Revue de Bretagne et de Vendée, Volume 14J. Forest ainé, 1863 - Brittany (France) |
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Page 37
... donner à un parent une franche et cordiale hospitalité . Ainsi donc , à la besogne , et tordons le cou à la moitié de la basse - cour ; car je veux inviter à dîner , avec mon cousin , le recteur et le maire de Ploudiry . Qu'en penses ...
... donner à un parent une franche et cordiale hospitalité . Ainsi donc , à la besogne , et tordons le cou à la moitié de la basse - cour ; car je veux inviter à dîner , avec mon cousin , le recteur et le maire de Ploudiry . Qu'en penses ...
Page 39
... donner une contenance devant son subalterne , qui l'observait d'un air narquois . - On s'est encore permis de barbouiller mon buste , Bideau ; j'en acheterai un autre à tes frais , entends - tu , maladroit ? - - - C'est pas moi , Postik ...
... donner une contenance devant son subalterne , qui l'observait d'un air narquois . - On s'est encore permis de barbouiller mon buste , Bideau ; j'en acheterai un autre à tes frais , entends - tu , maladroit ? - - - C'est pas moi , Postik ...
Page 41
... donner un dernier coup de cire au plancher et aux meubles de la chambre rouge ; que l'on achève de monter les rideaux ; le ciel du lit n'est pas solide , hier au soir je n'y voyais pas assez à onze heures pour bien le clouer , à la ...
... donner un dernier coup de cire au plancher et aux meubles de la chambre rouge ; que l'on achève de monter les rideaux ; le ciel du lit n'est pas solide , hier au soir je n'y voyais pas assez à onze heures pour bien le clouer , à la ...
Page 45
... ce ne soit pour lui donner la croix d'hon- neur ; voila toute l'histoire . - - Ah ! ça , que dis - tu donc là , reprit le pauvre maire , rassuré sur les moustaches , mais étonné singulièrement de la décoration LES DEUX COUSINS . 45.
... ce ne soit pour lui donner la croix d'hon- neur ; voila toute l'histoire . - - Ah ! ça , que dis - tu donc là , reprit le pauvre maire , rassuré sur les moustaches , mais étonné singulièrement de la décoration LES DEUX COUSINS . 45.
Page 46
... donner à beaucoup plus digne , M. Postik ; car vous êtes maire depuis 18 .... je veux dire depuis plus de sept ans . Quoi qu'il en soit , vous nous administrez fort bien , et vous nous rendez autant de services , à nous et à tous vos ...
... donner à beaucoup plus digne , M. Postik ; car vous êtes maire depuis 18 .... je veux dire depuis plus de sept ans . Quoi qu'il en soit , vous nous administrez fort bien , et vous nous rendez autant de services , à nous et à tous vos ...
Contents
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Common terms and phrases
2e SÉRIE Alfred de Vigny âme Antonins armoricaine Armorique assez avaient beau Borderie Bretons Bretons insulaires Brizan c'était Cartulaire cathédrale Champagny chants château de Lamballe Châteaubriant cher chose chrétienne cœur comte Conan Mériadec Courson député dernier devant Dieu dire église eût évêque famille femme fille François Ier Françoise d'Amboise Gabik Gallois général Georges Gildas guerre gwerz Hénora Hirel homme IVe siècle j'ai jamais Jean Chapelain JEAN ROSMAR jeune jour Kerestin l'Armorique l'église l'histoire Lacordaire laisser Lamballe Lestrézec lettre livre Lorient Louis Louis Blanc main maison malheureux ment monde Monsieur Montfort mort n'avait Nantes Nennius Noirmoutier parler paroisse passer pauvre pays pensée père peuple philosophie Pictes Pierre porte premier Pyrame RAOUL CLEAUROUX Renan Rennes reste Revue de Bretagne rien saint Saint-Brieuc savant scène seigneur sentiment seul siècle sieur soldats sols sorte Stofflet suivant Thisbé tion Tréguier trouve Varin Vendée vendéens vieux voilà
Popular passages
Page 171 - L'on voit certains animaux farouches, des mâles et des femelles, répandus par la campagne, noirs, livides et tout brûlés du soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible ; ils ont comme une voix articulée, et quand ils se lèvent sur leurs pieds, ils montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes. Ils se retirent la nuit dans des tanières, où ils vivent de pain noir, d'eau et de racines ; ils épargnent aux autres hommes la peine...
Page 399 - Je le suis, ma Psyché, de toute la nature. Les rayons du soleil vous baisent trop souvent; Vos cheveux souffrent trop les caresses du vent; Dès qu'il les flatte , j'en murmure : L'air même que vous respirez Avec trop de plaisir passe par votre bouche; Votre habit de trop près vous touche ; Et, sitôt que vous soupirez, Je ne sais quoi, qui m'effarouche, Craint, parmi vos soupirs, des soupirs égarés.
Page 21 - Monseigneur, que ce long enchaînement des causes particulières, qui font et défont les empires, dépend des ordres secrets de la divine Providence. Dieu tient du plus haut des cieux les rênes de tous les royaumes ; il a tous les cœurs en sa main ; tantôt il retient les passions ; tantôt il leur lâche la bride, et par là il remue tout le genre humain.
Page 399 - L'AMOUR. Je le suis, ma Psyché, de toute la nature. Les rayons du soleil vous baisent trop souvent ; Vos cheveux souffrent trop les caresses du vent ; Dès qu'il les flatte, j'en murmure...
Page 268 - Sauvez-moi. Conservez un bras Qui lance votre foudre, un amant qui vous venge. Mourir sans vider mon carquois! Sans percer, sans fouler, sans pétrir dans leur fange Ces bourreaux barbouilleurs de lois! Ces vers cadavéreux de la France asservie, Égorgée! O mon cher trésor, O ma plume! fiel, bile, horreur, Dieux de ma vie!
Page 387 - Ah ! voici le poignard qui du sang de son maître S'est souillé lâchement. Il en rougit , le traître I Toutes les glaces du nord ensemble ne sont pas , à mon sens , plus froides que cette pensée.
Page 231 - La vérité est le fondement et la raison de la perfection et de la beauté. Une chose, de quelque nature qu'elle soit, ne saurait être belle et parfaite, si elle n'est véritablement tout ce qu'elle doit être, et si elle n'a tout ce qu'elle doit avoir.
Page 98 - Allez dire à Jean ce que vous avez entendu et ce que vous avez vu : les aveugles voient , les boiteux marchent, les lépreux sont guéris , les sourds entendent , les morts ressuscitent , l'Evangile est annoncé aux pauvres, et heureux est celui qui ne prendra pas de moi un sujet de scandale.
Page 405 - Mais ma douleur te parle en vain de revenir. Depuis que ce beau sang passe en ta nourriture, Tes sens ont dépouillé leur cruelle nature. Je crois que ton humeur change de qualité, Et qu'elle a plus d'amour que de brutalité. Depuis que sa belle âme est...
Page 7 - Dont chacun d'eux gardait sa symbolique part; Frère ! se disaient-ils , reconnais-tu la lame ? Est-ce bien là l'éclair, l'eau , la trempe et le fil ? Et l'acier qu'a fondu le même jet de flamme Fibre à fibre se rejoint-il...