Paris, Versailles et les provinces au dix-huitième siècleH. Nicole, 1811 - Anecdotes |
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... propos un jeu de mots assez original de M. de Voltaire . Il avait mandé à madame de Maurepas que si M. Tur- got était renvoyé du ministère , il se ferait moine . Au changement de ministre , cette dame lui écrivit pour le sommer de sa ...
... propos un jeu de mots assez original de M. de Voltaire . Il avait mandé à madame de Maurepas que si M. Tur- got était renvoyé du ministère , il se ferait moine . Au changement de ministre , cette dame lui écrivit pour le sommer de sa ...
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... propos facétieux ne contribuèrent pas peu à augmenter la vivacité des plaisanteries . que UNE paysanne lyonnaise , sans autre talent celui de l'effronterie , a occupé assez long- temps les personnages les plus distingués de la cour ...
... propos facétieux ne contribuèrent pas peu à augmenter la vivacité des plaisanteries . que UNE paysanne lyonnaise , sans autre talent celui de l'effronterie , a occupé assez long- temps les personnages les plus distingués de la cour ...
Page 150
... propos de cela , d'une his- « toire qu'il faut que je vous conte » . ( Ici un long narré de tours de filouterie dont l'au- teur finit par être pendu . ) « C'est ce qui vous « arrivera , mon cher neveu , si vous conti- <<< nuez ce joli ...
... propos de cela , d'une his- « toire qu'il faut que je vous conte » . ( Ici un long narré de tours de filouterie dont l'au- teur finit par être pendu . ) « C'est ce qui vous « arrivera , mon cher neveu , si vous conti- <<< nuez ce joli ...
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... propos très - amers , avant qu'aucun des assistants eût pu éclaircir la méprise , qui ne fut connue qu'après le départ du capitaine aux Gardes . A l'audience suivante , M. de la Tour reparut chez le maréchal , qui , n'ayant point oublié ...
... propos très - amers , avant qu'aucun des assistants eût pu éclaircir la méprise , qui ne fut connue qu'après le départ du capitaine aux Gardes . A l'audience suivante , M. de la Tour reparut chez le maréchal , qui , n'ayant point oublié ...
Page 163
... propos souvent répété , fut entendu par M. d'Obs .... qui , s'arrêtant auprès de lui , lui- dit avec un son de voix nasillard qui le fai- sait particulièrement remarquer : « < Monsieur , si je danse mal , je me bats bien . - Eh bien ...
... propos souvent répété , fut entendu par M. d'Obs .... qui , s'arrêtant auprès de lui , lui- dit avec un son de voix nasillard qui le fai- sait particulièrement remarquer : « < Monsieur , si je danse mal , je me bats bien . - Eh bien ...
Common terms and phrases
annonça assez avaient avez ayant Barjac bientôt bonté c'était Calonne cardinal chercher cheval comte connaissait connu croyait crut curé d'Apchon dame danse demanda dit-il donner doute étonné faisait femme Ferme générale Féronays fille Flamarens fortune fût gaîté garde Garneran gens heures honnête j'ai jeune homme jolie jouer jour l'abbé l'air l'Etorrière l'évêque laisser Lauragais Lenoir lettre lettre de cachet lieutenant long-temps Louis XV Lubersac Lyon madame madame Du Barry mademoiselle magistrat main maison maîtresse malheureux mander manqua maréchal de Biron mari Marmontel ment mérite mille ministre Mirepoix Monseigneur monsieur n'avait officier paraissait parler passer personne place plaisanterie plaisir police porte pouvait pré prendre présenta prince prince de Conti rent répondit respectable rire Rivarol Rochegude s'était Sartines seigneur sentiments serait sévère sieur société soin soir sort Talencé talents tion Tissard trouver Turgot vait venir Versailles voiture Voltaire voulait voulut
Popular passages
Page 189 - Et il dira aussi qu'il est impossible d'avoir des mœurs et de lire des romans ; et il fera un roman , et dans son roman on verra le vice en action , et la vertu en paroles ; et ses personnages seront forcenés d'amour et de philosophie.
Page 58 - Il était toujours en souliers gris , bas gris de fer roulés , grande veste de basin, longue jusqu'aux genoux, grande et longue perruque, et petit bonnet de velours noir. Le dimanche il...
Page 126 - Même observation le jour suivant, elle ne répondit que par une mauvaise excuse ; enfin, à la troisième fois, il lui dit : " Vous n'avez pas encore fait mon lit ; apparemment que c'est un parti pris, et que cela vous paraît trop fatigant. Au surplus, il n'ya pas grand mal, et je commence à m'y accoutumer.
Page 98 - ... souveraine, qu'il adore, l'agite toujours , et qu'un coup de canon qu'il n'essuie pas l'inquiète, par l'idée qu'il coûte la vie à quelques-uns de ses soldats. Peureux pour les autres , brave pour lui ; s'arrêtant sous le plus grand feu 'd'une batterie pour y donner ses ordres, cependant plus Ulysse...
Page 58 - Le dimanche, il mettoit quelquefois un bel habit mordoré, uni, veste et culotte de même, mais la veste à grandes basques, et galonnée en or, à la bourgogne, galons festonnés et à lames, avec de grandes manchettes à dentelles jusqu'au bout d«s doigts, car avec cela, disoit-il, on a l'air noble.
Page 219 - ... jour donner une preuve de sa force à quelques personnes, entra chez un forgeron, sous le prétexte de faire ferrer son cheval, et comme il trouva plusieurs fers préparés : "N'en as-tu pas de meilleurs que ceux-ci ?
Page 57 - Ce marchand le suivait, en lui disant : — Monsieur, monsieur, je suis le fils d'une femme pour qui vous avez fait des vers. — Oh ! je le crois, j'ai tant fait de vers pour tant de femmes ! Bonjour, monsieur. — C'est Mme de Fontaine-Martel.
Page 209 - Dans un dîner chez madame de Tencin, où il était question de faire un académicien , la compagnie se trouvait partagée entre son éminence le cardinal, alors abbé de Bernis , et l'abbé Girard. Piron était du dîner et de la consultation. On lui demanda auquel des deux il donnerait sa voix. — «A l'abbé Girard, c'est un bon diable... » Ayant la vue basse, il ne s'était pas aperçu que Bernis n'était pas loin de lui.
Page 105 - Le docteur, qui vit que la querelle commençait à répandre l'effroi parmi les dames avec qui il était, crut devoir céder, et joua d'assez bonne grâce pendant tout le trajet. Arrivé au Wauxhall, il ne perdit pas de vue son agresseur, et, l'ayant trouvé dans la soirée se promenant seul dans une allée, il l'aborda, et lui dit d'un ton ferme et tranquille :
Page 194 - Et il soutiendra qu'il n'ya que les ivrognes qui soient honnêtes gens , et que les gens sobres sont des fourbes. . « Et lorsque sa maîtresse lui aura promis un rendez-vous , et qu'au lieu de ce rendez-vous, elle lui proposera de faire une action d'humanité et de charité , il dira qu'il déteste la vertu , et il entrera en fureur. « Et il deviendra amoureux de l'amie de sa maîtresse, étant à côté de sa maîtresse, et...