Revue de la Flandre ..., Volume 41849 - Periodicals |
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... notions et le goût de l'agriculture ; la répression énergique de la mendicité et l'enseignement . Il faut , dit - il ensuite , arrêter , sur la pente du paupérisme , la population voisine de l'indigence , et à cette fin nous avons l ...
... notions et le goût de l'agriculture ; la répression énergique de la mendicité et l'enseignement . Il faut , dit - il ensuite , arrêter , sur la pente du paupérisme , la population voisine de l'indigence , et à cette fin nous avons l ...
Page 92
... notion vraie de l'homme . Mais connaître l'homme , c'est le connaître en lui - même et dans sa cause . Le mot doctrine implique , par conséquent et tout d'abord , deux notions , celle de l'homme , et celle de sa cause . Il n'y a jamais ...
... notion vraie de l'homme . Mais connaître l'homme , c'est le connaître en lui - même et dans sa cause . Le mot doctrine implique , par conséquent et tout d'abord , deux notions , celle de l'homme , et celle de sa cause . Il n'y a jamais ...
Page 113
... notion du divin infiniment plus complète que la notion du divin de l'école . Elle nous porte de la monade de Xénopbane , de Socrate , de Cicéron , de Descartes , à la Trinité . Et il n'y a rien que de parfaitement régulier dans cette ...
... notion du divin infiniment plus complète que la notion du divin de l'école . Elle nous porte de la monade de Xénopbane , de Socrate , de Cicéron , de Descartes , à la Trinité . Et il n'y a rien que de parfaitement régulier dans cette ...
Page 118
... notion du divin dans une doctrine , » d'après M. Jules Simon , au commencement de son bel et très - be ! ouvrage sur l'école d'Alexandrie . Et enfin , il n'y a pas de doctrine qui connaisse mieux l'homme et Dieu que le Catholicisme . C ...
... notion du divin dans une doctrine , » d'après M. Jules Simon , au commencement de son bel et très - be ! ouvrage sur l'école d'Alexandrie . Et enfin , il n'y a pas de doctrine qui connaisse mieux l'homme et Dieu que le Catholicisme . C ...
Page 119
... notion la plus exacte , la plus élevée qui existe de l'homme et de Dieu . Or , nous aimons › la montagne , fait l'essence et l'esprit même du Christianisme , esprit immortel , » comme l'humanité elle - même , qui survivra à toutes les ...
... notion la plus exacte , la plus élevée qui existe de l'homme et de Dieu . Or , nous aimons › la montagne , fait l'essence et l'esprit même du Christianisme , esprit immortel , » comme l'humanité elle - même , qui survivra à toutes les ...
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Common terms and phrases
Amédée Jacques Anvers artiste assez aujourd'hui avons belge Belgique Bossuet Bruges Bruxelles CAREL VAN MANDER cartésianisme Catholicisme cause Charron chose chrétiens Christ civilisation clergé cœur conséquent critique D'Elhoungne démocratique Descartes Dieu dire divin doctrine donner doute duc de Noailles écoles effet époque espèce esprit Est-ce Eyck flamande Flandre force fraternité Gand général génie Gouvernement Hasselt Haussy Helfferich hommes idées infiniment jamais journalisme juger Jules Simon justice l'âme l'art l'artiste l'école l'enseignement l'esprit catholique l'état l'histoire l'ordre l'orgueil Lamartine libéralisme liberté Louis XIV maître ment ministère minorité lettrée moderne monde morale nationale nature notion de l'homme Nouvel Enseignement Philosophique œuvre passé pays paysage peintre pensée peuple poëte politique premier presque principes progrès puisse qu'un question raison religieux religion république reste révolution rien Roger s'est Salon d'Anvers science Seclin sentiment serait seulement siècle socialisme société surtout tableau talent théodicée Thielt tion travail Van der Weyden vérité voilà vrai Weyden
Popular passages
Page 174 - Trouver une forme d'association qui défende et protège de toute la force commune la personne et les biens de chaque associé, et par laquelle chacun, s'unissant à tous, n'obéisse pourtant qu'à lui-même, et reste aussi libre qu'auparavant!
Page 164 - La première était d'obéir aux lois et aux coutumes de mon pays, retenant constamment la religion en laquelle Dieu m'a fait la grâce d'être instruit dès mon enfance, et me gouvernant, en toute autre chose, suivant les opinions les plus modérées, et les plus éloignées de l'excès, qui fussent communément reçues en pratique par les mieux sensés de ceux avec lesquels j'aurais à vivre.
Page 354 - L'automne avait jonché la terre : Le bocage était sans mystère, Le rossignol était sans voix. Triste et mourant, à son aurore Un jeune malade, à pas lents, Parcourait une fois encore Le bois cher à ses premiers ans. " Bois, que j'aime ! adieu ... je succombe; Votre deuil me prédit mon sort; Et dans chaque feuille qui tombe Je vois un présage de mort.
Page 389 - Le principe de la démocratie se corrompt, dit-il, non seulement lorsqu'on perd l'esprit d'égalité, mais encore quand on prend l'esprit d'égalité extrême, et que chacun veut être égal à ceux qu'il choisit pour lui commander.
Page 164 - ... ainsi, afin que je ne demeurasse point irrésolu en mes actions, pendant que la raison m'obligerait de l'être en mes jugements,. et que je ne laissasse pas de vivre dès lors le plus heureusement que je pourrais, je me formai une morale par provision, qui ne consistait qu'en trois ou quatre maximes dont je veux bien vous faire part.
Page 439 - Bienheureux ceux qui souffrent persécution pour la justice, parce que le royaume des cieux est à eux...
Page 440 - Considérez comment croissent les lis des champs : ils ne travaillent ni ne filent ; cependant je vous dis que Salomon même, dans toute sa gloire, n'a pas été vêtu comme l'un d'eux.
Page 440 - Vous avez appris qu'il a été dit : Œil pour œil et dent pour dent;
Page 440 - C'est pourquoi je vous dis : Ne vous inquiétez pas pour votre vie de ce que vous mangerez, ni pour votre corps de quoi vous serez vêtus. La vie n'est-elle pas plus que la nourriture, et le corps plus que le vêtement...
Page 354 - Et j'ai vu comme une ombre vaine S'évanouir mon beau printemps. Tombe, tombe, feuille éphémère, Voile aux yeux ce triste chemin ; Cache au désespoir de ma mère La place où je serai demain. Mais, vers la solitaire allée, Si mon amante échevelée Venait pleurer quand le jour fuit, Éveille par ton léger bruit Mon ombre un instant consolée !