Oeuvres complétes de P.-L. Courier: précédées d'un essai sur sa vie et ses écrits, Volume 1A. Sautelet et Cie, 1830 - French literature |
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Page ii
... famille pour se faire compter comme capacité , pour n'être point taxé de folle résistance à la révolution opé- rée par le XIXe siècle dans les formes de la pensée . Si l'affranchissement complet du joug des conven- tions d'une époque ...
... famille pour se faire compter comme capacité , pour n'être point taxé de folle résistance à la révolution opé- rée par le XIXe siècle dans les formes de la pensée . Si l'affranchissement complet du joug des conven- tions d'une époque ...
Page vi
... famille n'a pas eu ainsi son héros dont elle garde encore le plumet répu- blicain ou la croix impériale , et qu'elle a tâché d'im- mortaliser par une courte notice dans le Moniteur ou dans les tables nécrologiques de M. Panckouke ...
... famille n'a pas eu ainsi son héros dont elle garde encore le plumet répu- blicain ou la croix impériale , et qu'elle a tâché d'im- mortaliser par une courte notice dans le Moniteur ou dans les tables nécrologiques de M. Panckouke ...
Page x
... familles . Notre philosophe apprit à danser avec la plus sérieuse application , et courut les bals , les spec- tacles , les sociétés . Sa gaîté , sa verve comique , qui n'é- taient pas encore tournées à la satire , à l'humorisme , le ...
... familles . Notre philosophe apprit à danser avec la plus sérieuse application , et courut les bals , les spec- tacles , les sociétés . Sa gaîté , sa verve comique , qui n'é- taient pas encore tournées à la satire , à l'humorisme , le ...
Page xi
... famille outragée . Sa société en hommes était très nombreuse ; il affectionnait surtout un polo- nais , fort savant et grand amateur d'antiquités . Il passait des journées entières en tête - à - tête avec lui , soit dans une chambre ...
... famille outragée . Sa société en hommes était très nombreuse ; il affectionnait surtout un polo- nais , fort savant et grand amateur d'antiquités . Il passait des journées entières en tête - à - tête avec lui , soit dans une chambre ...
Page xxvii
... famille qui trouvait le trône vide et s'y replaçait ; voir une poignée d'émigrés , vagabonds et mendiants de la veille , se donner l'orgueil et prendre insolemment l'odieux de ces deux conquêtes ; voir d'affreuses per- sécutions éclater ...
... famille qui trouvait le trône vide et s'y replaçait ; voir une poignée d'émigrés , vagabonds et mendiants de la veille , se donner l'orgueil et prendre insolemment l'odieux de ces deux conquêtes ; voir d'affreuses per- sécutions éclater ...
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Common terms and phrases
affaires amis assez Benjamin Constant Bonaparte bonhomme brochure budget c'était cagots cent Chambord cher chose cour Courier courtisans curé d'autres d'Azai danser Decazes Démosthènes députés dévots Dieu dire discours dit-il domicile duc de Bordeaux écrit Espagne eût famille femme filles Fondettes gendarmes gouvernement grace guerre homme j'ai jamais jeune jour juges l'accusation l'auteur là-dessus laboureur lettres long-temps Luynes m'en maire maître de Broë ment messieurs messieurs les jurés mieux mille Mingrat ministres mœurs monde monsieur morale publique n'ai n'en nation noble noblesse outragé paie Pampelune pamphlet Pamphlet des Pamphlets pareil parler passe Paul-Louis PAUL-LOUIS COURIER pays paysan pense père Père Canaye personne peuple PORNOCRATIE préfet présent président prêtres prince prison procureur public raison révolution rien s'en s'il sage Saint-Avertin Sainte-Alliance Sainte-Pélagie sais sait savez sent serait seul soldats sorte terre teur tion trouve Véretz veulent veut vigneron vilains Voilà voté voulait vrai
Popular passages
Page 254 - L'on voit certains animaux farouches, des mâles et des femelles, répandus par la campagne, noirs, livides et tout brûlés du soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible ; ils ont comme une voix articulée, et quand ils se lèvent sur leurs pieds, ils montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes.
Page 254 - ... montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes. Ils se retirent la nuit dans des tanières, où ils vivent de pain noir, d'eau et de racines; ils épargnent aux autres hommes la peine de semer, de labourer et de recueillir pour vivre, et méritent ainsi de ne pas manquer de ce pain qu'ils ont semé.
Page 114 - ... réparés, nos pauvres soulagés, notre église d'abord (car Dieu passe. avant tout) pavée, recouverte et vitrée, s'il nous restait quelque somme à pouvoir dépenser hors de cette commune, je crois, mes amis, qu'il faudrait contribuer, avec nos voisins, à refaire le pont de Saint - Avertin, qui, i.
Page 359 - J'entends, vous l'eussiez lu d'abord, pour voir s'il était condamnable. — Oui, je l'aurais examiné. — Mais le pamphlet, vous ne le lisez pas? — Non, parce que le pamphlet ne saurait être bon. Qui dit pamphlet dit un écrit tout plein de poison. — De poison? — Oui, Monsieur, et du plus détestable : sans quoi on ne le lirait pas.
Page 171 - Le même jour qui met un homme libre aux fers Lui ravit la moitié de sa vertu première.
Page 103 - C'est tout, si j'ai mémoire. Je vois ce qu'il veut dire : il entend que lui et moi sommes d'avis différent; peut-être se trompe-t-il.
Page 65 - ... moquerait de la diplomatie. La nation enfin ferait marcher le gouvernement, comme un cocher qu'on paie, et qui doit nous mener, non où il veut, ni comme il veut, mais où nous prétendons aller, et par le chemin qui nous convient; chose horrible à penser, contraire au droit divin et aux capitulaires.
Page 228 - J'ai pour amis tous ceux qui ne mangent pas du budget, et qui, comme moi, vivent de travail. Le nombre en est grand dans ce pays et augmente tous les jours. En un mot, s'il faut vous le dire, mes amis ici sont dans le peuple; le peuple m'aime, et savez- vous, monsieur, ce que vaut cette amitié?
Page 71 - Alors, si vous êtes sages, rappelez-vous l'avis que je vais vous donner. Lorsque vous marcherez en Lorraine, en Alsace, n'approchez pas des haies, évitez les fossés, n'allez pas le long des vignes...
Page 274 - J'ai cru bonnement à la Charte; j'ai donné dans la Charte en plein, je le confesse, à ma très-grande honte, et pourtant de plus fins y ont été pris comme moi. De ma vie, sans la Charte, je n'eusse imaginé de parler au public de ce qui l'intéresse. Robespierre, Barras et le grand Napoléon , depuis plus de vingt ans, m'avaient appris à me taire, Bonaparte surtout; ce héros ne trompait pas.