Recueil de pièces authentiques sur le captif de Ste.-Hélène, de mémoires et documens écrits ou dictés par l'empereur Napoléon. etc, Volume 4A. Corréard, 1822 |
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anglais armée arrivée autrichien avaient Bergame Brescia c'était capitaine cercueil chirurgien climat comte Bertrand comte de Las comte de Montholon comte Montholon copie corps d'Italie déclarer demande dernier différens directoire docteur Arnott docteur O'Meara domestiques donner envoyer éprouvé eût force général gloire gouvernement gouverneur guerre Hélène heures hommes J'ai l'honneur d'être John Wallis jour journaux l'Adige l'amiral l'armée l'Autriche L'EMPEREUR NAPOLÉON l'estomac l'Europe l'île lettre Lion de Saint-Marc livres sterling long-temps Longwood lord Bathurst lord Liverpool madame Bertrand main maison Majesté maladie maréchal Bertrand marquis de Montchenu médecin ment mois MONSIEUR mort n'avait Napo Napoléon Bonaparte nation officier ordre passer PAULINE BORGHESE pereur personne Pesaro peuples politique porter pouvait présent prince prisonnier professeur Antommarchi provéditeur pylore rapport régiment république république de Venise reste Sainte-Hélène sénat sentimens serait service seul sir Hudson Lowe sir Thomas Reade soldats souvent souverains Stokoe Terre-Ferme tion troupes vaisseau Venise Vénitiens Vérone
Popular passages
Page 279 - faisant sang de tous côtés, a le bonheur de prendre terre à un morceau de bois touchant au château du port ; mais le commandant lui-même lui coupe le poignet d'un coup de hache. Vu les griefs ci-dessus, et autorisé par le titre XII, article 3a8, de la constitution de la République, et vu l'urgence des
Page 11 - se trouva chargé du commandement des forces qui devaient protéger l'assemblée, il se transporta dans un des cabinets des Tuileries, où était Menou, afin d'obtenir de lui les renseignemens nécessaires sur les forces et les positions des troupes et de l'artillerie. L'armée n'était que de cinq mille hommes de toutes armes, avec quarante pièces de
Page 25 - il eut l'air d'être peu sensible à ces fêtes. Celle du ministre des relations extérieures, Talleyrand, fut marquée au coin du bon goût ; tout Paris y était. « Une femme célèbre, déterminée à lutter avec le vainqueur de l'Italie, l'interpella au milieu d'un grand cercle, lui demandant quelle était à ses yeux la première femme du monde, morte
Page 9 - du peuple, commissaire près de l'armée de l'intérieur, se rendit, avec un corps nombreux de troupes, au lieu des séances de la section Lepelletier, pour y faire exécuter le décret de la convention. Infanterie, cavalerie , artillerie, tout fut entassé dans la rue Vivienne, à l'extrémité de laquelle est le couvent des Filles-Saint-Thomas.
Page 41 - Dans un café, ou lieu public, chez Garchi, deux jeunes gens, sous prétexte de ralliement politique dans la manière dont leurs cheveux étaient tressés, furent insultés, attaqués assassinés. « Ce guet-à-pens avait été dirigé par les ordres du ministre de la police et par ses agens. voyé pour le calmer. Celui-ci disait qu'un pareil événement était
Page 16 - est faux qu'on ait fait tirer à poudre au commencement de l'action : cela n'eût servi qu'à enhardir les sectionnaires et à compromettre les troupes. Mais il est vrai que, le combat une fois engagé, le succès n'étant pas douteux, alors en effet on ne tira plus qu'à poudre.
Page 287 - d'angoisse, lorsque , pour lui donner quelques consolations, nous lui parlions de vous, souvent il nous a répondu : « Soyez bien persuadés que si mon épouse ne fait aucun grand effort pour alléger mes maux , c'est qu'on la tient environnée d'espions qui l'empêchent de rien savoir de tout ce qu'on me fait souffrir, car Marie-Louise est la vertu même.
Page 289 - et la vie lui a été rendue. Ah ! Madame, au nom de ce que vous avez de plus cher au monde, de votre gloire, de votre avenir, faites tout pour sauver votre époux; l'ombre de
Page 5 - parti royal, et lui livra les succès des opérations de son armée. « Les prosélites des ennemis de la république ne furent pas nombreux dans l'armée ; elle resta fidèle aux principes de la révolution pour lesquels elle avait versé tant de sang et remporté tant de victoires. « Tous les partis étaient fatigués de la convention ; elle l'était d'elle - même.
Page 15 - qu'alors la grandeur du danger où ils étaient. . « Enfin à quatre heures un quart, des coups de fusil furent tirés à l'hôtel de Noailles, où s'étaient introduits les sectionnaires. Les balles arrivaient jusqu'au perron des Tuileries. Au même moment, la colonne de Lafond déboucha par le quai Voltaire , marchant sur le