Morceaux choisis des meilleurs poëtes françois: désignés par la Commission d'instruction publique, pour la classe des belles-lettres des Lycées |
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... porte , élevant ce palais , Il leur y fit trouver l'abondance et la paix . Grand Dieu que cet ouvrage ait place ents I Tu m'écoutes : ma voix ne t'est point étrangère ;. mémoire ! Que tous les soins qu'il prend pour soutenir ta gloire ...
... porte , élevant ce palais , Il leur y fit trouver l'abondance et la paix . Grand Dieu que cet ouvrage ait place ents I Tu m'écoutes : ma voix ne t'est point étrangère ;. mémoire ! Que tous les soins qu'il prend pour soutenir ta gloire ...
Page 20
... portes , seigneur , n'obéissent qu'à mor . enez . Par - tout ailleurs on pourroit nous en- tendre . AMA . Quel est donc le secret que tu me veux apprendre ? HYD ASPE . Seigneur , de vos bienfaits mille fois honoré , - Je me souviens ...
... portes , seigneur , n'obéissent qu'à mor . enez . Par - tout ailleurs on pourroit nous en- tendre . AMA . Quel est donc le secret que tu me veux apprendre ? HYD ASPE . Seigneur , de vos bienfaits mille fois honoré , - Je me souviens ...
Page 22
... porte : A quelque heure que j'entre , Hydaspe , ou que je sorte , Son visage odieux m'afflige et me poursuit ; Et mon esprit troublé le voit encor la nuit . Ce matin j'ai voulu devancer la lumière : Je l'ai trouvé couvert d'une affreuse ...
... porte : A quelque heure que j'entre , Hydaspe , ou que je sorte , Son visage odieux m'afflige et me poursuit ; Et mon esprit troublé le voit encor la nuit . Ce matin j'ai voulu devancer la lumière : Je l'ai trouvé couvert d'une affreuse ...
Page 23
... portes du palais , Dans ce cœur malheureux enfonce mille traits ; Et toute ma grandeur me devient insipide Tandis que le soleil éclaire ce perfide . HYDAS PE . Vous serez de sa vue affranchi dans dix jours : La nation entière est ...
... portes du palais , Dans ce cœur malheureux enfonce mille traits ; Et toute ma grandeur me devient insipide Tandis que le soleil éclaire ce perfide . HYDAS PE . Vous serez de sa vue affranchi dans dix jours : La nation entière est ...
Page 26
... portes du palais , Sans se plaindre de vous ni de sa destinée , Il y traîne , seigneur , sa vie infortunée . ASSUER US . Et je dois d'autant moins oublier la vertu , Qu'elle - même s'oublie . Il se nomme , dis - tu ? ASAP H. Mardochée ...
... portes du palais , Sans se plaindre de vous ni de sa destinée , Il y traîne , seigneur , sa vie infortunée . ASSUER US . Et je dois d'autant moins oublier la vertu , Qu'elle - même s'oublie . Il se nomme , dis - tu ? ASAP H. Mardochée ...
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Morceaux Choisis des Meilleurs Poëtes François: Désignés par la Commission d ... No preview available - 2017 |
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Common terms and phrases
Abner ACASTE aime ALCE ALCESTE Allez AMAN amour ARSINO ASSUÉR ASSUÉRUS ATHALIE avoit Baal CASTE CÉLIMÈNE chante charmes cher CHOE U R CHOEUR ciel cieux CLIT CLITANDRE cœur courroux d'Athalie d'Esther David Dieu dieux douceur doux éclatant Eliacin ÉLIANT Eliante encens enfans enfant enfin ennemis esprit Est-ce ESTHER étoit fille fils foible foiblesse fureur gloire grace grand-prêtre Hélas héros heureux homme HYDAS HYDASPE ISMAEL ISRA ÉLITE ISRAELITE j'ai jamais Jéhu Jézabel JOAD Joas Joram JOSA Josabet jour Juifs l'univers lévites lieux madame main Mardochée Mathan méchans monsieur mortels Ochozias ORON ORONTE par-tout parler paroître père perfide peuple PHIL PHIL INTE PHILINTE plaisirs pleurs prêtres prince profane qu'un race raison reine rien rimer rois rois de Juda sacrés sage saint sais SALOMITH sang SCENE VII secret Seigneur seul Sion soins sort souffrir temple triste trône trouble veut veux vois voix yeux ZACHARIE zèle Α Ν
Popular passages
Page 233 - Enfin Malherbe vint, et, le premier en France, Fit sentir dans les vers une juste cadence, D'un mot mis en sa place enseigna le pouvoir. Et réduisit la Muse aux règles du devoir.
