Mémoires de la Société des sciences morales, des lettres et des arts de Seine-et-Oise, Volumes 15-161887 - Seine-et-Oise (France) |
From inside the book
Results 1-5 of 74
Page viii
... l'un comme dans l'autre cas , la première bataille ; si l'on n'a aucune crainte , c'est que l'on n'a pas conscience du danger ; celui - là seul est brave qui a conscience du ... un trouble de la vue , une sécheresse de la gorge , une VIII -
... l'un comme dans l'autre cas , la première bataille ; si l'on n'a aucune crainte , c'est que l'on n'a pas conscience du danger ; celui - là seul est brave qui a conscience du ... un trouble de la vue , une sécheresse de la gorge , une VIII -
Page xii
... un avocat à son adversaire ; voyant que celui - ci parlait de la guerre de Troie et du Scamandre , il l'interrompit en ... l'un d'eux plai- dait , le jeune stagiaire , un peu irrévérencieux , avait en- levé un feuillet de la plaidoirie ...
... un avocat à son adversaire ; voyant que celui - ci parlait de la guerre de Troie et du Scamandre , il l'interrompit en ... l'un d'eux plai- dait , le jeune stagiaire , un peu irrévérencieux , avait en- levé un feuillet de la plaidoirie ...
Page xvi
... un trait bien acéré : « Un avocat ne perd rien et gagne « même de l'argent en perdant la cause qu'il plaide » . La constatation est exacte , mais n'est pas exempte de malice ; il faut bien d'ailleurs que l'un des deux adver- saires ...
... un trait bien acéré : « Un avocat ne perd rien et gagne « même de l'argent en perdant la cause qu'il plaide » . La constatation est exacte , mais n'est pas exempte de malice ; il faut bien d'ailleurs que l'un des deux adver- saires ...
Page xxi
... l'un et l'autre de ces poètes , se conformant aux principes de leur foi religieuse , ignorent le Purgatoire et l'éternité des peines , et admettent au nombre des bien- heureux les justes de toutes les nations . Pas plus que les années ...
... l'un et l'autre de ces poètes , se conformant aux principes de leur foi religieuse , ignorent le Purgatoire et l'éternité des peines , et admettent au nombre des bien- heureux les justes de toutes les nations . Pas plus que les années ...
Page xxvi
... l'un de nos plus jeunes membres correspondants , M. le docteur J. Guégan , médecin aide- major des hôpitaux militaires du corps expéditionnaire de Tunisie , un travail intitulé : l'Année médicale à Ghar- dimaou , étude surtout ...
... l'un de nos plus jeunes membres correspondants , M. le docteur J. Guégan , médecin aide- major des hôpitaux militaires du corps expéditionnaire de Tunisie , un travail intitulé : l'Année médicale à Ghar- dimaou , étude surtout ...
Other editions - View all
Common terms and phrases
avaient avocat Basoche Beugnot Mémoires boulanger Bourbons c'était cabinet chambre Charles X Charte Château Château de Versailles cheminée chose Commission comte d'Artois conseil Cour d'Orléans dame Dauphin Decazes députés DÉTAIL DES PIÈCES devant discours donner duc de Berry Dussieux Duvergier de Hauranne enfants entr entresols étage femme garde général glaces gouvernement Guizot Hepp homme jour l'Aile l'appartement l'éducation l'histoire l'hôpital Lacomble laissé lettres libéraux livres logement Louis XVI Luzerne madame Guizot malade Marie-Antoinette Martignac membre titulaire ment Meulan ministre Mme Adélaïde Mme Campan Mme de Polignac Mme du Barry Mme la comtesse Mme la duchesse Monsieur morale n'avait ostendi parle passer pavillon pensée Petits appartements Pièce cotée plans politique premier présente président prince raison Registres Reine reste rez-de-chaussée Richelieu rien royale s'était salle Seine-et-Oise sentiment serait seulement sieur Société supente Talleyrand tion Trianon tribunal de Versailles trouve Villèle Vitrolles Wetzlar XVIIIe siècle
Popular passages
Page lii - Mémoires de la Société des sciences morales, des lettres et des arts de Seine-et-Oise.
Page 191 - Pauvre Jacques, quand j'étais près de toi, Je ne sentais pas ma misère ; Mais à présent que tu vis loin de moi, Je manque de tout sur la terre. Quand tu venais partager mes travaux Je trouvais ma tâche légère, T'en souviens-t-il ? tous les jours étaient beaux Qui me rendra ce temps prospère.
Page xvii - Je voudrais qu'il fût naturellement très sensé, et qu'il ramenât tout au bon sens; qu'il fît de solides études; qu'il s'exerçât à raisonner avec justesse et exactitude, se défiant de toute subtilité. Je...
Page 282 - ... en séance publique , et à la face de la France. Je propose à la Chambre de porter un acte d'accusation contre M. Decazes , ministre de l'intérieur , comme complice de l'assassinat de monseigneur le duc de Berry , et je demande à développer ma proposition.
Page xii - Gorgias, qu'un orateur doit avoir la subtilité des dialecticiens , la science des philosophes, la diction presque des poètes, la voix et les gestes des plus grands acteurs. Aristote fit voir...
Page 271 - ... nous nous croyons des hommes forts parce que nous persécutons les gens de bien, que nous nous entendons en police, que nous savons combien de millions d'œufs rapportent les poules de France, et que nous rêvassons des abstractions politiques dans la poussière de nos bureaux.
Page 203 - J'avoue que je ne puis pas m'empêcher de croire qu'elle avait du penchant pour lui : j'en ai vu des indices trop sûrs pour en douter. Le jeune comte de Fersen a eu dans cette occasion une conduite admirable par sa modestie et par sa réserve, et surtout par le parti qu'il a pris d'aller en Amérique. En s'éloignant, il écartait tous les dangers; mais il fallait évidemment une fermeté au-dessus de son âge pour surmonter cette séduction.
Page 251 - Guizot) démontrait que : .« l'élection directe crée entre les électeurs et les députés des rapports immédiats qui donnent aux premiers plus de confiance dans leurs mandataires, aux seconds plus d'autorité dans l'exercice de leurs fonctions. Il ya là une responsabilité morale et...
Page 325 - Alors, il ne resterait plus à Votre Majesté que cette double alternative, ou de baisser son front auguste devant la Chambre, ou de recourir au pouvoir constituant, à jamais aliéné par la Charte et qu'on n'invoquerait follement une fois que pour plonger la France dans de nouvelles révolutions, au milieu desquelles disparaîtrait la couronne de saint Louis (1).