Œuvres completes de Voltaire, Volume 15la Société Littéraire-typographique, 1785 |
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Adieu adreffe affez affurément afile aimable aime ainfi Alteffe Apollon auffi avez beaux bontés c'eft c'eſt chanter charmant cher ami cher Cideville chofe Cirey complimens confeil confervez confolation d'Argental daignez Deffant Dieu Dieux digne dire doux efprit embraffe Emilie envoyé épître eſpèce eſt êtes fage faint fais fans doute fanté favez favoir fecret fefait féjour femble fens fentiment ferait Ferney fervir feule fiècle fociété foit fommes font Formont fottifes fouhaite fouper fous fouvent fuis fujet furtout gens goût heureux homme j'ai j'aime j'aurai j'avais jamais jufte l'abbé l'amitié l'Amour l'efprit l'honneur LETTRE LX long-temps MADAME DE POMPADOUR Madame Denis Madame du Châtelet mademoiſelle MARQUIS DE VILLETTE meffieurs Monfieur mufe n'ai n'eft n'eſt Newton paffer parler penfer perfonne philofophe plaifir plaifirs plaire poëfie poëte préfent prefque raifon refpect refte réponſe rien rois s'eft ſes ſon talens tendre trifte Voilà Voltaire
Popular passages
Page 429 - Ici gît, ou plutôt frétille, Voisenon, frère de Chaulieu. A sa muse vive et gentille Je ne prétends point dire adieu ; Car je m'en vais au même lieu, Comme un cadet de la famille.
Page 196 - L'amitié vint à mon secours. Elle était peut-être aussi tendre, Mais moins vive que les amours.
Page 304 - En tout pays on se pique De molester les talents; Goldoni voit maint critique Combattre ses partisans. On ne savait à quel titre On doit juger ses écrits ; Dans ce procès on a pris La nature pour arbitre. Aux critiques , aux rivaux , La nature a dit sans feinte : Tout auteur a ses défauts, Mais ce Goldoni m'a peinte.
Page 347 - Je ne recueillais de ma vigne Qu'un peu de vin grossier et plat ; Mais un gourmet l'a rendu digne Du palais le plus délicat. Ma bague était fort peu de chose ; On la taille en beau diamant : Honneur à l'enchanteur charmant Qui fit cette métamorphose ! Vous sentez bien , monsieur Vévêque de Montrouge , à qui sont adressés ces mauvais vers.
Page 414 - ONSIEUR de la Borde m'a dit que vous lui aviez ordonné de m'embrafler des deux côtés de votre part. Quoi , deux baifers fur la fin de ma vie ! Quel pafle-port vous daignez m'envoyer ! Deux ! c'eft trop d'un , adorable Egérie ; Je ferais mort de plaifir au premier.
Page 415 - Vous ne pouvez empêcher cet hommage , Faible tribut de quiconque a des yeux. C'est aux mortels d'adorer votre image; L'original était fait pour les dieux. .J'ai entendu plusieurs morceaux de la Pandore de M. de La Borde; ils m'ont paru bien dignes de votre protection. La faveur donnée aux véritables beauxarts est la seule chose qui puisse augmenter l'éclat dont vous brillez.
Page 230 - Je m'intéresse à votre bonheur plus que vous ne pensez, et peut-être n'y at-il personne à Paris qui y prenne un intérêt plus sensible. Ce n'est point comme vieux galant flatteur de belles que je vous parle, c'est comme bon citoyen, et je vous demande la permission de venir vous dire un petit mot à Etiole ou à Brunoy ce mois de mai.
Page 51 - Serments indiscrets. Vous croyez bien qu'il y aura beaucoup de métaphysique et peu de naturel, et que les cafés applaudiront pendant que les honnêtes gens n'entendront rien1.