de testament que dans une assemblée du peuple: pourquoi, ibid. et suiv. - La faculté indéfinie que les citoyens avaient de tester fut la source de bien des maux, 434.-Pourquoi le peuple y demanda sans cesse les lois agraires, ibid.

Pourquoi la galanterie de chevalerie ne s'y est pas introduite, 452. On ne pouvait entrer dans la maison d'aucun citoyen pour le citer en jugement: en France, on ne peut pas faire de citations ailleurs: ces deux lois, qui sont contraires, partent du même esprit, 473. On y punissait le recéleur de la même peine que le voleur: cela était juste à Rome; cela est injuste en France, 474. - Comment le vol y était puni: les lois sur cette matière n'avaient nul rapport avec les autres lois civiles, ibid. - Les médecins y étaient punis de la déportation, ou même de la mort, pour leur négligence ou leur impéritie, 475. - On y pouvait tuer le voleur qui se mettait en défense : correctif que la loi avait apporté à une disposition qui pouvait avoir de si funestes conséquences, 475. - Voyez Droit romain, Lois romaines, Romains.

Royauté. Ce n'est pas un honneur seulement, 477. Rubicon. Fleuve de la Gaule cisalpine, 151. Ruse. Comment l'honneur l'autorise dans une monarchie, 204. Russie. Pourquoi on y a augmenté les tributs, 296, not. 3.-On y a très-prudemment exclu de la couronne tout héritier qui possède une autre monarchie, 432.

S

Rome moderne. Tout le monde y est à son aise, excepté ceux qui ont de l'industrie, qui cultivent les arts et les terres, ou qui font le commerce, 405. - On y regarde comme conforme au langage de la maltote, et contraire a celui de l'Écriture, la maxime qui dit que le clergé doit contribuer aux charges de l'État, 418. - Ancienne et moderne. A toujours enchanté l'auteur, 650.

ROMULUS et ses successeurs toujours en guerre avec leurs voisins, 125.-Il adopte l'usage du bouclier sabin, ibid. - La crainte d'ètre regardé comme un tyran empêcha Auguste de prendre ce nom, 337. - Ses lois touchant la conservation des enfants, 403. - Le partage qu'il tit des terres est la source de toutes les lois romaines sur les successions, 433. - Ses lois sur le partage des terres furent rétablies par Servius Tullius,

434.

RORICON, historien franc. Était pasteur, 481.
ROTHARIS, roi des Lombards. Déclare, par une loi, que les lé-
preux sont morts civilement, 304.- Ajouta de nouvelles lois
à celles des Lombards, 439.

ROXANE, femme d'Usbek. Usbek vante sa sagesse et sa vertu,
18.-Opiniátreté avec laquelle elle résiste aux empressements
de son mari pendant les premiers mois de son mariage, ibid.
-Conserve tous les extérieurs de la vertu, au milieu des dé-
sordres qui règnent dans le sérail, 107. - Ses plaintes sur les
chatiments que le grand eunuque fait subir aux autres fem-
mes d'Usbek, 109. Surprise entre les bras d'un jeune
homme, 110.
- S'empoisonne : sa lettre à Usbek, ibid.

Sabbat. La stupidité des Juifs, dans l'observation de ce jour,
prouve qu'il ne faut point décider par les préceptes de la reli-
gion, lorsqu'il s'agit de ceux de la loi naturelle, 425.
Sabins. Leur union avec Rome, 125. - Peuple belliqueux, ibid.

et 127.

Sacerdoce. L'empire a toujours du rapport avec le sacerdoce,

402.

Sacrements. Étaient autrefois refusés à ceux qui mouraient
sans donner une partie de leurs biens à l'Église, 467.
Sacrifices. Quels étaient ceux des premiers hommes, selon Por-
phyre, 417.

Sacrilege caché. Ne doit point être poursuivi, 282.
Sacrileges simples. Quels sont les seuls crimes contre la reli-
gion, 281 et suiv. - Quelles en doivent être les peines, 282.
- Excès monstrueux où la superstition peut porter, si les
lois humaines se chargent de les punir, ibid. - Le droit civil
entend mieux ce que c'est que ce crime que le droit cano-
nique, 425.

SACY (DE). Éloge de cet académicien, 582 et suiv.
Saignée. Par quelle raison on saignait les soldats romains qui
avaient commis quelque faute, 129.

Saliens. Réunis avec les Ripuaires, sous Clovis, conservèrent
leurs usages, 438.

Salique. Etymologie de ce mot: explication de la loi que nous
nommons ainsi, 331. Voyez Loi salique, Terre salique.
SALOMON. De quels navigateurs se servit, 360. - La longueur
du voyage de ses flottes prouvait-elle la grandeur de l'éloigne-
ment? ibid.

