Œuvres complètes, Volume 4 |
From inside the book
Results 1-5 of 42
Page 19
... pauvre garçon , qui est sans parents , m'enviait , non pas ce qu'il avait sous les yeux , mais ma mère . J'ai été invité ces jours - ci à la noce d'un de mes ser- gents , et je m'y suis rendu , quoique j'eusse bien mal à la tête , comme ...
... pauvre garçon , qui est sans parents , m'enviait , non pas ce qu'il avait sous les yeux , mais ma mère . J'ai été invité ces jours - ci à la noce d'un de mes ser- gents , et je m'y suis rendu , quoique j'eusse bien mal à la tête , comme ...
Page 35
... pauvre Rome que vous avez vue si pom- peuse , et de laquelle à présent on détruit jusqu'aux rui- nes . On s'y rendait autrefois , comme vous savez , de tous les pays du monde . Combien d'étrangers qui n'y étaient venus que pour un hiver ...
... pauvre Rome que vous avez vue si pom- peuse , et de laquelle à présent on détruit jusqu'aux rui- nes . On s'y rendait autrefois , comme vous savez , de tous les pays du monde . Combien d'étrangers qui n'y étaient venus que pour un hiver ...
Page 38
... pauvre d'idées pour en emprunter de pareilles . Je crois que tous les livres de ce genre , moitié histoire moitié roman , où les mœurs modernes se trouvant mê- lées avec les anciennes font tort aux unes et autres , don- nent de tout des ...
... pauvre d'idées pour en emprunter de pareilles . Je crois que tous les livres de ce genre , moitié histoire moitié roman , où les mœurs modernes se trouvant mê- lées avec les anciennes font tort aux unes et autres , don- nent de tout des ...
Page 56
... Pauvre homme , ses idées sont au - dessous de sa fortune . Je m'en doutai quand je le vis donner sa pe- tite sœur à Borghèse , et croire que Borghese lui faisait trop d'honneur . La sensation est faible : on ne sait pas bien encore ce ...
... Pauvre homme , ses idées sont au - dessous de sa fortune . Je m'en doutai quand je le vis donner sa pe- tite sœur à Borghèse , et croire que Borghese lui faisait trop d'honneur . La sensation est faible : on ne sait pas bien encore ce ...
Page 85
... pauvre diable non pas mouillé , mais imbibé , percé jusqu'aux os par douze heures de pluie continuelle , une éponge qui ne sèchera de huit jours ; à cheval dès le grand matin , à jeun ou peu s'en faut au coucher du soleil : c'est le ...
... pauvre diable non pas mouillé , mais imbibé , percé jusqu'aux os par douze heures de pluie continuelle , une éponge qui ne sèchera de huit jours ; à cheval dès le grand matin , à jeun ou peu s'en faut au coucher du soleil : c'est le ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
Adieu affaire aide-de-camp aise Akerblad aller amis arriva assez avez beau belle bientôt Boissonnade brigands c'était Calabre Cassano cher cheval chose conte Coraï Corigliano cousine crois d'artillerie d'encre Daphnis et Chloé demande diable Dieu dire donner écrit enfin envoie êtes eût fâché femme Florence Foggia général Reynier gens grec guère homme imprimer Isocrate J'AI reçu j'aurais j'avais j'en j'espère j'étais j'eusse jamais jolie jours l'armée l'autre laisse Larçay Lariboissière lettre Livourne livres long-temps Longus Luynes m'en madame Clavier madame Courier manuscrit manuscrits Marcellinara Masséna ment mieux Milan Mileto mille ministre mois monde Monsieur n'ai n'en Naples nouvelles novembre octobre officier parler passer Pausanias pauvre pays pense personne plaisir plaît Plutarque poste Pouille pourrait pouvait présent quitter raison rendre Renouard reste rien Rome s'en s'il sais saurait savez Scigliano sera seul sottises Tarente Tivoli traduction trouve vais Vérone veux voilà vois voudrais voulait vrai Xénophon Xénophon d'Éphèse
Popular passages
Page 403 - Mon innocence enfin commence à me peser. Je ne sais de tout temps quelle injuste puissance Laisse le crime en paix , et poursuit l'innocence. De quelque part sur moi que je tourne les yeux , Je ne vois que malheurs qui condamnent les dieux. Méritons leur courroux , justifions leur haine , Et que le fruit du crime en précède la peine. Mais toi , par quelle erreur veux-tu toujours sur toi Détourner un courroux qui ne cherche que moi?
Page 56 - Bonaparte et se faire sire! 77 aspire à descendre : mais non, il croit monter en s'égalant aux rois. Il aime mieux un titre qu'un nom. Pauvre homme ! ses idées sont au-dessous de sa fortune. Je m'en doutai quand je le vis donner sa petite sœur à Borghèse et croire que Borghèse lui faisait trop d'honneur.
Page 185 - Et puis, pour ne rien omettre de ce qui pouvait nous perdre, il fit le riche, promit à ces gens pour la dépense, et pour nos guides le lendemain, ce qu'ils voulurent. Enfin il parla de sa valise, priant fort qu'on en eût grand soin, qu'on la mît au chevet de son lit : il ne voulait point, disait-il, d'autre traversin. Ah! jeunesse! jeunesse! que votre âge est à plaindre ! Cousine, on crut que nous portions les diamants de la couronne...
Page 57 - Ce César l'entendait bien mieux , et aussi c'était un autre homme. Il ne prit point de titres usés, mais il fit de son nom même un titre supérieur à celui de roi. Adieu , nous t'attendons ici.
Page 273 - Paris. C'est un plaisant historien, et bien peu connu de ceux qui ne le lisent pas en sa langue; son mérite est tout dans le style. Il se moque des faits, et n'en prend que ce qui lui plaît, n'ayant souci que de paraître habile écrivain. Il ferait gagner à Pompée la bataille de Pharsale, si cela pouvait arrondir tant soit peu sa phrase. Il a raison. Toutes ces sottises qu'on appelle histoire...
Page 184 - Nous cherchâmes, tant qu'il fit jour, notre chemin à travers ces bois; mais plus nous cherchions, plus nous nous perdions, et il était nuit noire quand nous arrivâmes près d'une maison fort noire. Nous y entrâmes, non sans soupçon; mais comment faire ? Là nous trouvons toute une famille de charbonniers à table, où du premier mot on nous invita. Mon jeune homme ne se fit pas prier : nous voilà mangeant et buvant, lui du moins; car pour moi, j'examinai le lieu et la mine de nos hôtes.
Page 186 - ... jour ne pouvait être loin, j'entendis au-dessous de moi notre hôte et sa femme parler et se disputer ; et prêtant l'oreille par la cheminée qui communiquait avec celle d'en bas, je distinguai parfaitement ces propres mots du mari : Eh bien enfin voyons, faut-il les tuer tous deux ? A quoi la femme répondit : Oui.
Page 187 - D'abord, comme vous voyez, je n'y joue pas un beau rôle , et puis vous me la gâterez.
Page 56 - Pourquoi, vous ne le voulez-vous pas? Je ne sais, me dit-il, mais je le croyais fait pour quelque chose de mieux.
Page 134 - Ils sortent, viennent à nous, nous embrassent, nous félicitent d'avoir bien frotté ces coquins de Français, ces voleurs, ces excommuniés. On nous parla, ma foi, sans flatterie cette fois-là. Ils nous racontaient nos sottises et nous disaient de nous pis encore que nous ne méritions. Chacun maudissait les soldats de maestro Peppe1ee, chacun se vantait d'en avoir tué.