...joyaux de sa couronne... » Et le duc de Broglie termine en rappelant « la grâce qui parait alors le front de la France d'une beauté si originale ;...délicate des mains qui maniaient si légèrement l'épce; ce clairon des batailles, entraînant comme la musique d'une fête; cette gaieté qui souriait...

...peut se relever ; la frontière rétrécie peut s'étendre. Mais cette grâce, qui parait le front do la France d'une beauté si originale; cette élégance...clairon des batailles entraînant comme la musique d'une fôte ; cette galté qui souriait jusque dans la mort ; tout cet éclat, en un mot, qui charmait le...

...l'avenir, de la discorde des classes, et du souvenir des luttes civiles toujours prêtes à renaître. Rien de pareil n'attristait, le soir de Fontenoy, l'imagination...délicate des mains qui maniaient si légèrement l'épéc ; ce clairon des batailles entraînant comme la musique d'une fête ; cetle gaieté qui souriait...

...grâce qui parait le front de la France d'une beauté si originale ; cette élégance qui n'ôtaitrien à sa force; cette finesse délicate des mains qui...entraînant comme la musique d'une fête; cette gaieté qui sonriait jusque dans la mort; tout cet éclat, en un mot, qui charmait le monde et qui séduit encore...

...est-ce donc fait et sans retour? Tous les dons que la fortune nous a ravis peuvent nous être rendus. Mais cette grâce qui parait le front de la France...entraînant comme la musique d'une fête; cette gaieté qui souriait jusque dans la mort; tout cet éclat, en un mot, qui charmait le monde et qui séduit encore...

...des luttes civiles toujours prêtes à renaître. Rien de pareil n'attristait, le soir de Pontenoy, l'imagination d'un jeune vainqueur ; sa confiance...batailles entraînant comme la musique d'une fête; cette gaité qui souriait jusque dans la mort; tout cet éclat, en un mot, qui charmait le monde et qui séduit...

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