Paris, Versailles et les provinces au dix-huitième siècleH. Nicole, 1811 - Anecdotes |
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... semblant de soupçonner sa bonne foi , dans ceux dont il avait espéré l'admiration . On affectait de craindre l'extension arbi- . traire de l'impôt du timbre , tandis qu'on redoutait bien plus l'égalité de la contribution foncière qui ...
... semblant de soupçonner sa bonne foi , dans ceux dont il avait espéré l'admiration . On affectait de craindre l'extension arbi- . traire de l'impôt du timbre , tandis qu'on redoutait bien plus l'égalité de la contribution foncière qui ...
Page 69
... semblant de se prê- ter à la plaisanterie , et paraissant jouer le rôle de lieutenant de police assez maladroite- ment pour faire croire qu'elles se trompaient . Mais elles étaient trop bien instruites pour en être dupes , et le ...
... semblant de se prê- ter à la plaisanterie , et paraissant jouer le rôle de lieutenant de police assez maladroite- ment pour faire croire qu'elles se trompaient . Mais elles étaient trop bien instruites pour en être dupes , et le ...
Page 135
... semblant d'entendre ce que cela vou- lait dire , et répéta hautement la même de- mande . « Je vous ai déjà dit , Monsieur , ré- « pliqua madame de Montesson , que Mon- « seigneur y sera . » Et elle prononça ces mots de manière à ne lui ...
... semblant d'entendre ce que cela vou- lait dire , et répéta hautement la même de- mande . « Je vous ai déjà dit , Monsieur , ré- « pliqua madame de Montesson , que Mon- « seigneur y sera . » Et elle prononça ces mots de manière à ne lui ...
Page 153
... semblant de la lire , que voulez - vous que je réponde à cela ? — Eh ! mon ami , reprit le maréchal , il faut dire à l'auteur , que celui qui est obligé de se ca- cher pour pouvoir insulter impunément un honnête homme , est un ...
... semblant de la lire , que voulez - vous que je réponde à cela ? — Eh ! mon ami , reprit le maréchal , il faut dire à l'auteur , que celui qui est obligé de se ca- cher pour pouvoir insulter impunément un honnête homme , est un ...
Page 171
... de Monseigneur le Chancelier , < « < les contes moraux de Marmontel , et je « n'y ai rien trouvé , faisant semblant d'ou- « blier , qui pút en empêcher l'impression . » EN 1747 , les jeunes pensionnaires d'un couvent de religieuses ( 171 )
... de Monseigneur le Chancelier , < « < les contes moraux de Marmontel , et je « n'y ai rien trouvé , faisant semblant d'ou- « blier , qui pút en empêcher l'impression . » EN 1747 , les jeunes pensionnaires d'un couvent de religieuses ( 171 )
Common terms and phrases
annonça assez avaient avez ayant Barjac bientôt bonté c'était Calonne cardinal chercher cheval comte connaissait connu croyait crut curé d'Apchon dame danse demanda dit-il donner doute étonné faisait femme Ferme générale Féronays fille Flamarens fortune fût gaîté garde Garneran gens heures honnête j'ai jeune homme jolie jouer jour l'abbé l'air l'Etorrière l'évêque laisser Lauragais Lenoir lettre lettre de cachet lieutenant long-temps Louis XV Lubersac Lyon madame madame Du Barry mademoiselle magistrat main maison maîtresse malheureux mander manqua maréchal de Biron mari Marmontel ment mérite mille ministre Mirepoix Monseigneur monsieur n'avait officier paraissait parler passer personne place plaisanterie plaisir police porte pouvait pré prendre présenta prince prince de Conti rent répondit respectable rire Rivarol Rochegude s'était Sartines seigneur sentiments serait sévère sieur société soin soir sort Talencé talents tion Tissard trouver Turgot vait venir Versailles voiture Voltaire voulait voulut
Popular passages
Page 189 - Et il dira aussi qu'il est impossible d'avoir des mœurs et de lire des romans ; et il fera un roman , et dans son roman on verra le vice en action , et la vertu en paroles ; et ses personnages seront forcenés d'amour et de philosophie.
Page 58 - Il était toujours en souliers gris , bas gris de fer roulés , grande veste de basin, longue jusqu'aux genoux, grande et longue perruque, et petit bonnet de velours noir. Le dimanche il...
Page 126 - Même observation le jour suivant, elle ne répondit que par une mauvaise excuse ; enfin, à la troisième fois, il lui dit : " Vous n'avez pas encore fait mon lit ; apparemment que c'est un parti pris, et que cela vous paraît trop fatigant. Au surplus, il n'ya pas grand mal, et je commence à m'y accoutumer.
Page 98 - ... souveraine, qu'il adore, l'agite toujours , et qu'un coup de canon qu'il n'essuie pas l'inquiète, par l'idée qu'il coûte la vie à quelques-uns de ses soldats. Peureux pour les autres , brave pour lui ; s'arrêtant sous le plus grand feu 'd'une batterie pour y donner ses ordres, cependant plus Ulysse...
Page 58 - Le dimanche, il mettoit quelquefois un bel habit mordoré, uni, veste et culotte de même, mais la veste à grandes basques, et galonnée en or, à la bourgogne, galons festonnés et à lames, avec de grandes manchettes à dentelles jusqu'au bout d«s doigts, car avec cela, disoit-il, on a l'air noble.
Page 219 - ... jour donner une preuve de sa force à quelques personnes, entra chez un forgeron, sous le prétexte de faire ferrer son cheval, et comme il trouva plusieurs fers préparés : "N'en as-tu pas de meilleurs que ceux-ci ?
Page 57 - Ce marchand le suivait, en lui disant : — Monsieur, monsieur, je suis le fils d'une femme pour qui vous avez fait des vers. — Oh ! je le crois, j'ai tant fait de vers pour tant de femmes ! Bonjour, monsieur. — C'est Mme de Fontaine-Martel.
Page 209 - Dans un dîner chez madame de Tencin, où il était question de faire un académicien , la compagnie se trouvait partagée entre son éminence le cardinal, alors abbé de Bernis , et l'abbé Girard. Piron était du dîner et de la consultation. On lui demanda auquel des deux il donnerait sa voix. — «A l'abbé Girard, c'est un bon diable... » Ayant la vue basse, il ne s'était pas aperçu que Bernis n'était pas loin de lui.
Page 105 - Le docteur, qui vit que la querelle commençait à répandre l'effroi parmi les dames avec qui il était, crut devoir céder, et joua d'assez bonne grâce pendant tout le trajet. Arrivé au Wauxhall, il ne perdit pas de vue son agresseur, et, l'ayant trouvé dans la soirée se promenant seul dans une allée, il l'aborda, et lui dit d'un ton ferme et tranquille :
Page 194 - Et il soutiendra qu'il n'ya que les ivrognes qui soient honnêtes gens , et que les gens sobres sont des fourbes. . « Et lorsque sa maîtresse lui aura promis un rendez-vous , et qu'au lieu de ce rendez-vous, elle lui proposera de faire une action d'humanité et de charité , il dira qu'il déteste la vertu , et il entrera en fureur. « Et il deviendra amoureux de l'amie de sa maîtresse, étant à côté de sa maîtresse, et...