Dictionnaire universel des sciences morale, économique, politique et diplomatique; ou Bibliotheque de l'homme-d'état et du citoyen; |
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... Louis XV , né à Dijon en 1627 , & mort à Paris , en 1704 . ibid . BOTANIQUE , f . f . La fcience des plantes . 151 BOTEKO , ( Jean ) Auteur Politique . 152 BOTHNIE , Province confidérable de Suede , fur le Golfe du même nom . 154 ...
... Louis XV , né à Dijon en 1627 , & mort à Paris , en 1704 . ibid . BOTANIQUE , f . f . La fcience des plantes . 151 BOTEKO , ( Jean ) Auteur Politique . 152 BOTHNIE , Province confidérable de Suede , fur le Golfe du même nom . 154 ...
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... Louis ) Auteur Politique . 514 BRUNSWIC , Pays d'Allemagne , avec titre de Duché dans le Cercle de Baffe - Saxe . 515 BRUTUS . ( Lucius Junius ) BULTEAU , ( Charles ) Auteur politique . 626 BUREAU ÉCONOMIQUE . Avantages de l ...
... Louis ) Auteur Politique . 514 BRUNSWIC , Pays d'Allemagne , avec titre de Duché dans le Cercle de Baffe - Saxe . 515 BRUTUS . ( Lucius Junius ) BULTEAU , ( Charles ) Auteur politique . 626 BUREAU ÉCONOMIQUE . Avantages de l ...
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... Louis XIV ; ce font les arts , qu'il a rendus fi floriffans , & qui , par fes bienfaits , ont été portés fi loin ; c'eft fon attention à favoriler & animer les fciences & les lettres ; Tome IX . D 9 ces éta- c'est l'activité qu'il a ...
... Louis XIV ; ce font les arts , qu'il a rendus fi floriffans , & qui , par fes bienfaits , ont été portés fi loin ; c'eft fon attention à favoriler & animer les fciences & les lettres ; Tome IX . D 9 ces éta- c'est l'activité qu'il a ...
Page 26
... Louis XIV au fiecle où il a vécu , à qui cet illuftre Monarque en fut - il redevable ? au beau génie de Colbert ; à tant d'hommes de talens fupérieurs & d'un goût exquis qui formoient fon confeil , qui ne cherchoient tous que le bien ...
... Louis XIV au fiecle où il a vécu , à qui cet illuftre Monarque en fut - il redevable ? au beau génie de Colbert ; à tant d'hommes de talens fupérieurs & d'un goût exquis qui formoient fon confeil , qui ne cherchoient tous que le bien ...
Page 95
... Louis , prifonnier des Sarrafins , étoit convenu avec ces infideles de leur payer deux cents mille livres pour fa rançon . Philippe de Montfort fut chargé de compter cette fomme aux vainqueurs , Mais il eut l'adreffe de les tromper en ...
... Louis , prifonnier des Sarrafins , étoit convenu avec ces infideles de leur payer deux cents mille livres pour fa rançon . Philippe de Montfort fut chargé de compter cette fomme aux vainqueurs , Mais il eut l'adreffe de les tromper en ...
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Common terms and phrases
abfolument affemblées affez ainfi auffi auront avoient avoit bailliage befoin Bohême Bonheur Bourgogne Brandebourg Bugey Bureau c'eft c'eſt Calenberg caufe Céfar chofes commerce Commiffaires compofé Comte Confeil Confeillers conféquence conferver confidérable conftitution connoiffance délibérations Députés différens Dijon Duché Duché de Bouillon Eccléfiaftiques efpece enfans enfuite eſt Etats étoient étoit fagacité fage fans favoir fcience fe trouve féance fecond fecours fecret felon fentiment fera feroient feront fervir feule fiecle fimple fociété foient foin foit foldats fommes font fous fouvent fucceffeurs fuivant fujets fupérieur fur-tout Gouvernement guerre habitans hommes jufqu'à jufte juftice l'affemblée l'Eglife l'Electeur l'Etat laiffer lefdits lefquels loix lorfque Magiftrats Majefté maniere Miniftres n'eft nation néceffaire Nobleffe obfervé paffer paffions particuliere pays perfonnes peuple philofophie plufieurs poffeffion poffible préfent Préfident premiere Princes Electeurs Principauté de Lunebourg Province Pruffe public puiffance puiffe raifon reffort refte richeffes riviere rixdales Romains Royaume s'eft Souverain tion ufage
Popular passages
Page 558 - Quand vous voyez quelquefois un nombreux troupeau qui, répandu sur une colline vers le déclin d'un beau jour, paît tranquillement le thym et le serpolet, ou qui broute dans une prairie une herbe menue et tendre qui a échappé à la faux du moissonneur; le berger, soigneux et attentif, est debout auprès de ses brebis, il ne les perd...
Page 101 - Ne point faire à autrui ce que » nous ne voudrions pas qu'on nous » fît : « voilà la regle qui détermine quelles fortes de traitemens la nature nous interdit à l'égard du refte des hommes.
Page 550 - De tout temps les hommes, pour quelque morceau de terre de plus ou de moins, sont convenus entre eux de se dépouiller, se brûler, se tuer, s'égorger les uns les autres...
Page 558 - ... l'aurore le trouve déjà en pleine campagne, d'où il ne se retire qu'avec le Soleil, quels soins! quelle vigilance! quelle servitude! Quelle condition vous paraît la plus délicieuse et la plus libre, ou du berger ou des brebis? le troupeau est-il fait pour le berger, ou le berger pour le troupeau? Image naïve des peuples et du Prince qui les gouverne, s'il est bon Prince.
Page 429 - CAR tel eft notre plaifir. Et afin que ce foit chofe ferme & (table à toujours, nous avons fait mettre notre fcel à cefdites préfentes.
Page 550 - ... se tuer, s'égorger les uns les autres; et, pour le faire plus ingénieusement et avec plus de sûreté, ils ont inventé de belles règles qu'on appelle l'art militaire : ils ont attaché à la pratique de ces règles la gloire, ou la plus solide réputation; et ils ont depuis enchéri de siècle en siècle sur la manière de se détruire réciproquement.
Page 96 - ... l'homme de sens a de la profondeur dans les connaissances, et beaucoup d'exactitude dans le jugement; c'est un titre dont tout homme peut être flatté; l'homme de bon sens, au contraire, passe pour un homme si ordinaire, qu'on croit pouvoir se donner pour tel sans vanité.
Page 426 - A ces caufes , & autres à ce nous mouvant, de l'avis de notre confeil & de notre •certaine fcience, pleine puiffance & autorité royale, nous...
Page 217 - Bofluer, avoit pourtant, comme toutes les chofes humaines , fon inconvénient. Les maximes de l'ancienne Rome s'altérèrent par le mélange de tant de mœurs étrangères. Des Barbares , qui n'avoient fouvent que le nom de Romains , s'emparèrent des plus grandes charges & même de la dignité impériale.
Page 380 - N'y en at-il point en votre terre? A » quoi lui ayant répondu qu'oui, & en grande »» quantité, mais non pas de telle forte que le leur-, » lequel nous ne brûlions pas comme il penfoit, » ains comme eux-mêmes en ufoient pour teindre » leurs cordons & plumages, les nôtres l'amenoient