Page 143 - D'où vient que, leur portant une haine mortelle, Vous pouvez bien souffrir ce qu'en tient cette belle? Ne sont-ce plus défauts dans un objet si doux? Ne les voyez-vous pas, ou les excusez-vous?
Page 115 - Loin du trône nourri, de ce fatal honneur. Hélas ! vous ignorez le charme empoisonneur ; De l'absolu pouvoir vous ignorez l'ivresse, Et des lâches flatteurs la voix enchanteresse. Bientôt ils vous diront que les plus saintes...
Page 139 - Non! tout de bon, quittez toutes ces incartades; Le monde par vos soins ne se changera pas ; Et, puisque la franchise a pour vous tant d'appas, Je vous dirai tout franc que cette maladie, Partout où vous allez, donne la comédie, Et qu'un si grand courroux contre les mœurs du temps Vous tourne en ridicule auprès de bien des gens.
Page 249 - Et vouloir aux lecteurs plaire sans agrément. Bientôt ils défendront de peindre la Prudence ; De donner à Thémis ni bandeau ni balance ; De figurer aux yeux la Guerre au front d'airain, Ou le temps qui s'enfuit une horloge à la main ; Et partout, des discours, comme une idolâtrie, Dans leur faux zèle iront chasser l'allégorie.
Page 252 - Le magistrat des lois emprunta le secours , Et, rendant par édit les poètes plus sages, Défendit de marquer les noms et les visages. Le théâtre perdit son antique fureur : La Comédie apprit à rire sans aigreur, Sans fiel et sans venin sut instruire et reprendre , Et plut innocemment dans les vers de Ménandre. Chacun, peint avec art dans ce nouveau miroir, S'y vit avec plaisir, ou crut ne s'y point voir : 1 Les Nuées, comédie d'Aristophane.
Page 80 - Ma fille." En achevant ces mots épouvantables, Son ombre vers mon lit a paru se baisser, Et moi je lui tendais les mains pour l'embrasser; Mais je n'ai plus trouvé qu'un horrible mélange D'os et de chair meurtris et traînés dans la fange, Des lambeaux pleins de sang, et des membres affreux Que des chiens dévorants se disputaient entre eux.
Page 136 - Je vous vois accabler un homme de caresses, Et témoigner pour lui les dernières tendresses; De protestations, d'offres et de serments Vous chargez la fureur de vos embrassements ; Et, quand je vous demande après quel est cet homme, A peine pouvez-vous dire comme il se nomme: Votre chaleur pour lui tombe en vous séparant, Et vous me le traitez, à moi, d'indifférent.
Page 140 - Par de sales emplois s'est poussé dans le monde, Et que, par eux, son sort, de splendeur revêtu, Fait gronder le mérite et rougir la vertu. Quelques titres honteux qu'en tous lieux on lui donne, Son misérable honneur ne voit pour lui personne. Nommez-le fourbe, infâme, et scélérat maudit...
Page 259 - Je sais qu'un noble esprit peut, sans honte et sans crime, Tirer de son travail un tribut légitime ; Mais je ne puis souffrir ces auteurs renommés, Qui, dégoûtés de gloire et d'argent affamés, Mettent leur Apollon aux gages d'un libraire Et font d'un art divin un métier mercenaire.