1792Furne, 1842 |
Common terms and phrases
10 août accusés armée arrêté autorités avaient Barbaroux bataillons Bertrand de Molleville Brissot c'était Camille Desmoulins camp Chabot Châlons château chef citoyens clubs Coblentz comité commune confiance conseil constitutionnels cour Croix-aux-Bois danger Danton déclarer décret demande départemens département députés devait Dillon directoire dispositions Dumouriez émigrés enfans enfin ennemis envoyé événemens fallait famille royale faubourg fédérés feuillans fin du volume force garde nationale général Gironde girondins Grand-Pré Guadet guerre jacobins jour Kellermann l'armée l'as l'assem l'assemblée nationale l'ennemi l'insurrection Lafayette législative lettre liberté Louis XVI Luckner madame Campan maire Majesté Marat Marseillais menaces ment mesures mille hommes ministres moyens municipalité n'avait n'était nation officiers patrie patriotes Pétion pétition peuple populaire porter pouvait pouvoir prince projet Prusse Prussiens publique puissance refus reine réunir révolution Robespierre Roland s'était Sainte-Menehould sanction Santerre sauver sections sentimens serait serment seul Suisses sûreté tion troupes trouvait Vergniaud veto voulait Voyez la note
Popular passages
Page 335 - Paris se hâte d'informer ses frères de tous les départements qu'une partie des conspirateurs féroces, détenus dans les prisons, a été mise à mort par le peuple : actes de justice qui lui ont paru indispensables pour retenir par la terreur les...
Page 384 - ... regards , ont ouvert son âme à une foule d'impressions superstitieuses que , dans l'état actuel des choses, nulle espèce de lumière ne peut ni détruire, ni modérer. » Sa religion, c'est-à-dire, la religion telle qu'il la conçoit, est devenue pour lui la plus forte et pour ainsi dire l'unique habitude morale de sa vie. L'objet, le plus essentiel qu'elle lui présente est le culte des images; et le ministre de ce culte...
Page 90 - Sire, l'état actuel de la France ne peut subsister long-temps, c'est un état de crise dont la violence atteint le plus haut degré; il faut qu'il se termine par un éclat qui doit intéresser votre majesté autant qu'il importe à tout l'empire. «Honoré de votre confiance, et placé dans un poste où je vous dois la vérité, j'oserai la dire tout entière; c'est une obligation qui m'est imposée par vous-même. «Les Français se sont donné une constitution; elle...
Page 99 - C'est dans le même esprit que je réitérerai mes représentations à Votre Majesté, sur l'obligation et l'utilité d'exécuter la loi qui prescrit d'avoir un secrétaire au Conseil. La seule existence de la loi parle si puissamment, que l'exécution semblerait devoir suivre sans...
Page 217 - A ces grands intérêts se joint encore un but également important, et qui tient à cœur aux deux souverains, c'est de faire cesser l'anarchie dans l'intérieur de la France, d'arrêter les attaques portées au trône et à l'autel, de rétablir le pouvoir légal, de rendre au roi la sûreté et la liberté dont il est privé, et de le mettre en état d'exercer l'autorité légitime qui lui est due.
Page 220 - Tuileries est forcé ou insulté , que s'il est fait la moindre violence, le moindre outrage à Leurs Majestés le roi, la reine et à la famille royale, s'il n'est pas pourvu immédiatement à leur sûreté, à leur conservation et à leur liberté, elles en tireront une vengeance exemplaire et à jamais mémorable , en livrant la ville de Paris à une exécution militaire et à une subversion totale, et les révoltés , coupables d'attentats , aux supplices qu'ils auront mérités.
Page 165 - Si le Roi se met à la tête d'une armée et en dirige les forces contre la nation, ou s'il ne s'oppose pas par un acte formel à une telle entreprise qui s'exécuterait en son nom, il sera censé avoir abdiqué la royauté.
Page 167 - Était-ce nous défendre que d'écarter les projets tendant à fortifier l'intérieur du royaume, ou de faire des préparatifs de résistance pour l'époque où nous serions déjà devenus la proie des tyrans?
Page 112 - ... au courage calme et constant d'une nation qui connaît ses droits et les défend; enfin, leurs combinaisons sectaires aux véritables intérêts de la patrie, qui, dans ce moment de danger, doit réunir tous ceux pour qui son asservissement et sa ruine ne sont pas les objets d'une atroce jouissance et d'une infâme spéculation.
Page 414 - Forcée de consentir à la guerre par la plus impérieuse nécessité, l'Assemblée nationale n'ignore pas qu'on l'accusera de l'avoir volontairement accélérée ou provoquée. » Elle sait que la marche insidieuse de la cour de Vienne n'a eu d'autre objet que de donner une ombre de vraisemblance à cette imputation , dont les puissances étrangères ont besoin pour cacher à leurs peuples les motifs réels de l'attaque injuste préparée contre la France...