Morceaux choisis des meilleurs poëtes françois: désignés par la Commission d'instruction publique, pour la classe des belles-lettres des Lycées |
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... père et de mère . Du triste état des Juifs jour et nuit agité , 1l me tira du sein de mon obscurité ; Et , sur mes foibles mains fondant leur délivrance , Il me fit d'un empire accepter l'espérance . A ses desseins secrets , tremblante ...
... père et de mère . Du triste état des Juifs jour et nuit agité , 1l me tira du sein de mon obscurité ; Et , sur mes foibles mains fondant leur délivrance , Il me fit d'un empire accepter l'espérance . A ses desseins secrets , tremblante ...
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... père a moins de soin du salut de son fils . ( D Déjà même , déjà , par ses secrets avis , J'ai découvert au roi les sanglantes pratiques Que formoient contre lui deux ingrats domes tiques . I Cependant mon amour pour notre nation A ...
... père a moins de soin du salut de son fils . ( D Déjà même , déjà , par ses secrets avis , J'ai découvert au roi les sanglantes pratiques Que formoient contre lui deux ingrats domes tiques . I Cependant mon amour pour notre nation A ...
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... père , est - ce vous ? Prévenu contre nous par cette bouche impure , Il nous. Un ange du seigneur sous son aile sacrée A donc conduit vos pas , et caché votre entrée ? Mais d'où vient cet air sombre , et ce cilice af- freux , Et cette ...
... père , est - ce vous ? Prévenu contre nous par cette bouche impure , Il nous. Un ange du seigneur sous son aile sacrée A donc conduit vos pas , et caché votre entrée ? Mais d'où vient cet air sombre , et ce cilice af- freux , Et cette ...
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... père mille fois m'a dit dans mon enfance Qu'avec nous tu juras une une sainte alliance , Quand , pour te faire un peuple agréable à tes yeux , Il plut à ton amour de choisir nos aïeux : Même tu leur Une onde ta bouche sacrée Millerée ...
... père mille fois m'a dit dans mon enfance Qu'avec nous tu juras une une sainte alliance , Quand , pour te faire un peuple agréable à tes yeux , Il plut à ton amour de choisir nos aïeux : Même tu leur Une onde ta bouche sacrée Millerée ...
Page 17
... la mère , Le fils dans les bras de son père ! Que de corps entassés , que de membres épars Privés de sépulture ! Grand Dieu , tes saints sont la pâture Des tigres et des léopards ! UNE DES PLUS JEUNES ACTE 1 , SCÈNE V. 17.
... la mère , Le fils dans les bras de son père ! Que de corps entassés , que de membres épars Privés de sépulture ! Grand Dieu , tes saints sont la pâture Des tigres et des léopards ! UNE DES PLUS JEUNES ACTE 1 , SCÈNE V. 17.
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Morceaux Choisis des Meilleurs Poëtes François: Désignés par la Commission d ... No preview available - 2017 |
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Common terms and phrases
Abner ACASTE aime ALCE ALCESTE Allez AMAN amour ARSINO ASSUÉR ASSUÉRUS ATHALIE avoit Baal CASTE CÉLIMÈNE chante charmes cher CHOE U R CHOEUR ciel cieux CLIT CLITANDRE cœur courroux d'Athalie d'Esther David Dieu dieux douceur doux éclatant Eliacin ÉLIANT Eliante encens enfans enfant enfin ennemis esprit Est-ce ESTHER étoit fille fils foible foiblesse fureur gloire grace grand-prêtre Hélas héros heureux homme HYDAS HYDASPE ISMAEL ISRA ÉLITE ISRAELITE j'ai jamais Jéhu Jézabel JOAD Joas Joram JOSA Josabet jour Juifs l'univers lévites lieux madame main Mardochée Mathan méchans monsieur mortels Ochozias ORON ORONTE par-tout parler paroître père perfide peuple PHIL PHIL INTE PHILINTE plaisirs pleurs prêtres prince profane qu'un race raison reine rien rimer rois rois de Juda sacrés sage saint sais SALOMITH sang SCENE VII secret Seigneur seul Sion soins sort souffrir temple triste trône trouble veut veux vois voix yeux ZACHARIE zèle Α Ν
Popular passages
Page 233 - Enfin Malherbe vint, et, le premier en France, Fit sentir dans les vers une juste cadence, D'un mot mis en sa place enseigna le pouvoir. Et réduisit la Muse aux règles du devoir.
Page 143 - D'où vient que, leur portant une haine mortelle, Vous pouvez bien souffrir ce qu'en tient cette belle? Ne sont-ce plus défauts dans un objet si doux? Ne les voyez-vous pas, ou les excusez-vous?
Page 115 - Loin du trône nourri, de ce fatal honneur. Hélas ! vous ignorez le charme empoisonneur ; De l'absolu pouvoir vous ignorez l'ivresse, Et des lâches flatteurs la voix enchanteresse. Bientôt ils vous diront que les plus saintes...
Page 139 - Non! tout de bon, quittez toutes ces incartades; Le monde par vos soins ne se changera pas ; Et, puisque la franchise a pour vous tant d'appas, Je vous dirai tout franc que cette maladie, Partout où vous allez, donne la comédie, Et qu'un si grand courroux contre les mœurs du temps Vous tourne en ridicule auprès de bien des gens.
Page 249 - Et vouloir aux lecteurs plaire sans agrément. Bientôt ils défendront de peindre la Prudence ; De donner à Thémis ni bandeau ni balance ; De figurer aux yeux la Guerre au front d'airain, Ou le temps qui s'enfuit une horloge à la main ; Et partout, des discours, comme une idolâtrie, Dans leur faux zèle iront chasser l'allégorie.
Page 252 - Le magistrat des lois emprunta le secours , Et, rendant par édit les poètes plus sages, Défendit de marquer les noms et les visages. Le théâtre perdit son antique fureur : La Comédie apprit à rire sans aigreur, Sans fiel et sans venin sut instruire et reprendre , Et plut innocemment dans les vers de Ménandre. Chacun, peint avec art dans ce nouveau miroir, S'y vit avec plaisir, ou crut ne s'y point voir : 1 Les Nuées, comédie d'Aristophane.
Page 80 - Ma fille." En achevant ces mots épouvantables, Son ombre vers mon lit a paru se baisser, Et moi je lui tendais les mains pour l'embrasser; Mais je n'ai plus trouvé qu'un horrible mélange D'os et de chair meurtris et traînés dans la fange, Des lambeaux pleins de sang, et des membres affreux Que des chiens dévorants se disputaient entre eux.
Page 136 - Je vous vois accabler un homme de caresses, Et témoigner pour lui les dernières tendresses; De protestations, d'offres et de serments Vous chargez la fureur de vos embrassements ; Et, quand je vous demande après quel est cet homme, A peine pouvez-vous dire comme il se nomme: Votre chaleur pour lui tombe en vous séparant, Et vous me le traitez, à moi, d'indifférent.
Page 140 - Par de sales emplois s'est poussé dans le monde, Et que, par eux, son sort, de splendeur revêtu, Fait gronder le mérite et rougir la vertu. Quelques titres honteux qu'en tous lieux on lui donne, Son misérable honneur ne voit pour lui personne. Nommez-le fourbe, infâme, et scélérat maudit...
Page 259 - Je sais qu'un noble esprit peut, sans honte et sans crime, Tirer de son travail un tribut légitime ; Mais je ne puis souffrir ces auteurs renommés, Qui, dégoûtés de gloire et d'argent affamés, Mettent leur Apollon aux gages d'un libraire Et font d'un art divin un métier mercenaire.