Questions sur l'encyclopédie, Volume 1; Volume 8Cramer, 1771 - Encyclopedias and dictionaries, French |
Other editions - View all
Common terms and phrases
૪ ૪ abfurde affez affurément ainfi auffi c'eft c'eſt cent chofe chrétiens confeil déja DIEU difait difent difpute efclaves efprits eft-ce enfans ère vulgaire eſt évêque expreffément facrement fage faint fang fans favant fecond fecret fefait felon femble femme fens fent fept ferait fervir feul fiécle figne fille fimple foient foit fommes font fous fouvent fouverain fuis fuivant fujet fupplice furtout homme jamais JESUS JESUS-CHRIST jufqu'à juftice Juifs l'efprit l'églife l'hiftoire laiffer livre loix longtems Louis XII maffacres maître Meffie ment mille millions miracles Monfieur mort Moyfe n'avait n'eft n'eſt n'était nation néceffaire Néron paffages paffe pape parlement penfe père perfonne perfuadé peuple philofophes Pierre Jurieu plufieurs poffède poffible polypes prefque prépuce prêtres prince princeffe prophètes proteftans puiffance puiffant qu'un queftion raifon Ravaillac refpectable refte religion rois Romains Rome s'eft Saül Seigneur tems terre Théodote toûjours ufage دو دو رو وو
Popular passages
Page 343 - D'arracher un hommage à mille autres offert, Et d'entrer dans un cœur de toutes parts ouvert. Mais de faire fléchir un courage inflexible, De porter la douleur dans une âme insensible, D'enchaîner un captif de ses fers étonné, Contre un joug qui lui plaît vainement mutiné...
Page 182 - Ce champ que je cultive, cette maison que j'ai bâtie sont à moi; j'y vis sous la protection des lois, qu'aucun tyran ne peut enfreindre. Quand ceux qui possèdent, comme moi, des champs et des maisons, s'assemblent pour leurs intérêts communs, j'ai ma voix dans cette assemblée; je suis une partie du tout, une partie de la communauté, une partie de la souveraineté: voilà ma patrie.
Page 4 - Cette vénalité est bonne dans les États monarchiques, parce qu'elle fait faire , comme un métier de famille , ce qu'on ne voudrait pas entreprendre pour la vertu ; qu'elle destine chacun à son devoir, et rend les ordres de l'État plus permanens.