Revue des deux mondesAu Bureau de la Revue des deux mondes, 1842 - France |
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... monde pût me remuer ainsi le cœur . Ah ! ma pauvre Andrette , il me semble que mon ame s'est tout à coup rajeunie , que je reviens à vingt ans . Quelle faiblesse ! Moi , Mme Godefroi , une vieille femme qui a passé sa vie à raisonner ...
... monde pût me remuer ainsi le cœur . Ah ! ma pauvre Andrette , il me semble que mon ame s'est tout à coup rajeunie , que je reviens à vingt ans . Quelle faiblesse ! Moi , Mme Godefroi , une vieille femme qui a passé sa vie à raisonner ...
Page 12
... monde , et je crois aussi un mariage selon votre cœur . -Je ne me plains pas de M. de Blanquefort , répondit la marquise , dont l'austère visage trahissait les angoisses d'une ame qui réprime ses souffrances . - Mme Godefroi serra la ...
... monde , et je crois aussi un mariage selon votre cœur . -Je ne me plains pas de M. de Blanquefort , répondit la marquise , dont l'austère visage trahissait les angoisses d'une ame qui réprime ses souffrances . - Mme Godefroi serra la ...
Page 13
... monde . 3 Mme Godefroi salua froidement l'abbé et jeta rapidement sur lui un regard observateur , sévère , presque dédaigneux . La vieille femme philosophe professait une franche aversion pour les prêtres en gé ,, néral , et l'abbé ...
... monde . 3 Mme Godefroi salua froidement l'abbé et jeta rapidement sur lui un regard observateur , sévère , presque dédaigneux . La vieille femme philosophe professait une franche aversion pour les prêtres en gé ,, néral , et l'abbé ...
Page 30
... monde plus monotone , plus pénible , plus dure que celle qui l'attend dans le cloître ? -Oui , madame ; telle est la triste tâche que je me suis imposée ; si je m'étais trompé , que Dieu me pardonne en faveur de ma bonne intention ...
... monde plus monotone , plus pénible , plus dure que celle qui l'attend dans le cloître ? -Oui , madame ; telle est la triste tâche que je me suis imposée ; si je m'étais trompé , que Dieu me pardonne en faveur de ma bonne intention ...
Page 33
... monde pour son malheur ! Dieu me garde de manquer au respect que je dois à mon maître ; mais , puisque vous me demandez la vérité , il faut la dire : M. le marquis est un mauvais père . Il ne voulait qu'un héritier , et , quand cet ...
... monde pour son malheur ! Dieu me garde de manquer au respect que je dois à mon maître ; mais , puisque vous me demandez la vérité , il faut la dire : M. le marquis est un mauvais père . Il ne voulait qu'un héritier , et , quand cet ...
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Common terms and phrases
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Popular passages
Page 938 - Arrête que tous les membres de cette Assemblée prêteront à l'instant serment solennel de ne jamais se séparer, et de se rassembler partout où les circonstances l'exigeront, jusqu'à ce que la constitution du royaume soit établie et affermie sur des fondemens solides; et que ledit serment étant prêté, tous les membres, et chacun d'eux en particulier, confirmeront par leur signature, cette résolution inébranlable.
Page 800 - Tu nous rendras alors nos douces destinées ; Nous ne reverrons plus ces fâcheuses années Qui pour les plus heureux n'ont produit que des pleurs. Toute sorte de biens comblera nos familles, La moisson de nos champs lassera les faucilles, Et les fruits passeront la promesse des fleurs.
Page 799 - Inde furor vulgo quod numina vicinorum Odit uterque locus, quum solos credat habendos Esse deos quos ipse colit.
Page 132 - ... sa volute on approche l'oreille On entend mille voix qu'on ne peut démêler. Tantôt c'est la tempête avec ses lourdes vagues Qui viennent en tonnant se briser sur tes pas, Tantôt c'est la forêt avec ses frissons vagues, Tantôt ce sont des voix qui chuchotent tout bas. Oh ! ne dirais-tu pas, à ce confus murmure Que rend le coquillage aux lèvres de carmin, Un écho merveilleux où l'immense nature Résume tous ses bruits dans le creux de ta main ? Emporte-la, mon ange ! Et quand ton esprit...
Page 190 - Le petit enfant Amour Cueilloit des fleurs à l'entour D'une ruche, où les avettes Font leurs petites logettes. Comme il les alloit cueillant, Une avette sommeillant Dans le fond d'une fleurette, Luy piqua la main douillette. Si tost que piqué se vit, Ah ! je suis perdu (ce dit) Et s'en-courant vers sa mere Luy monstra sa playe amere.
Page 234 - Comme il disait ces mots , Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des enfants Que le nord eût portés jusque-là dans ses flancs. L'arbre tient bon ; le roseau plie. Le vent redouble ses efforts , Et fait si bien qu'il déracine Celui de qui la tête au ciel était voisine , Et dont les pieds touchaient à l'empire des morts.
Page 948 - Si la puissance exécutrice n'a pas le droit d'arrêter les entreprises du corps législatif, celui-ci sera despotique : car, comme il pourra se donner tout le pouvoir qu'il peut imaginer, il anéantira toutes les autres puissances.
Page 445 - ... mais ces cas sont rares. Quelquefois le gros anneau de fer qui suspend le mouton vient à casser; alors il faut cinq ou six mois pour pouvoir , avec d'autres moutons , broyer le premier et le réduire en bouillie. Quand la roche est assez bonne, on avance jusqu'à deux pieds dans les vingt-quatre heures. On reste au moins trois ans pour creuser un puits. Pour tirer l'eau , on descend dans le puits un tube de bambou , long de...
Page 197 - Le mot d'Idillie lui a paru se mieux rapporter à ses desseins, « d'autant qu'il ne signifie et représente que diverses petites images et gravures en la semblance de celles qu'on grave aux lapis, aux gemmes et calcédoines pour servir quelquefois de cachet.
Page 798 - Le bonhomme Fabry m'a escript qu'il s'est trouvé un peu mal à Blois, avecques ce qu'on l'a voulu fascher par de là. Et pour changer d'air, iroit voulentiers veoir ung amy sien pour ung temps, si le plaisir du roi estoit luy vouloir donner congié.