SALVIEN. Réfute la lettre de Symmaque, 173.
Samnites. Peuple le plus belliqueux de toute l'Italie, 128. -
Alliés de Pyrrhus, 131. - Auxiliaires des Romains contre les
Carthaginois et contre les Gaulois, 132.
Accoutumés à la
domination romaine, ibid. - Cause de leur longue résistance
aux efforts des Romains, 207. - Coutume de ce peuple sur
les mariages, 242. - Leur origine, ibid.

Samos (roi de). Pourquoi un monarque d'Égypte renonce à
son alliance, 65.

Santons. Espèce de moines: idée que les musulmans ont de leur sainteté, 63.

Sardaigne. Etat ancien de cette ile: quand et pourquoi elle a été ruinée, 327.

Sardaigne (roi de). Conduite contradictoire du roi, 224. Sarrasins. Excellents hommes de trait, 181. - Chassés par Pepin et Charles-Martel, 441. - Pourquoi furent appelés dans la Gaule méridionale : révolution qu'ils occasionnèrent dans les lois, 443. - Pourquoi dévastèrent la France, et non pas l'Allemagne, 525.

Satisfaction. Voyez Composition.

Sauromates. Ce peuple barbare était dans la servitude des femmes, 26.

Sauvages. Leurs mœurs sont contraires à la population, 81 et
suiv. - Objet de leur police, 264. - Différence qui est en-
tre les sauvages et les barbares, 328. C'est la nature et le
climat presque seuls qui les gouvernent, 337. - Pourquoi
tiennent peu à leur religion, 415.

Savants. Leur entètement pour leurs opinions, 103. - Malheur
de leur condition: lettre à ce sujet, 104.
Saxons. Sont originaires de la Germanie, 333. - De qui ils
Causes de la dureté de

reçurent d'abord des lois, 438.

leurs lois, 439. - Leurs lois criminelles étaient faites sur le
Scapulaires, 21.
meme plan que celles des Ripuaires, 446.

Schisme entre l'église latine et la grecque, 186.
Scholastiques. Leur portrait, 25. - Leurs réveries ont causé

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Séditions. Cas singulier où elles étaient sagement établies par les lois, 248. - La Pologne est une preuve que cette loi n'a pu être utilement établie que chez un peuple unique, ibid. Faciles à apaiser dans une république fédérative, 253. est des gouvernements où il faut punir ceux qui ne prennent pas parti dans une sédition, 471.

Il

N'étaient

Seigneurs. Etaient subordonnés au comte, 453.-Étaient juges dans leurs seigneuries, assistés de leurs pairs, c'est-à-dire de leurs vassaux, 455 et suiv.-Ne pouvaient appeler un de leurs hommes sans avoir renoncé à l'hommage, ibid. - Conduite qu'un seigneur devait tenir quand sa propre justice l'avait condamné contre un de ses vassaux, 455. - Moyens dont ils se servaient pour prévenir l'appel de faux jugement, ibid.-On était obligé autrefois de réprimer l'ardeur qu'ils avaient de juger et de faire juger, 458. - Dans quels cas on pouvait plaider contre eux, dans leur propre cour, 459. Comment saint Louis voulait que l'on pûtse pourvoir contre les jugements rendus dans les tribunaux de leurs justices, ibid. et suiv.- On ne pouvait tirer les affaires de leurs cours sans s'exposer aux dangers de les fausser, 460. obligés, du temps de saint Louis, de faire observer dans leurs justices que les ordonnances royales qu'ils avaient scellées ou souscrites eux-mêmes, ou auxquelles ils avaient donné leur consentement, 460, 461. - Étaient autrefois obligés de soutenir eux-mêmes les appels de leurs jugements; époque de l'abolition de cet usage, 461. - Tous les frais des procès roulaient autrefois sur eux; il n'y avait point alors de condamnation aux dépens, 462, 463. Quand commencèrent à ne plus assembler leurs pairs pour juger, 468. Ce n'est point une loi qui leur a défendu de tenir eux-mêmes leur cour ou de juger; cela s'est fait peu à peu, ibid. - Les droits dont ils jouissaient autrefois, et dont ils ne jouissent plus, ne leur ont point été ótés comme usurpations; ils les ont perdus par négligence, ou par les circonstances, 369 -Les chartres d'affranchissement qu'ils donnèrent à leurs serfs sont une des sources de nos coutumes, 470.-Levaient, dans les commencements de la monarchie, des tributs sur les serfs de leurs domaines; et ces tributs se nommaient census ou cens, 488. Voyez Roi de France. - Leurs droits ne dérivent point, par usurpation, de ce cens chimérique que l'on prétend venir de la police générale des Romains, 489. Sont la même chose que les vassaux: étymologie de ce mot, ibid. - Le droit qu'ils avaient de rendre la justice dans leurs terres avait la même source que celui qu'avaient les comtes dans la leur, 491. Quelle est précisément la source de leurs justices, 495.-Ne doivent point leurs justices à l'usurpation: preuves, 496.

