Mémoires de la Société des sciences morales, des lettres et des arts de Seine-et-Oise, Volumes 15-161887 - Seine-et-Oise (France) |
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Page viii
... sentiment de crainte ! Celui qui à ses débuts n'é- prouve aucune émotion n'a donc pas , selon moi , cons- cience du danger , et c'est un malheur pour lui , parce qu'alors il n'y aura pas cette lutte nécessaire pour se surmonter , il n'y ...
... sentiment de crainte ! Celui qui à ses débuts n'é- prouve aucune émotion n'a donc pas , selon moi , cons- cience du danger , et c'est un malheur pour lui , parce qu'alors il n'y aura pas cette lutte nécessaire pour se surmonter , il n'y ...
Page xxxvii
... maintenir dans les sphères élevées de la poésie et du sentiment , au lieu de garder son rang , qui fut longtemps le premier dans la synthèse lumineuse et dans l'analyse délicate , notre littérature semble , de parti pris , 3 - XXXVII.
... maintenir dans les sphères élevées de la poésie et du sentiment , au lieu de garder son rang , qui fut longtemps le premier dans la synthèse lumineuse et dans l'analyse délicate , notre littérature semble , de parti pris , 3 - XXXVII.
Page xliii
... Vous savez apprécier dans les actes de la vie la plus mo- deste les sentiments qu'inspire la vertu ; voilà pourquoi , Messieurs , vous avez décerné cette année , à l'unanimité , le prix de vertu fondé par le vénérable abbé Caron XLIII.
... Vous savez apprécier dans les actes de la vie la plus mo- deste les sentiments qu'inspire la vertu ; voilà pourquoi , Messieurs , vous avez décerné cette année , à l'unanimité , le prix de vertu fondé par le vénérable abbé Caron XLIII.
Page l
... sentiment du respect et de la tolérance réci- proques et la conscience de n'être réunis que pour l'étude du bien et de l'utile . Je vous ai retenus trop longtemps , mes chers col- lègues . Permettez que je finisse en vous donnant le L -
... sentiment du respect et de la tolérance réci- proques et la conscience de n'être réunis que pour l'étude du bien et de l'utile . Je vous ai retenus trop longtemps , mes chers col- lègues . Permettez que je finisse en vous donnant le L -
Page lxi
... sentiment for- ment - ils obstacle à l'émancipation de l'individu , à la sa- tisfaction de ses désirs ? On cherchera à renverser ces gênantes barrières et la science y aidera par ses décou- vertes et ses formules , La science aujourd ...
... sentiment for- ment - ils obstacle à l'émancipation de l'individu , à la sa- tisfaction de ses désirs ? On cherchera à renverser ces gênantes barrières et la science y aidera par ses décou- vertes et ses formules , La science aujourd ...
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Common terms and phrases
avaient avocat Basoche Beugnot Mémoires boulanger Bourbons c'était cabinet chambre Charles X Charte Château Château de Versailles cheminée chose Commission comte d'Artois conseil Cour d'Orléans dame Dauphin Decazes députés DÉTAIL DES PIÈCES devant discours donner duc de Berry Dussieux Duvergier de Hauranne enfants entr entresols étage femme garde général glaces gouvernement Guizot Hepp homme jour l'Aile l'appartement l'éducation l'histoire l'hôpital Lacomble laissé lettres libéraux livres logement Louis XVI Luzerne madame Guizot malade Marie-Antoinette Martignac membre titulaire ment Meulan ministre Mme Adélaïde Mme Campan Mme de Polignac Mme du Barry Mme la comtesse Mme la duchesse Monsieur morale n'avait ostendi parle passer pavillon pensée Petits appartements Pièce cotée plans politique premier présente président prince raison Registres Reine reste rez-de-chaussée Richelieu rien royale s'était salle Seine-et-Oise sentiment serait seulement sieur Société supente Talleyrand tion Trianon tribunal de Versailles trouve Villèle Vitrolles Wetzlar XVIIIe siècle
Popular passages
Page lii - Mémoires de la Société des sciences morales, des lettres et des arts de Seine-et-Oise.
Page 191 - Pauvre Jacques, quand j'étais près de toi, Je ne sentais pas ma misère ; Mais à présent que tu vis loin de moi, Je manque de tout sur la terre. Quand tu venais partager mes travaux Je trouvais ma tâche légère, T'en souviens-t-il ? tous les jours étaient beaux Qui me rendra ce temps prospère.
Page xvii - Je voudrais qu'il fût naturellement très sensé, et qu'il ramenât tout au bon sens; qu'il fît de solides études; qu'il s'exerçât à raisonner avec justesse et exactitude, se défiant de toute subtilité. Je...
Page 282 - ... en séance publique , et à la face de la France. Je propose à la Chambre de porter un acte d'accusation contre M. Decazes , ministre de l'intérieur , comme complice de l'assassinat de monseigneur le duc de Berry , et je demande à développer ma proposition.
Page xii - Gorgias, qu'un orateur doit avoir la subtilité des dialecticiens , la science des philosophes, la diction presque des poètes, la voix et les gestes des plus grands acteurs. Aristote fit voir...
Page 271 - ... nous nous croyons des hommes forts parce que nous persécutons les gens de bien, que nous nous entendons en police, que nous savons combien de millions d'œufs rapportent les poules de France, et que nous rêvassons des abstractions politiques dans la poussière de nos bureaux.
Page 203 - J'avoue que je ne puis pas m'empêcher de croire qu'elle avait du penchant pour lui : j'en ai vu des indices trop sûrs pour en douter. Le jeune comte de Fersen a eu dans cette occasion une conduite admirable par sa modestie et par sa réserve, et surtout par le parti qu'il a pris d'aller en Amérique. En s'éloignant, il écartait tous les dangers; mais il fallait évidemment une fermeté au-dessus de son âge pour surmonter cette séduction.
Page 251 - Guizot) démontrait que : .« l'élection directe crée entre les électeurs et les députés des rapports immédiats qui donnent aux premiers plus de confiance dans leurs mandataires, aux seconds plus d'autorité dans l'exercice de leurs fonctions. Il ya là une responsabilité morale et...
Page 325 - Alors, il ne resterait plus à Votre Majesté que cette double alternative, ou de baisser son front auguste devant la Chambre, ou de recourir au pouvoir constituant, à jamais aliéné par la Charte et qu'on n'invoquerait follement une fois que pour plonger la France dans de nouvelles révolutions, au milieu desquelles disparaîtrait la couronne de saint Louis (1).