Lettres d'une passant, Volume 1E. Maillet, 1868 |
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Abd-el-Kader ailes aimé amour Arsène Houssaye assez avez bataille beau belle briller bruit Catherine de Bourbon César chants charme cher chevaux chiens choses Cicéron ciel cœur comédie console couronne d'autrefois Démosthènes députés dernier devant Dieu dieux dire discours Dupin Émile Augier Émile Ollivier femmes fidèle fleurs fortune gagner gens Glais-Bizoin gloire goût guerre héros heureux hippodromes hommes humaines illustre in-18 jésus j'ai jamais jeune jeunesse joli jour juge Jules Favre laisse lèvres liberté livre lois Lord Palmerston luxe main maître ment mieux monde monsieur le ministre Morny mort noble œuvres Ollivier orateur parler parole passé passions pensée perdu Père Hyacinthe peuple plume poëte politique porte premier prince prix du Jockey-Club qu'un Rainneville regret retentir rien roses s'est saint saint Hubert sais sait semble Sénat sénateur sent seul soldats soleil souvent talent tantôt terre tête teurs théâtre Thérésa Cabarrus tombe triomphe Veuillot victoire vieille voix
Popular passages
Page 73 - Lynx envers nos pareils, et taupes envers nous, Nous nous pardonnons tout, et rien aux autres hommes. On se voit d'un autre œil qu'on ne voit son prochain. Le fabricateur souverain Nous créa besaciers tous de même manière, '' Tant ceux du temps passé que du temps d'aujourd'hui : II fit pour nos défauts la poche de derrière, Et celle de devant pour les défauts d'autrui.
Page 153 - Montespan ? Fuyant des courtisans les oreilles de pierre, La Fontaine vint-il, les pleurs dans la paupière, De ses nymphes de Vaux vous conter les regrets?
Page 34 - Jetez les yeux de toutes parts : voilà tout ce qu'a pu faire la magnificence et la piété pour honorer un héros ; des titres, des inscriptions, vaines marques de ce qui n'est plus; des figures qui semblent pleurer autour d'un tombeau, et de fragiles images d'une douleur que le temps emporte avec tout le reste...
Page 19 - De plus, il y avait un certain droit des gens, une opinion établie dans toutes les républiques de Grèce et d'Italie, qui faisait regarder comme un homme vertueux l'assassin de celui qui avait usurpé la souveraine puissance. A Rome, surtout depuis l'expulsion des rois, la loi était précise, les exemples reçus : la république armait le bras de chaque citoyen, le faisait magistrat pour le moment, et l'avouait pour sa défense.
Page 233 - Ma chère sœur, j'ai reçu à beaucoup de consolation votre visite1; j'en ai bien besoin, car mon affliction est aussi incomparable comme l'étoit le sujet qui me la donne : les regrets et les plaintes m'accompagneront jusques au tombeau. Cependant puisque Dieu m'a fait naître pour ce royaume et non pour moi, tous mes sens et mes soins ne seront plus employés qu'à l'avancement et conservation d'icelui.
Page 233 - La racine de mon amour est morte, elle ne rejettera plus; mais celle de mon amitié sera toujours verte pour vous, ma chère sœur, que je baise un million de fois.
Page 199 - Ulysse, au mât du vaisseau , car si tu allais partager leurs dangers, ils te diraient : « Nous n'avons que faire de ton sang ! » « Si une calamité publique afflige tes concitoyens; si l'on reçoit, pour soulager l'infortune, l'offrande du riche comme celle du pauvre; n'envoie pas le fruit de tes épargnes, car on te dirait : Nous n'avons que faire de l'obole de l'exilé! » « Prends garde, à chaque pas que tu fais, à chaque mot que tu prononces, à chaque soupir qui s'échappe de ta poitrine,...
Page 264 - Mésopotamie a dû plus d'une fois déclamer ses plus brillantes compositions au bruit des jets d'eau « qui ne se taisaient ni jour ni nuit...
Page 121 - ... contre le roi. Tenons-nous-en au principe. L'armée n'est instituée au dehors que pour la défense du territoire, au dedans que pour assurer force à la justice et force à la loi... C'est un mauvais jeu que d'employer les soldats...
Page 150 - Et puisqu'il est dit, conclutelle, que, si le Seigneur ne bâtit pas la maison, c'est en vain que travaillent ceux qui la bâtissent, nous vous souhaitons, Mesdames et Messieurs, que Dieu soit avec vous.