u belles). La gent, M. I dai, M. 7. rd, M. 57. louables on elles qui ne M. 160- et les mau- ACTIVITÉ. Celle des grands esprits est toujours M. 356. M. 475. ADROIT (Esprit), R. XVI, p. 262. AFFAIRES. M. 453. Nous ennuyons en contant les nôtres, M. 510. L'amour-propre est clairvoyant dans les siennes, M. 565. Ce n'est pas dans les affaires sérieuses qu'on est sage, M. 594. Ce qui nuit aux plus importantes, c'est la paresse, M. 633. Esprit d'affaires, R. XVI, p. 263. - AFFECTATION. La modération est une vaine affectation de la force de l'esprit, M. 18. - Les condamnés affectent le mépris de la mort, M. 21. - L'intérêt affecte le désintéressement, M. 39. Pourquoi on affecte de paraître établi dans le monde, M. 56. Pourquoi on affecte de blâmer les finesses, M. 124. — On se rend ridicule par les qualités qu'on affecte, M. 134. Pourquoi on affecte la douleur, M. 233. Dans l'air et dans la mine, M. 256. Engendre des défauts que l'on prend pour des qualités, M. 493. AFFLICTIONS. Hypocrisie dans nos afflictions, M. 232. Affliction comparée au regret, M. 355. Affliction des femmes qui perdent leurs amants, Comment nous regrettons la M. 362. perte de AGES de la vie, M. 405. Ce qui se produit au déclin de l'âge, R. XIX, p. 285. AGRÉMENT. Séparé de la beauté, ce qu'il est, M. 240. En quoi il consiste, M. 255. — De la conversation, R. IV, p. 226. Est une des conditions de l'esprit brillant, R. XVI, p. 265. — C'est une première fleur de l'amour, qui passe comme celle des fruits, R. XVIII, p. 282. AIR. Voyez APPARENCES, MINES. L'agrément des personnes en dépend, M. 240. -- L'air bourgeois Air d'é ne se perd jamais à la cour, M. 393. lévation naturelle, M. 399. Capable et composé tourne en impertinence, M. 495. De l'air et des manières, R. III, p. 222 à 225. Il ne faut pas quitter le sien, mais le perfectionner, p. 222. Celui des petits enfants plaît, ibid. Les jeunes gens prennent des tons et des manières par imitation et au hasard, p. 223. profession a un air qui lui convient, p. 224. Il faut qu'un même air nous fasse dire naturellement des choses différentes, ibid. On prend quelquefois par avance l'air des dignités et du rang où l'on aspire, p. 225. — On ne doit jamais prendre des airs d'autorité dans la conversation, R. IV, p. 227. Chaque AJUSTEMENT. La sévérité des femmes est un ajustement à leur beauté, M. 204. Alcibiade. Combien il a fait de débauchés, R. VII, P. 236. Alexandre le Grand. Combien sa valeur a fait de fanfarons, R. VII, p. 236. Son éloge, R. XIV, p. 253. Plus grand par ses qualités personnelles que par ses conquêtes, ibid. Alphonse VI, roi de Portugal. Son mariage; sa Cachée, M. 91; AMBITION. A quoi on la reconnaît dans les grands 246; déguisée opposée à la modéra et à l'amour, M. 490. L'am - bition a produit les fièvres aiguës, R. XII, p. 247. AME. Ses qualités sont difficiles à connaître, M. 80. Faiblesse de la santé de l'âme, M. 188. Rechutes dans les maladies de l'âme, M. 194. AMI. Confiance que l'on doit avoir en lui, R. V, P. 231. Un véritable ami est le plus grand de tous les biens, M. 546. Comment nous regrettons la perte de nos amis, M. 622. Voyez AMITIÉ. AMITIÉ. Cause de son inconstance, M. 80. Principe des récon ciliations, M. 82. - Définition de l'amitié, M. 83. -Défiance des amis, nécessaire, M. 84. - Ami tié produite par l'intérêt, M. 85. — Manière dont nous jugeons le mérite de nos amis, M. 88. De l'ingratitude, M. 96. De la trahison en amitié, M. 114. - Légèreté de nos plaintes contre nos amis, M. 179. Disgrâces de nos amis, M. 235. Exagération de la tendresse de nos amis, M. 279. On n'aime pas deux fois celui qu'on a cessé d'aimer, M. 286. Rapport de l'admiration à l'amitié, M. 294 ; · et à l'estime, - P. Des La M. 296. - De ceux qui aiment trop, M. 321. Le plus grand effort de l'amitié, M. 410. amis qui nous ont trompés, M. 434. L'amitié est fade quand on a senti l'amour, M. 440. Ignorance de l'amitié, M. 441. Rareté d'un véritable ami, M. 473. R. XVIII, 284. Comparée à la société, R. II, p. 217. ruine du prochain plaît aux amis, M. 521. Ceux que nous aimons ont plus de pouvoir sur C'est le bien nous que nous-mêmes, M. 525. auquel on songe le moins, M. 546. Celle qu'on renoue demande des soins particuliers, M. 562. Pourquoi nous sommes sensibles au bonheur de nos amis, M. 584. déplaît pas, M. 585. Leur adversité ne nous Preuve de peu d'amitié, M. 593. Amitié dans la société, R. II, p. 217. AMOUR. Sa définition, M. 68. - Amour pur, M. 69. L'amour est difficile à cacher et à feindre, De ceux qui ne s'aiment plus, M. 71. L'amour ressemble la haine, M. 72. . Il M. 70. - est rare que les femmes n'aient qu'un amant, 10. - Des I, p. 284. 217-La 1. 521. pouvoir sur est le bien e ne nous d'amitié, 4, p. 217. r, M. 69. feindre, $, M. 71. 72. - II amant, M. 73. Il y a mille copies de l'amour, M. 74. amoureux, - Des Des gens en amour, M. 175. Elle est de deux sortes, M. 176. Plaisir véritable de l'amour, M. 259. parler de l'amour, M. 418. Son inconstance involontaire est un effet du temps, M. 430. R. IX, p. 240. - Amitié fade auprès de l'amour, M. 440. Ignorance heureuse en amour, M. 441. Amour moins rare que l'amitié, M. 473. R. XVIII, p. 284. Ambition plus forte que l'amour, M. 490. 239. P. de l'amour plus agréables que lui, M. 501. Comparé à la mer, R. VI, p. 235. Comparé à la vie, R. IX, p. 238. Comment il décroît, R. XVIII, - Comparé à l'amitié, p. 283. AMOUR-PROPRE. Le plus grand de tous les flatteurs, M. 2 et 602. L'étendue de son domaine est |