SEJAN, favori de Tibère, 164.

Sel. L'impôt sur le sel, tel qu'on le lève en France, est injuste et funeste, 295.- Comment s'en fait le commerce en Afrique, 378.

SÉLEUCUS NICATOR. Fondateur de l'empire de Syrie, 137.Aurait-il pu exécuter le projet qu'il avait de joindre le PontEuxin à la mer Caspienne? 359.

SÉMIRAMIS. Source de ses grandes richesses, 358.

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Sa

Sénat de Rome. - Avait la direction des affaires, 132 maxime constante de ne jamais composer avec leone qu'il ne fût sorti des États de la république, 134. - Safe meté après la défaite de Cannes; sa conduite singuliere a l'égard de Terentius Varron, ibid. - Sa profonde politique, 139 et suiv. - Sa conduite avec le peuple, 144 et suiv Son avilissement, 153. - Après la mort de César, conf tous les actes qu'il avait faits, 154. - Accorde l'amnistie a ws meurtriers, ibid. - Sa basse servitude sous Tibere caдез de cette servitude, 156. - Quel parti Tibère en tire, istNe peut se relever de son abaissement, ibid. combien de temps ses arrêts avaient force de loi, 195 Pensait que les peines immodérées ne produisent pozt leur effet, 234. - Son pouvoir sous les cinq premiers nas. 272. Étendue de ses fonctions et de son autorite apres l'expulsion des rois, 275 et suiv. - Sa láche complaisance pour les prétentions ambitieuses du peuple, 277. - Epoque funeste de la perte de son autorité, 278.

Persiant

Sénateurs dans une aristocratie. Ne doivent point nommer aux places vacantes dans le sénat, 196. Dans une democratie. Doivent-ils être à vie, ou pour un temps? 214.Ne doivent être choisis que parmi les vieillards; pourquoi,

ibid.

Sénateurs romains. Par qui les nouveaux étaient nommés, 196.- Avantages de ceux qui avaient des enfants sur ceux qui n'en avaient pas, 400. Quels mariages pouvaient contracter, 401.

Senatus-consulte Orphitien. Appela les enfants à la succession de leur mère, 438.

Sénatus-consulte Tertullien. Cas dans lesquels il accorde anx

mères la succession de leurs enfants, 437, 439. SÉNÈQUE. Auteur peu propre à consoler les affligés, 23. Sennar. Injustices cruelles qu'y fait commettre la religion mahométane, 407.

Sens. Influent beaucoup sur notre attachement pour une religion, lorsque des idées sensibles sont jointes à des idees spe rituelles, 415. Les plaisirs qu'ils procurent ne font pas le vrai bonheur: histoire à ce sujet, 8 et suiv. - Sont juges plus compétents que la religion, de la pureté ou impurete des choses, 13.

Séparation entre mari et femme pour cause d'adultère. Le droit civil, qui n'accorde qu'au mari le droit de la demander, est mięux entendu que le droit canonique, qui l'accorde anx deux conjoints, 425.

Sépulture: Était refusée à ceux qui mouraient sans donner une partie de leurs biens à l'église, 467. Était accordée, a Ro me, à ceux qui s'étaient tués eux-mêmes, 473.

Sérail. Son gouvernement intérieur, 3, 5, 7, 15, 42. - L'amer s'y détruit par lui-même, 4. - Malheur des femmes qui y sont enfermées, 5. - Plus fait pour la santé que pour les plaisirs des femmes qui y sont enfermées, 23. - A quei az on y enferme les filles, 42. Dissensions qui y règnent, 43. On égorge tous ceux qui en approchent de trop pres, 46. Les filles qui y servent ne se marient presque jamais, 75. Toutes privautés y sont défendues, méme entre persosnes de même sexe, 106. - Désordres arrivés dans celts d'Usbek pendant son absence, ibid. et suiv. - Solim le remplit de sang, 109 et suiv. Ce que c'est, 221. C'est un lieu de délices, qui choque l'esprit mème de l'esclavagr, qui en est le principe, 311.

