Journal littéraire, Volume 7G.J. Decker, Imprimeur du roi, 1773 - Books |
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Page 77
... naturel- lement borné ; il eft de plus fujet à des défauts acceffoires ; & fes actions font le résultat , non du principe tel qu'il eft en lui - même , mais du principe modifié par la maniere de penfer & par les habitudes de l'homme ...
... naturel- lement borné ; il eft de plus fujet à des défauts acceffoires ; & fes actions font le résultat , non du principe tel qu'il eft en lui - même , mais du principe modifié par la maniere de penfer & par les habitudes de l'homme ...
Page 92
... naturel de penser que ,, le fluide , obligé de paffer dans un ef- » , pace plus étroit pour former la cata- ,, race , devroit s'accélérer dans cet ef- » pace , indépendamment de fa pefanteur , # par cette feule raifon que l'efpace par ...
... naturel de penser que ,, le fluide , obligé de paffer dans un ef- » , pace plus étroit pour former la cata- ,, race , devroit s'accélérer dans cet ef- » pace , indépendamment de fa pefanteur , # par cette feule raifon que l'efpace par ...
Page 103
... naturels . naturels . Les plans qui terminent les corps , fe décri- vent par le mouvement d'une droite qui ne rétrograde jamais , & qui ne paffe ja- mais du pofitif au négatif . E 4 Mais Mais fi la droite qui décrit une figure , de ...
... naturels . naturels . Les plans qui terminent les corps , fe décri- vent par le mouvement d'une droite qui ne rétrograde jamais , & qui ne paffe ja- mais du pofitif au négatif . E 4 Mais Mais fi la droite qui décrit une figure , de ...
Page 136
... naturel- lement de l'amour pour eux . En même temps il excite un fentiment fi jufte de l'ordre , de la beauté , & de l'harmonie , qu'il engendre naturellement l'averfion & le mépris pour le mauvais , le difcordant , & le laid , de ...
... naturel- lement de l'amour pour eux . En même temps il excite un fentiment fi jufte de l'ordre , de la beauté , & de l'harmonie , qu'il engendre naturellement l'averfion & le mépris pour le mauvais , le difcordant , & le laid , de ...
Page 140
... un goût de mode purement arbitraire , qui ne trouve rien de beau qué ce qui eft conforme aux regles imaginai res d'une beauté chimérique ; il ne juge point d'après des principes , ou d'après le fentiment naturel point 140 JOURNAL.
... un goût de mode purement arbitraire , qui ne trouve rien de beau qué ce qui eft conforme aux regles imaginai res d'une beauté chimérique ; il ne juge point d'après des principes , ou d'après le fentiment naturel point 140 JOURNAL.
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Common terms and phrases
abfolue affez ainfi auffi avoient avoit befoin bonheur c'eft C'eſt à dire Caton l'ancien caufe Chinois chofes circonftances claffe concentrante compofé conféquent confidération connoiffance connoître d'Alembert defirer degré difcours différentes difpofition diftinguer efpece efprit Egyptiens enfuite eſt étoit exifte facrés fagacité faifir fans fant fcience fe trouve fecond fenfible fens fent feroit fervir feul fimple fion fociété foit folides fomme font fous fouvent frottement fuite fuivant fuivre fujet fur-tout furface génie goût Graun Hiftoire hommes Jean Bernoulli jufqu'à jufte Kæftner l'Académie l'ame l'Auteur l'efprit l'hiftoire l'hiſtoire l'homme laiffe lefquels livres loix lorfque maniere mémoire ment morale mouvement n'eft n'eſt néceffaire obfervations ouvrage paffe paffions paroît penfer perfonnes peuple philofophie phyfique plaifir plufieurs poéfie préfent preffion prefque premiere principes problême propofée puiffe raifon refte religion Robert Henri s'eft Sebaldus teur tion troifieme ufage utile vérité vertu vices vîteffe Volume in 8vo
Popular passages
Page 284 - Je me tiens déjà mort au monde: Mais fur le point d'être jeté Au fond de la nuit éternelle, Comme tant d'autres l'ont été, Tout ce que je vois, me rappelle A ce monde que j'ai quitté. Si vers le foir un trifte orage Vient troubler l'éclat d'un beau jour, Je me fouviens qu'à votre cour Le temps change encor davantage. Si mes Paons de leur beau plumage...
Page 48 - Supposez que le cube et le globe étant posés sur une table, cet aveugle vienne à jouir de la vue : on demande si, en les voyant sans les toucher, il pourrait les discerner, et dire quel est le globe et quel est le cube...
Page 291 - Traitement de la petite vérole des enfans à l'usage des habitans de la campagne, •& du peuple dans les provinces méridionales; auquel on a joint la méthode actuelle d'inoculer la petite vérole avec des expériences faites dans la vue de...
Page 285 - ... nuit éternelle, Comme tant d'autres l'ont été, Tout ce que je vois me rappelle A ce monde que j'ai quitté. Si vers le soir un triste orage Vient ternir l'éclat d'un beau jour, Je me souviens qu'à votre cour Le temps change encor davantage. Si mes paons, de leur beau plumage, Me...
Page 196 - Dans l'événement le plus trifte & le plus terrible , tour n'eft pas également capable d'imprimer de la terreur, ou de faire couler des larmes. Il ya donc un choix à faire ; & ce choix commence par...
Page 49 - Tes objets propres & immédiats de la Vue ; parce que ces figures ne tracent au fond de l'œil que des furfaces planes ,. diverfement ombrées & colorées. Il die que nous ne parvenons à appercevoir les contours folid.es des corps qu'en fuMtituant la caufe à l'effet, par un jugement habituel,, mêlé à i'ade de la Vif
Page 181 - A fer fe laifiïi emporter à la fougue de fon génie. Il eut plus de naturel que d'art. Secundus dut moins à la nature qu'à l'art.. Il polit fes difcours avec foin , & donna à fon ftyle cette fluidite, cette rondeur, & ces grâces qui coûtent plus à mefure qu'elles femblent coûter moins.
Page 197 - ... eu le tems de la réflexion; & que le comble du Ridicule feroit de les faire parler , comme s'ils avoient pu méditer à loifir l'ordre & l'art, qu'il leur faudroit employer pour arriver plus furement à leurs fins.
Page 179 - En effet , jamais on ne poflëda plus éminemment le grand art de tranfmettre aux autres fes idées ou fes fentimens. Philofophe profond, Rhéteur judicieux, Epiftolaire inimitable, il eft tout ce qu'il veut être & comme il veut l'être. Dans fes oraifons , il peut feul entrer en parallèle avec Démofthenes. Sans fuivre la même route , il alla peut-être aufli loin dans la carrière que fon rival.
Page 182 - Glicon , anffi appelle Spiridion. Pline fut l'ornement du Barreau & de fon fiecle ; on ne remarque pas dans fes écrits ce noble enthoufiafme & cette touche vigoureufe des Auteurs du fiecle d'Augufte ; mais il eft impoffible d'avoir autant d'efprit , d'élégance & de finefle.