| Albert Montémont - Voyages and travels - 1836 - 476 pages
...si souvent décrit par les navigateurs. Ils continuèrent ensuite leur navigation, et parcoururent en vingt jours l'espace de neuf cents lieues qui sépare les côtes d'Afrique de celles du Nouveau-Monde. Leur route fut celle que suivent tous les bàtimens destinés aux Antilles, depuis le... | |
| Évariste Parny - 1862 - 510 pages
...quelque requin affamé. Dl melioral\ Nous avons traversé ensuite avec une rapidité singulière le canal de neuf cents lieues qui sépare les côtes d'Afrique de celles du Brésil, et nous sommes venus à pleines voiles mouiller sur le banc des Abrolhos. Nous avions tout... | |
| Évariste Parny - French poetry - 1873 - 486 pages
...requin affamé. Di meliora * ! Nous avons traversé ensuite avec une rapidité singulière le canal de neuf cents lieues qui sépare les côtes d'Afrique de celles du Brésil, et nous sommes venus à pleines voiles mouiller sur le banc des Abrolhos. Nous avions tout... | |
| Education - 1907 - 828 pages
...des hameaux et des rivières... Nous avons ensuite traversé avec une rapidité singulière le canal de neuf cents lieues qui sépare les côtes d'Afrique de celles du Brésil, et nous sommes venus à pleines voiles mouiller sur le banc des Abralhos. Nous avions tout... | |
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