Serfs. Devinrent les seuls qui fissent usage du bâton dans les combats judiciaires, 451. -Quand et contre qui pouvaient se battre, 454. - Leur affranchissement est une des sources des coutumes de France, 470.- Étaient fort communs vers le commencement de la troisième race; erreur des historiens à

lois de la nature, 191, 192. - L'avancement de leur puberté et de leur vieillesse dépend des climats, et cet avancement est une des règles de la polygamie, 316.

cet égard, 483. - Ce qu'on appelait census ou cens ne se le- | Sexes. Le charme que les deux sexes s'inspirent est une des vait que sur eux, dans les commencements de la monarchie, 489.- Ceux qui n'étaient affranchis que par lettres du roi n'acquéraient pas une pleine et entière liberté, ibid. erfs de la glèbe. Le partage des terres qui se fit entre les barbares et les Romains, lors de la conquête des Gaules, prouve que les Romains ne furent pas tous mis en servitude, et que ce n'est point dans cette prétendue servitude générale qu'il faut chercher l'origine des serss de la glèbe, 481 et suiv. Voyez Servitude de la glèbe.

erment. Les Romains en étaient religieux observateurs, 126. 148. - Les Grecs ne l'étaient point du tout, ibid. - Les Romains devinrent par la suite moins exacts sur cet article, 148, 149. - Combien lie un peuple vertueux, 249. - Quand on doit y avoir recours en jugement, 343. Servait de prétexte aux clercs pour saisir leurs tribunaux même des matières féodales, 466, not. 7.

Remède

Ferment judiciaire. Celui de l'accusé, accompagné de plusieurs témoins qui juraient aussi, suffisait, dans les lois barbares, excepté dans la loi salique, pour le purger, 446. que l'on employait contre ceux que l'on prévoyait devoir en abuser, ibid. Celui qui, chez les Lombards, l'avait prété pour se défendre d'une accusation, ne pouvait plus ètre forcé de combattre, 447. - Pourquoi Gondebaud lui substitua la preuve par le combat singulier, 448.

comment il se faisait, 450, not. I.

Où et

CERTORIUS. Aimait mieux périr que de faire quelque chose dont Mithridate pût tirer avantage, 172.

ervices. Les vassaux, dans les commencements de la monarchie, étaient tenus d'un double service; et c'est dans cette obligation que l'auteur trouve l'origine des justices seigneuriales, 491 et suiv.

Service militaire. Comment se faisait dans les commencements de la monarchie, 490 et suiv.

Servitude. Les politiques ont dit une absurdité, quand ils ont fait dériver la servitude du droit qu'ils attribuent faussement au conquérant de tuer les sujets conquis, 257. - Cas unique où le conquérant peut réduire en servitude les sujets conquis, ibid. - Cette servitude doit cesser avec la cause qui l'a fait naitre, ibid. - L'impôt par tête est celui qui lui est le plus naturel, 297. - Sa marche est un obstacle à son établissement en Angleterre, 306. - Combien il y en a de sortes, 311. - Celle des femmes est conforme au génie du pouvoir despotique, 318. - Pourquoi règne en Asie, et la liberté en Europe, 325. - Est naturelle aux peuples du Midi, 357. 358. Voyez Esclavage.

Servitude de la glėbe. Ce qui a fait croire que les barbares qui conquirent l'empire romain firent un réglement général qui imposait cette servitude. Ce réglement, qui n'exista jamais, n'en est point l'origine: où il faut la chercher, 483 et suiv.

Servitude domestique. Ce que l'auteur entend par ces mots, 315, 316. - Indépendante de la polygamie, 319.

Servitude politique. Dépend de la nature du climat, comme la civile et la domestique, 322 et suiv.

-SERVIUS TULLIUS. Comment divisa le peuple romain, 145, 146. - Ce qui résulta de cette division, 194. - Comment monta au tróne. Changement qu'il apporta dans le gouvernement ✔de Rome, 272. Sage établissement de ce prince pour la levée des impôts à Rome, 279, 280. Rétablit les lois de Romulus et de Numa sur le partage des terres, et en fit de nouvelles, 434. Avait ordonné que quiconque ne serait pas inscrit dans le cens serait esclave. Cette loi fut conservée. Comment se faisait-il donc qu'il y eût des citoyens qui ne fussent pas compris dans le cens? 436.

SÉVÈRE, empereur. Défait Niger et Albin, ses compétiteurs à Tempire, 164. - Gouverné par Plautien, son favori, ibid. -Ne peut pas prendre la ville d'Atra, en Arabie: pourquoi? 165.- Amasse des trésors immenses: par quelles voies, ibid.

Laisse tomber dans le reláchement la discipline militaire, 166. - Ne voulut pas que le crime de lèse-majesté indirect eût lieu sous son règne, 285.

Séverité. Quand elle est outrée, elle ne corrige point les caractères féroces, 8.

SEXTILIUS RUFUS. Blàmé par Cicéron de n'avoir pas rendu une succession dont il était fideicommissaire, 436. SEXTUS. Son crime fut utile à la liberté, 290. SEXTUS PEDUCEUS. S'est rendu fameux pour n'avoir pas abusé d'un fidéicommis, 436.

Siamois. Font consister le souverain bien dans le repos: raisons physiques de cette opinion. Les législateurs la doivent combattre, en établissant des lois toutes pratiques, 302. -Toutes les religions leur sont indifférentes. On ne dispute jamais chez eux sur cette matière, 421.

