Souvenirs de l'empereur Napoléon Ier: extraits du Mémorial de Sainte-Hélène de M. le comte de Las CasesL. Hachette et cie., 1854 - 436 pages |
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Aboukir anglais armée arrivé avaient bataille Bellerophon Bertrand bord du Bellerophon c'était campagne capitaine Maitland cercueil chambre Charles Bonaparte chose circonstance commandant comte comte de Las conseil d'État d'artillerie demander demeurer devait dictée disait l'Empereur disait-il donner Duroc Égypte Emmanuel de Las eût famille fût garde général Bonaparte général en chef gloire gouvernement gouverneur guerre heures instant j'ai j'avais j'étais jamais jeune Joséphine jour jusqu'à l'amiral l'armée d'Italie l'Em l'Empe L'Empereur disait l'empereur Napoléon l'Europe l'île l'impératrice laisser léon lettre Longwood maison manda maréchal Blücher Marie-Louise matin ment militaire mille hommes ministres mort Moscou n'avait n'était Napo NAPOLÉON Ier nuit officiers paroles passer pereur personne peuple Pichegru poléon porte pouvait premier consul prendre présent prince Prussiens répondit reste reur rien Russie s'était Sainte-Hélène salon sentiments serait seul Sidney Smith sir Hudson Lowe soir soldats sorte souvent tion trouvait Tuileries vaisseau vait venait voulait Wilna
Popular passages
Page 402 - Nous avons ordonné et ordonnons que le projet de loi dont la teneur suit sera présenté à la Chambre des députés...
Page 29 - J'en appelle à l'histoire : elle dira qu'un ennemi qui fit vingt ans la guerre au peuple anglais, vint librement, dans son infortune, chercher un asile sous ses lois. Quelle plus éclatante preuve pouvait-il lui donner de son estime et de sa confiance...
Page 177 - J'ai reçu la lettre où tu me parais fâchée du mal que je dis des femmes. Il est vrai que je hais les femmes intrigantes au delà de tout; je suis accoutumé à des femmes bonnes, douces et conciliantes ; ce sont celles que j'aime. Si elles m'ont gâté, ce n'est pas ma faute, mais la tienne. Au reste, tu verras que j'ai été fort bon pour une qui s'est montrée sensible et bonne, Mme d'Hatzfeld.
Page 199 - Constantinople : il l'a fort désirée de moi; j'ai été fort cajolé à ce sujet, mais j'ai constamment fait la sourde oreille. Cet Empire, quelque délabré qu'il parût, . devait demeurer notre point de séparation à tous deux : c'était le marais qui empêchait de tourner ma droite. Pour la Grèce, c'est autre chose...
Page 385 - Je souhaite encore que vous preniez mon cœur, que vous le mettiez dans l'esprit -de-vin, et que vous le portiez à Parme, à ma chère Marie-Louise. Vous lui direz que je l'ai tendrement aimée , que je n'ai jamais cessé de l'aimer ; vous lui raconterez tout ce que vous avez vu , tout ce qui se rapporte à ma situation et à ma mort.
Page 28 - Je proteste solennellement ici, à la face du ciel et des hommes , contre la violence qui m'est faite , contre la violation de mes droits les plus sacrés, en disposant, par la force, de ma personne et de ma liberté.
Page 216 - J'ai reçu la lettre de Votre Altesse Rojalc; j'ai toujours pris un vif intérêt à ses malheurs et à ceux de sa famille. Elle ne doit pas songer à se présenter en France; elle n'y parviendrait que sur cent mille cadavres. Du reste, je m'empresserai toujours à faire tout ce qui pourrait adoucir ses destinées et lui faire oublier ses malheurs.
Page 391 - Je désire que mes cendres reposent sur les bords de la Seine, au milieu de ce peuple français que j'ai tant aimé.
Page 10 - Altesse Royale, en butte aux factions qui « divisent mon pays et à l'inimitié des plus grandes « puissances de l'Europe, j'ai terminé ma carrière « politique, et je viens, comme Thémistocle, « m'asseoir au foyer du peuple britannique. Je « me mets sous la protection de ses lois, que je « réclame de Votre Altesse Royale comme du plus « puissant, du plus constant et du plus généreux