| Voltaire - 1757 - 430 pages
...paffagères. Le trépas eft un bien qui finit nos mifères. Aiais quand nous fortirons de ce paflage affreux , Qui de nous prétendra mériter d'être...heureux ? Quelque parti qu'on prenne , on doit frémir fans doute. Il n'eft rien qu'on connaifle , . & rien qu'on ne redoute. La Nature eft muette , on l'interroge... | |
| Voltaire - 1757 - 440 pages
...paflagères. Le trépas eft un bien qui finit nos mifères. Mais quand nous fortirons de ce paflage affreux , Qui de nous prétendra mériter d'être...heureux ? Quelque parti qu'on prenne , on doit frémir fans doute. Il n'eft rien qu'on connaiffe , & rien qu'on ne redoute. La Nature eft muette , on l'interroge... | |
| Voltaire - 1764 - 466 pages
...paflagères. Le trépas eft un bien qui finit nos mifères. Mais quand nous fortirons de ce paflage affreux , Qui de nous prétendra mériter d'être heureux ? Quelque parti qu'on prenne, on cfoit frémir fans doute.' Il n'eft rien qu'on connaifle , & rien qu'on ne redoute. La nature eft muette... | |
| Voltaire - French poetry - 1771 - 464 pages
...paflagères. £Jj| •** Le trépas eft un bien qui finit nos miferes. Mais quand nous fortirons de ce paflage afFreux, Qui de nous prétendra mériter d'être heureux ? Quelque parti qu'on prenne , on doit frémir fans doute. Il n'eft rien qu'on connaifle , & rien qu'on ne redoute. La nature eft muette, on l'ipterroge... | |
| Voltaire - 1771 - 524 pages
...paflagères. Le trépas eft un bien qui finit nos mifères. Mais quand nous Sortirons de ce partage affreux , Qui de nous prétendra mériter d'être...heureux ? Quelque parti qu'on prenne , on doit frémir fans doute. II n'eft rien qu'on connaifle , & rien qu'on ne redoute. La Nature eft muette, en l'interroge... | |
| Voltaire - Encyclopédie - 1771 - 316 pages
...pafTageres. Le trépas eft un bien qui finit nos iniferes. Mais quand nous fortirons de ce paflage affreux, Qui de nous prétendra mériter d'être heureux ? Quelque parti qu'on prenne, on doit frémir fans doute. Il n'eft rien qu'on connaiffe , & rien qu'on ne redoute. La nature eft muette, on l'interroge... | |
| Voltaire - 1772 - 456 pages
...paflagères. Le trépas eft un bien qui finit nos mifères. Mais quand nous fortirons de ce paffage afrcux , Qui de nous prétendra mériter d'être heureux ? Quelque parti qu?on prenne , on doit frémir (ans doute. Il n'eft rien qn'on connaifle , & rien qu'on ne redouta. La nature eft muette, on l'interroge... | |
| Voltaire - 1775 - 422 pages
...paflagères. Le trépas eft un bien qui finit nos mifères. Mais quand nous fortirons de ce paflage affreux , Qui de nous prétendra mériter d'être...heureux ? Quelque parti qu'on prenne , on doit frémir fans doute. Il n'eft rien qu'on connaiffe , & rien qu'on ne redoute. La nature eft muette , on l'interroge... | |
| Voltaire - 1784 - 430 pages
...paflagères. Le trépas eft un bien qui finit nos mifères. Mais quand nous fortirons de ce paflage affreux, Qui de nous prétendra mériter d'être heureux? Quelque parti qu'on prenne, on doit frémir fans doute. Il n'en rien qu'on connaiife , 8c rien qu'on ne redoute. La nature eft muette, on l'interroge... | |
| Voltaire - Authors, French - 1785 - 434 pages
...paflagères. Le trépas eft un bien qui finit nos misères. Mais quand nous fortirons de ce paflage affreux, Qui de nous prétendra mériter d'être heureux? Quelque parti qu'on prenne, on doit frémir fans doute. Il n'efl rien qu'on connaifle, 8c rien qu'on ne redoute. La nature eft muette, on l'interroge... | |
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