Sibérie. Les peuples qui l'habitent sont sauvages, et non barbares, 328. Voyez aussi 34, et le mot Barbares. Sicile. Est devenue déserte, 76. - Était pleine de petits peuples et regorgeait d'habitants avant les Romains, 397. SIDNEY. Que doivent faire, selon lui, ceux qui représentent le corps d'un peuple, 266.

Siéges. Causes de ces défenses opiniâtres et de ces actions dénaturées que l'on voit dans l'histoire de la Grèce, 475. SIGISMOND. Est un de ceux qui recueillirent les lois des Bourguignons, 439.

SIMON, comte DE MONTFORT. Est auteur des coutumes de ce comté, 469.

Sincérité. Cette vertu est odieuse à la cour, 5, 6. SIXTE V. Sembla vouloir renouveler l'accusation publique contre l'adultère, 24.

Société. Scrupule avec lequel quelques Français en observent les devoirs, 60, 61. - Ce que c'est quelle en est l'origine, 64. - Comment les hommes sont portés à vivre en société, 191, 192. Ne peut subsister sans gouvernement, 192. C'est l'union des hommes, et non pas les hommes mêmes : d'où il suit que, quand un conquérant aurait le droit de détruire une société conquise, il n'aurait pas celui de tuer les hommes qui la composent, 257. - Il lui faut, même dans les États despotiques, quelque chose de fixe: ce quelque chose est la religion, 422.

Sociétés. Dans quel cas ont droit de faire la guerre, 256. Sœur. Il y a des pays où la polygamie a fait déférer la succession à la couronne aux enfants de la sœur du roi, à l'exclusion de ceux du roi même, 424, 425. - Pourquoi il ne lui est pas permis d'épouser son frère, 428. - Peuples chez qui ces mariages étaient autorisés: pourquoi, 212, 428.

SOLAR, grand prieur. Lettres à, 650, 657.

Soldats. Pourquoi la fatigue les fait périr, 128. Ce qu'une nation en fournit à présent: ce qu'elle en fournissait autrefois, 130.-Quoique vivant dans le célibat, avaient, à Rome, le privilége des gens mariés, 401.

Soleil. Les Guèbres lui rendent un culte, 47. — Ils l'honoraient principalement dans la ville sainte de Balk, ibid.

SOLIGNAC. Lettre à ce secrétaire de la société littéraire de Nancy, 660.

Solitaires de la Thébaïde. Ce qu'on doit penser des prodiges qui leur sont arrivés, 63, 64.

195.

SOLON. Comment divisa le peuple d'Athènes, 194.-Comment corrigea les défectuosités des suffrages donnés par le sort, Contradiction qui se trouve dans ses lois, 212. Comment bannit l'oisiveté, 214. - Loi admirable par laquelle il prévint l'abus que le peuple pourrait faire de sa puissance dans le jugement des crimes, 229. - Corrige à Athènes l'abus de vendre les débiteurs, 289. - Ce qu'il pensait de ses lois devrait servir de modèle à tous les législateurs, 343. Abolit la contrainte par corps à Athènes : la trop grande généralité de cette loi n'était pas bonne, 354. A fait plusieurs lois d'épargne dans la religion, 418. - La loi par laquelle il autorisait, dans certains cas, les enfants à refuser la subsistance à leurs pères indigents, n'était bonne qu'en partie, 424. - A quels citoyens il accorda le pouvoir de tester, pouvoir qu'aucun n'avait avant lui, 434. - Justification d'une de ses lois, qui parait bien extraordinaire, 471. - Cas que les prètres égyptiens faisaient de sa science, 488

Somptuaires. Voyez Lors somptuaires. Sophi de Perse. Détróné de nos jours pour n'avoir pas assez versé de sang, 203.

Soporifique singulier, 102, 103.

Sorbonne. Travaille pendant deux ans à attaquer l'Esprit des Lois, 668.

Sort. Le suffrage par le sort est de la nature de la démocratie; est défectueux : comment Solon l'avait rectifié à Athènes, 194, 195. - Ne doit point avoir lieu dans une aristocratie, 195.

Sortie du royaume. Devrait étre permise à tous les sujets d'un prince despotique, 293.

Sots (les). Sont gouvernés par les gens d'esprit, 626.

Soudans. Leur commerce, leur richesse et leur force, après la chute des Romains en Orient, 373.

Soufflet. Pourquoi est encore regardé comme un outrage qui
ne peut se laver que dans le sang, 451.
Souillures. Comment elles se contractent dans la loi musul-
mane, 12.

Souper (le). Tue la moitié de Paris, 627.
Sourd. Pourquoi ne pouvait pas tester, 435.
Souverains. Doivent chercher des sujets et non des terres, 71.

Moyen fort simple dont usent quelques-uns pour trouver qu'il est bien aisé de gouverner, 198. - Dans quel gouvernement le souverain peut être juge, 229.

