The French first class book: being a new selection of reading lessons |
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Page 246
... Phil . Ah , mettons - nous ici pour écouter à l'aise Ces vers que mot à mot il est besoin qu'on pèse . Arm . Je brûle de les voir . Bel . Et l'on s'en meurt chez nous . Phil . à Trissotin . Ce sont charmes pour moi , que ce qui part de ...
... Phil . Ah , mettons - nous ici pour écouter à l'aise Ces vers que mot à mot il est besoin qu'on pèse . Arm . Je brûle de les voir . Bel . Et l'on s'en meurt chez nous . Phil . à Trissotin . Ce sont charmes pour moi , que ce qui part de ...
Page 247
... Phil . Approchez ; et venez , de toutes vos oreilles , Prendre part au plaisir d'entendre des merveilles . Hen . Je sais peu les beautés de tout ce qu'on écrit , Et ce n'est pas mon fait que les choses d'esprit . Phil . Il n'importe ...
... Phil . Approchez ; et venez , de toutes vos oreilles , Prendre part au plaisir d'entendre des merveilles . Hen . Je sais peu les beautés de tout ce qu'on écrit , Et ce n'est pas mon fait que les choses d'esprit . Phil . Il n'importe ...
Page 248
... Phil . Lui seul des vers aisés possède le talent . Arm . A prudence endormie il faut rendre les armes . Bel . Loger son ennemie est pour moi plein de charmes . Phil . J'aime superbement et magnifiquement ; Bel . Tris . Ces deux adverbes ...
... Phil . Lui seul des vers aisés possède le talent . Arm . A prudence endormie il faut rendre les armes . Bel . Loger son ennemie est pour moi plein de charmes . Phil . J'aime superbement et magnifiquement ; Bel . Tris . Ces deux adverbes ...
Page 249
... Phil . à Trissotin . Mais quand vous avez fait ce charmant quoiqu'on die , Avez - vous compris , vous , toute son ... Phil . Enfin les quatrains sont admirables tous deux ; Venons - en promptement aux tiercets , je vous prie Arm . Ah , s ...
... Phil . à Trissotin . Mais quand vous avez fait ce charmant quoiqu'on die , Avez - vous compris , vous , toute son ... Phil . Enfin les quatrains sont admirables tous deux ; Venons - en promptement aux tiercets , je vous prie Arm . Ah , s ...
Page 250
... Phil . Noyez - la , de vos propres mains . De vos propres mains , là , noyez - la dans les bains . Arm . Chaque pas , dans vos vers , rencontre un trait charmant . Bel . Partout on s'y promène avec ravissement . Phil . On n'y sauroit ...
... Phil . Noyez - la , de vos propres mains . De vos propres mains , là , noyez - la dans les bains . Arm . Chaque pas , dans vos vers , rencontre un trait charmant . Bel . Partout on s'y promène avec ravissement . Phil . On n'y sauroit ...
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Common terms and phrases
Almanzor Alzire amis Argan avez avoit beau belle Beralde best Policy Cathos charmant cher chose ciel cœur colère coup demande Dieu dieux Dinner Hour dire discours dit-il donner doux enfant Enter Eraste esprit est-ce êtes étoit Exit fille fils frère Frosine gens Gér Gusman Harp homme j'ai j'en jamais jeune Jodelet jour juge LIBRARY loup Lucas m'en madame Madelon main Maître à danser Maître d'armes Maître de musique Maître de philosophie Maître Jacq malade malheur manger Mascarille médecin Menzikoff messieurs monde monsieur mort mourir Never too Old One Good Turn pardon parler passer pauvre peine pense père Phil plaisir Polynice Pourceaugnac prendre prince prose Purgon raison renard répondit rien s'il vous plaît sage sais sang seigneur seul Sgan Sganarelle Socrate soin sort Thémistocle Toinette Tris trouve True UNIVERSITY vais vertu veut veux vint voilà vois Zamore
Popular passages
Page 259 - Il faut, parmi le monde, une vertu traitable; A force de sagesse on peut être blâmable ; La parfaite raison fuit toute extrémité, Et veut que l'on soit sage avec sobriété.
Page 204 - Le chêne un jour dit au roseau : Vous avez bien sujet d'accuser la nature ; Un roitelet pour vous est un pesant fardeau ; Le moindre vent qui d'aventure...
Page 257 - Non! tout de bon, quittez toutes ces incartades; Le monde par vos soins ne se changera pas ; Et, puisque la franchise a pour vous tant d'appas, Je vous dirai tout franc que cette maladie, Partout où vous allez, donne la comédie, Et qu'un si grand courroux contre les mœurs du temps Vous tourne en ridicule auprès de bien des gens.
Page 55 - Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme et de toute ta pensée. » C'est le premier et le plus grand commandement. Et voici le second, qui lui est semblable : « Tu aimeras ton prochain comme toi-même.
Page 230 - Ainsi dit le renard; et flatteurs d'applaudir. On n'osa trop approfondir Du tigre, ni de l'ours, ni des autres puissances, Les moins pardonnables offenses: Tous les gens querelleurs, jusqu'aux simples mâtins, Au dire de chacun, étaient de petits saints.
Page 256 - Je refuse d'un cœur la vaste complaisance Qui ne fait de mérite aucune différence ; Je veux qu'on me distingue ; et, pour le trancher net, L'ami du genre humain n'est point du tout mon fait.
Page 261 - C'est de la tête aux pieds un homme tout mystère, Qui vous jette, en passant, un coup d'œil égaré , Et, sans aucune affaire, est toujours affairé. Tout ce qu'il vous débite en grimaces abonde ; A force de façons, il assomme le monde ; Sans cesse il a tout bas, pour rompre l'entretien. Un secret à vous dire, et ce secret n'est rien ; De la moindre vétille il fait une merveille, ^ El, jusques au bonjour, il dit tout à l'oreille.
Page 258 - Par de sales emplois s'est poussé dans le monde, Et que par eux, son sort, de splendeur revêtu, Fait gronder le mérite et rougir la vertu; Quelques titres honteux qu'en tous lieux on lui donne , Son misérable honneur ne voit pour lui personne. Nommez-le fourbe , infâme et scélérat maudit...
Page 264 - L'amour, pour l'ordinaire, est peu fait à ces lois, Et l'on voit les amants vanter toujours leur choix. Jamais leur passion n'y voit rien de blâmable, Et dans l'objet aimé tout leur devient aimable; Ils comptent les défauts pour des perfections, Et savent y donner de favorables noms. La pâle est aux jasmins en blancheur comparable : La...
Page 222 - L'attelage suait, soufflait, était rendu. Une mouche survient, et des chevaux s'approche, Prétend les animer par son bourdonnement, Pique l'un, pique l'autre, et pense à tout moment Qu'elle fait aller la machine...