 | Jean-Jacques Rousseau - 1806 - 348 pages
...Pudeur. Il n'ya point d'artifice plus ridicule que celui qui la veut imiter. PITIÉ. JLiA Pitié est une vertu d'autant plus universelle , et d'autant plus...naturelle , que les bêtes mêmes en donnent quelquefois de signes sensibles. On voit avec plaisir l'Auteur de la Fable des abeilles , forcé de reconnoître... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1831 - 1450 pages
...parle de la pitié , disposition convenable à des éires aussi iaibles et sujetsàautantdemauxquenous le sommes; vertu d'autant plus universelle et d'autant...parler de la tendresse des mères pour leurs petits , ot des périls qu elles bravent pour les en garantir, on observe tous les jours la répugnance qu'ont... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1836 - 818 pages
...outré des vertus humaines. Je parle de la jj^jc, disposition convenable à des êtres aussi foiMes et sujets à autant de maux que nous le sommes; vertu...utile à l'homme, qu'elle précède en lui l'usage de tout* réflexion , cl si naturelle , que les bêtes mêmes : en donnent quelquefois des signes sensibles.... | |
 | Démonstrations - 1843 - 646 pages
...la fable des abeilles). Je parle de la pitié , disposition convenable à des êtres aussi faibles et sujets à autant de maux que nous le sommes ; vertu...qu'elle précède en lui l'usage de toute réflexion. « II ajoute « que Mandevillc n'a pas vu (p. 71) que de celte seule qualité découlent toutes les... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1852 - 816 pages
...outré des vertus humaines. Je parle de la pitié, disposition convenable à des êtres aussi foibles el sujets à autant de maux que nous le sommes; vertu d'autant plus universelle et d'autant plus uiili'à l'homme, qu'elle précède en lui l'usage de lotiic reflexion, et si naturelle, que les bêtes... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - French literature - 1856 - 622 pages
...outré des vertus humaines. Je parle de 1а_]цЦ1Ц disposition convenable à des êtres aussi foibles et sujets à autant de maux que nous le sommes ;•...d'autant plus universelle et d'autant plus utile à l'hoEme , qu'elle précède en lui l'usage de toute réflexion , et si naturelle , que les bêtes mêmes... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1857 - 548 pages
...outré des vertus humaines. Je parle de la pitié, disposition convenable à des êtres aussi faibles et sujets à autant de maux que nous le sommes, vertu d'autant plus universelle et d'autant plusulileà l'homme, qu'elle précède en lui l'usage de toute réflexion, et si naturelle , que les... | |
 | Jean-Jacques Rousseau - 1865 - 446 pages
...outré des vertus humaines. Je 'parle de la pitié, disposition convenable à des êtres aussi foibles et sujets à autant de maux que nous le sommes; vertu d'autant plus universelle et d'ajitant plus utile à l'homme , qu'elle précède en lui l'usage de toute réflexion , et si naturelle,... | |
 | Denis Diderot - 1875 - 512 pages
...outré des vertus humaines. Je parle de la pitié, disposition convenable à des êtres aussi faibles et sujets à autant de maux que nous le sommes ; vertu...tendresse des mères pour leurs petits, et des périls 1. Ce qui est naturel, puisque, d'après la phrase précédente, c'était Rousseau l'imitateur. qu'elles... | |
 | Denis Diderot - 1875 - 514 pages
...outré des vertus humaines. Je parle de la pitié, disposition convenable à des êtres aussi faibles et sujets à autant de maux que nous le sommes ; vertu...tendresse des mères pour leurs petits, et des périls \. Ce qui est naturel, puisque, d'après la phrase précédente, c'était Rousseau l'imitateur. qu'elles... | |
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Je ne crois pas avoir aucune contradiction à craindre en accordant à l'homme la seule vertu naturelle qu'ait été forcé de reconnoître le détracteur le plus outré des vertus humaines. Je parle de la pitié, disposition convenable à des êtres... 