Sparte. Peine fort singulière en usage dans cette république, 232. Voyez Lacédémone.

Spartiates. N'offraient aux dieux que des choses communes, afin de les honorer tous les jours, 418. Voyez Lacédé

mone.

Spectacles. Révolutions qu'ils causèrent à Rome, par l'impression qu'ils faisaient sur le peuple, 275, 290. SPINOSA. Son système est contradictoire avec la religion naturelle, 536.

Spinosisme. Quoiqu'il soit incompatible avec le déisme, le nouvelliste ecclésiastique les cumule sans cesse sur la tête de Montesquieu: preuves qu'il n'est ni spinosiste ni déiste, 529 et suiv.

Spiritualité. Nous ne sommes guère portés aux idées spirituelles, et nous sommes fort attachés aux religions qui nous font adorer un étre spirituel, 415.

STAINVILLE (Lettre au marquis de), au sujet de l'Esprit des Lois, 654.

STANISLAS. Fragments d'une lettre à ce roi, et de la réponse,

660.

Niaient l'im

Stérilité des terres. Rend les hommes meilleurs, 327. Stoiciens. Leur morale était, après celle des chrétiens, la plus propre pour rendre le genre humain heureux : détail abrégé de leurs principales maximes, 409. mortalité de l'ame: de ce faux principe ils tiraient des conséquences admirables pour la société, 412. L'auteur a loué leur morale, mais il a combattu leur fatalité, 532. Le nouvelliste les prend pour des sectateurs de la religion naturelle, tandis qu'ils étaient athées, 535, 536.

Stoïcisme. Favorisait le suicide chez les Romains, 155. - En quel temps il fit plus de progrès parmi eux, 164. Stuart. Lettre au prince Édouard, 649. Style (le.) Enflé et emphatique, est plus aisé, 628. Subordination. Ce n'est pas assez de la faire sentir, il faut la faire pratiquer, 42. Des citoyens aux magistrats. Donne la force aux lois, 215. - Des enfants à leur père. Utile aux mœurs, ibid. - Des jeunes gens aux vieillards. Maintient les mœurs, ibid.

Subsides. Ne doivent point, dans une aristocratie, mettre de différence dans la condition des citoyens, 215, 216. Substitutions. Pernicieuses dans une aristocratie, 217. - Sont utiles dans une monarchie, pourvu qu'elles ne soient permises qu'aux nobles, ibid. Gènent le commerce, ibid. Quand on fut obligé de prendre, à Rome, des précautions pour préserver la vie du pupille des embûches du substitué, 344.- Pourquoi étaient permises dans l'ancien droit romain, et non pas les tidéicommis, 453. Quel était le motif qui les avait introduites à Rome, 472.

Substitutions pupillaires. Ce que c'est, 344.

Substitutions vulgaires. Ce que c'est, 344, nol. 3. En qu cas avaient lieu, 472, 473. Subtilité. Est un défaut qu'il faut éviter dans la composition des lois, 476.

Succession au trône. Par qui réglée dans les États despofiqos, 221. Comment réglée en Moscovie, ibid. - Quelle est a meilleure façon de la régler, ibid. - Les lois et les usaga des différents pays la règlent différemment, et ees les t usages, qui paraissent injustes à ceux qui ne jugent que se les idées de leur pays, sont fondés en raison, 424. - Ne dat pas se régler par des lois civiles, 430. - Peut être chan si elle devient destructive du corps politique pour leqe elle a été établie, 432. Cas où l'État en peut changer fa dre, ibid.

Successions. Un père peut, dans une monarchie, donner 'a plus grande partie de la sienne à un seul de ses enfants, 20 Comment sont réglées en Turquie, 220. - A Bantam, - A Pégu, ibid. not. 1 Appartient au dernier des 245 chez les Tartares, dans quelques petits districts de l'Arge terre, et dans le duché de Rohan, en Bretagne: raisons de ont loi, 331. Quand l'usage d'y rappeler la fille et les enfants de la fille s'introduisit parmi les Franes: motifs de ces rappels, 331, 332. Ordre bizarre établi par la loi salique sur les successions: raisons et source de cette bizarrerie, 2.

Leur ordre dépend des principes du droit politique ou civil, et non pas des principes du droit naturel, 424 et surv. Est-ce avec raison que Justinien regarde comme barbare le droit qu'ont les máles de succéder, au prejudice des filles? 424. L'ordre en doit être fixé dans une monarchie, 430. Origine et révolutions des lois romaines sur cette matière, 433 et suiv. - On en étendit le droit, a Rome,en faveur de ceux qui se prétaient aux vues des lois faites pour augmenter la population, 437. - Quand commencereat a ne plus étre régies par la loi Voconienne, ibid. - Leur on dre, à Rome, fut tellement changé sous les empereurs, qu'on ne reconnait plus l'ancien, ibid. et suiv. de l'usage qui a permis de disposer, par contrat de mariag, de celles qui ne sont pas ouvertes, 528.

