Histoire de Madame de Maintenon et des principaux événements du règne de Louis XIV, Volume 2Comptoir des imprimeurs-unis, Lacroix-Comon, 1848 - France |
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appartement assemblées avaient Bossuet Calvin canal cardinal cardinal de Noailles catholiques cent château choses clergé conseil cour culte d'Aubigné dame Dangeau déclaration devait dévotion Dieu donner duc de Saint-Simon édits églises esprit établi état évêques faisait gouvernement guerre Henri Henri IV hérétiques huguenots intendants j'ai jour jusqu'à l'abbé l'aqueduc l'édit de Nantes l'Église l'État l'hérésie Languedoc Lettre à madame lois Louis XIV Louvois madame de Caylus madame de Main madame de Maintenon madame de Montespan madame de Sévigné madame la Dauphine mademoiselle d'Aumale Majesté mariage Marly marquis de Sourches Mémoires de Saint-Simon ment messe mètres mille livres ministres Monseigneur n'était Noailles nouveaux convertis parler passer personne peuple politique Pontgouin prince princesse protestantisme protestants provinces raison règne reine religieuse religion prétendue réformée religionnaires reste révocation de l'édit Richelieu rien rivière d'Eure royaume s'était Saint-Cyr Saint-Géran Saint-Simon sentiments serait seule sorte sujet tion tolérance troupes trouva Versailles voulait
Popular passages
Page 373 - Vu ladite requête, et les pièces y jointes, ouï le rapport, et tout considéré, le roi étant en son conseil, a ordonné et ordonne que par les juges des lieux il sera informé des faits ci-dessus, et le procès fait et parfait aux coupables ainsi qu'il appartiendra, sauf
Page 487 - Saint-Germain. Je pleurai d'abord beaucoup ; mais je trouvai le lendemain la messe du roi si belle, que je consentis à me faire catholique à condition que je l'entendrais tous les jours, et qu'on me garantirait du fouet; c'est là toute la controverse qu'on employa, et la seule abjuration que je fis.
Page 225 - qu'il plaît à Dieu commencer à nous faire jouir de quelque meilleur repos, nous avons estimé ne le pouvoir mieux employer qu'à vaquer à ce qui peut concerner la gloire de son saint nom et service, et à pourvoir qu'il puisse être adoré et prié par tous nos sujets, et s'il ne lui a plu permettre que ce
Page 404 - Ceux qui ne veulent pas souffrir que le prince use de rigueur en matière de religion, parce que la religion doit être libre, sont dans une erreur impie; autrement il faudrait souffrir dans tous les sujets et dans tout l'Etat, l'idolâtrie, le
Page 317 - mais aussi de ne leur accorder rien de plus, et d'en renfermer même l'exécution dans les plus étroites bornes que la justice et la bienséance le pourraient permettre. Je nommai pour cela, dès cette année même, des commissaires exécuteurs de l'édit de Nantes. Je fis cesser avec soin partout les entreprises de ceux de cette religion
Page 42 - rappelant à ma mémoire, qu'elle était causée par une incertitude violente de son état, de ses pensées, de ses craintes et de ses espérances; en un mot, son cœur n'était pas libre et son esprit fort agité. Pour cacher ces divers mouvements, et pour justifier les larmes que son domestique et moi lui
Page 440 - Vous avez vu sans doute l'édit par lequel le roi révoque celui de Nantes; rien n'est si beau que ce qu'il contient, et jamais aucun roi n'a fait et ne fera rien de plus mémorable ;
Page 102 - du roi. Il y en a encore, dit-on , pour deux ans. Les arcades qui doivent joindre les deux montagnes vis-à-vis Maintenon sont presque faites; il y en a quarante-huit; elles sont bâties pour l'éternité. Je voudrais qu'on eût autant d'eau à faire passer dessus qu'elles sont capables d'en porter. Il ya là plus de trente mille
Page 437 - de publier ce miracle de nos jours; faisons-en passer le récit aux siècles futurs. Prenez vos plumes sacrées, vous qui composez les annales de l'Église : agiles instruments d'un prompt écrivain et d'une main diligente, bâtez-vous de mettre Louis avec les Constantin et les
Page 5 - Enfin nul autre ami n'a tant de soin et d'attention que le roi en a pour elle ; et ce que j'ai dit bien des fois, elle lui fait connaître un pays tout nouveau, je veux dire le commerce de l'amitié et de la conversation, sans chicane et sans contrainte; il en paraît charmé*.