Origime

Successions ab intestat. Pourquoi si bornées à Rome, et les successions testamentaires si étendues, 434.

Successions testamentaires. Voyez Successions ab intestat. Suède. Pourquoi on y a fait des lois somptuaires, 240. SUÉTONE. Surprise que cause la fin de son récit des crimes de Néron, 592.

Suez. Sommes immenses que le vaisseau royal de Suez porteen Arabie, 371.

Do

Suffrages. A Rome, se recueillent ordinairement par tribus. 146. Ceux d'un peuple souverain sont ses volontes, is Combien il est important que la manière de les donner dans une démocratie soit fixée par les lois, ibid. vent se donner différemment dans la démocratie et dans ristocratie, ibid. De combien de manières ils peuvent étre donnés dans une démocratie, 194. Comment Solon, sans gèner les suffrages par le sort, les dirigea sur les secla personnages dignes des magistratures, ibid. - Dorvent-s être publics, ou secrets, soit dans une aristocratie, salt dans une démocratie? 195. - Ne doivent point ètre donors par le sort dans une aristocratie, ibid. et suiv.

Suicide. Raisons qui en faisaient chez les Romains une action héroïque, 155. - Lois d'Europe contre ce crime: apologie da suicide, 53. Réfutation de cette apologie, 53, 54. - Ex contraire à la loi naturelle et à la religion révélée. De ce des Romains, de celui des Anglais: peut-il être puni chet ces derniers? 305. Les Grecs et les Romains le punissaient. mais dans des cas différents, 473. Il n'y avait poirt d loi à Rome, du temps de la république, qui punit ce crime; il était même regardé comme une bonne action, ainsi que so les premiers empereurs : les empereurs ne commencerent à le punir que quand ils furent devenus aussi avares qu'as avaient été cruels, ibid. - La loi qui punissait celui qui se tuait par faiblesse était vicieuse, 477. - Est-ce être sectateur de la loi naturelle que de dire que le suicide est en Angleterre l'effet d'une maladie? 534, 535.

Suions, nation germaine. Pourquoi vivaient sous le gouvernement d'un seul, 239.

Suisse. La douceur de son gouvernement en a fait un des pays les plus peuplés de l'Europe, 83. Elle est l'image de la liberté, 93. Quoiqu'on n'y paye point de tributs, un Suisse paye quatre fois plus à la nature qu'un Turc ne paye au sultan, 296.

Suisses (ligues). Sont une république fédérative, et par là regardée en Europe comme éternelle, 253. - Leur république fédérative est plus parfaite que celle d'Allemagne, 254. Sujets. Sont portés, dans la monarchie, à aimer le prince,

-290.

Sultans. Ne sont pas obligés de tenir leur parole, quand leur autorité est compromise, 203. Droit qu'ils prennent ordinairement sur la valeur des successions des gens du peuple, 220. Ne savent être justes qu'en outrant la justice, 433. Superstition. C'est une hérésie, 55. Excès monstrueux où elle peut porter, 202. - Sa force et ses effets, 338. Est, chez les peuples barbares, une des sources de l'autorité des prètres, 336. Toute religion qui fait consister le mérite de ses sectateurs dans les pratiques superstitieuses, autorise les désordres, la débauche et les haines, 410, 413.

Son

luxe doit être réprimé: il est impie, 418. Supplices. Conduite que les législateurs doivent tenir, à cet égard, suivant la nature des gouvernements, 231. - Leur augmentation annonce une révolution prochaine dans l'État, ibid. A quelle occasion celui de la roue a été inventé : n'a pas eu son effet: pourquoi, 232. Ne doivent pas être les mêmes pour les voleurs que pour les assassins, 235. - Се que c'est, et à quels crimes doivent être appliqués, 282. Ne rétablissent point les mœurs, n'arrètent point un mal général, 341, 342.

Sûreté du citoyen. Ce qui l'attaque le plus, 280. - méritent ceux qui la troublent, 282.

Surprise. Plaisir qu'elle produit en nous, 592. gression, 595,

Peine que

De sa pro

Suzerain. Vovez Seigneur. Sybarites. Portrait de ce peuple efféminé, 116 et suiv. SYLLA. Exerce ses soldats à des travaux pénibles, 129. - Vainqueur de Mithridate, 143. - Porte une atteinte irréparable à la liberté romaine, 149. - Est le premier qui soit entré en armes dans Rome, 149, 150.- Fut l'inventeur des proscriptions, 150. Abdique volontairement la dictature, 149, 150. Parallèle de Sylla avec Auguste, 157. - Établit des peines cruelles: pourquoi, 235. Loin de punir, il récompensa les calomniateurs, 288. - Dialogue de Sylla et d'Eucrate, 583 et suiv.

SYLVIUS-LATINUS. Fondateur des villes latines, 127.

-Symétrie. Plaisir qu'elle cause à l'âme, 591.

SYMMAQUE. Sa lettre aux empereurs, au sujet de l'autel de la Victoire, 173.

Synode. Voyez Troyes.

Syracuse. Causes des révolutions de cette république, 246. Dut sa perte a la défaite des Athéniens, ibid. - L'ostracisme y fit mille maux, tandis qu'il était une chose admirable à Athènes, 472.

Syrie. Commerce de ses rois après Alexandre, 364. - Pouvoir et étendue de cet empire, 137. - Les rois de Syrie ambitionnent l'Égypte, ibid. - Mœurs et dispositions des peuples, 138. Luxe et mollesse de la cour, ibid. Système de Law. Ses effets funestes, 94 et suiv. Comparé à l'astrologie judiciaire, 92. - Son histoire allégorique, 99 et suiv. Bouleversements qu'il a occasionnés dans les fortunes, dans les families et dans les vertus de la nation française : il l'a déshonorée, 105 et suiv. - Fit diminuer le prix de l'argent, 380. A pensé ruiner la France, 385. - Occasionna une loi injuste et funeste, qui avait été sage et juste du temps de César, 472. Systemes (les). Sont a la physique ce que la fable est à l'histoire, 628.

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TARQUIN. Comment monta sur le trône; changement qu'il apporta dans le gouvernement: causes de sa chute, 272, 273. L'esclave qui découvrit la conjuration faite en sa faveur fut dénonciateur seulement, et non témoin, 288. Comment il règne, 125 et suiv. - Son fils viole Lucrèce; suite de cet attentat, 126. Prince plus estimable que l'on ne croit communément, ibid.

Tartares. Sont les grands conquérants de la terre: leurs conquêtes, 57. - Il n'a manqué à cette nation que des historiens pour célébrer la mémoire de ses merveilles, ibid. Leur conduite avec les Chinois est un modèle de conduite pour les conquérants d'un grand État, 263. - Pourquoi obligés de mettre leur nom sur leurs flèches, 291. - Ne lèvent presque point de taxes sur les marchandises qui passent, 296. Les pays qu'ils ont désolés ne sont pas encore rétablis, 327. Sont barbares et non sauvages, 328. Leur servitude, 330. - Devraient être libres: sont cependant dans l'esclavage politique: raison de cette singularité, ibid. Quel est leur droit des gens: pourquoi ayant des mœurs si douces entre eux, ce droit est si cruel, 331.- La succession appartient, chez eux, au dernier des máles: raison de cette loi, ibid. Ravages qu'ils ont faits dans l'Asie, et comment ils y ont détruit le commerce, 359.- Les vices de ceux de Gengis-kan venaient de ce que leur religion défendait ce qu'elle aurait dû permettre, et de ce que leurs lois civiles permettaient ce que la religion aurait dù défendre, 410. - Pourquoi n'ont point de temples: pourquoi si tolérants en fait de religion, 416. Pourquoi peuvent épouser leurs filles et non pas leurs mères, 427, 428. - Arrètent les progrès des Romains, 181.

Tartarie (le kan de). Insulte tous les rois du monde deux fois par jour, 29.

Taxes sur les marchandises. Sont les moins commodes et les moins onéreuses, 295. - Il est quelquefois dangereux de taxer le prix des marchandises, 380. Sur les personnes. Dans quelle proportion doivent être imposées, 294. - Sur les terres. Bornes qu'elles doivent avoir, ibid.

Témoins. Pourquoi il en faut deux pour faire condamner un accusé, 281. Pourquoi le nombre de ceux qui sont requis par les lois romaines pour assister à la confection d'un testament fut fixé à cinq, 433. - Dans les lois barbares, autres que la salique, les témoins formaient une preuve négative complète, en jurant que l'accusé n'était pas coupable, 446. L'accusé pouvait, avant qu'ils eussent été entendus en justice, leur offrir le combat judiciaire : quand et comment ils pouvaient le refuser, 454,455. - Déposaient en public: abrogation de cet usage, 462. - La peine contre les faux témoins est capitale en France; elle ne l'est point en Angleterre: motifs de ces deux lois, 473.

Temples. Leurs richesses attachent à la religion, 416. -Leur origine, ibid. - Les peuples qui n'ont point de maisons ne batissent point de temples, ibid. - Les peuples qui n'ont point de temples ont peu d'attachement pour leur religion, ibid.

Tentations. Elles nous suivent jusque dans la vie la plus austere, 63, 64.

Terrain. Comment sa nature influe sur les lois, 326 et suiv. Plus il est fertile, plus il est propre à la monarchie, ibid.

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