Revue de Paris, Volume 77Demengeot & Goodman, e.a., 1835 |
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Page 13
... commencement du siècle , une de ces curieuses tribus qui demeurent encore à l'embouchure de l'Orénoque , sous le nom de Guaraons ( ou Waraons ) , fut visitée par un voyageur fran- çais , qui fut émerveillé de ses habitations et de l ...
... commencement du siècle , une de ces curieuses tribus qui demeurent encore à l'embouchure de l'Orénoque , sous le nom de Guaraons ( ou Waraons ) , fut visitée par un voyageur fran- çais , qui fut émerveillé de ses habitations et de l ...
Page 44
... commencement de preuve de mon opinion sur la province , et montrera qu'elle n'est pas si deshéritée qu'on le croit de toute poésie . J'étais un tout jeune homme , j'avais vingt - un ans , et je travaillais dans les bureaux de mon père ...
... commencement de preuve de mon opinion sur la province , et montrera qu'elle n'est pas si deshéritée qu'on le croit de toute poésie . J'étais un tout jeune homme , j'avais vingt - un ans , et je travaillais dans les bureaux de mon père ...
Page 87
... commence ! Ah ! madame , s'il m'avait été permis , je vous eusse donné d'autres conseils . Mais quoi ! vous pleurez . Une larme de vous , madame ! Ah ! me voilà plus heureux que celui même qui vous emporte sur son sein ! Cette larme ...
... commence ! Ah ! madame , s'il m'avait été permis , je vous eusse donné d'autres conseils . Mais quoi ! vous pleurez . Une larme de vous , madame ! Ah ! me voilà plus heureux que celui même qui vous emporte sur son sein ! Cette larme ...
Page 94
... commencement de l'année 1833 , M. Car ... vécut fort retiré à Paris . Nous le ren- contrions quelquefois aux Champs - Élysées . Son ancienne gaieté n'avait pas reparu . Il avait gardé le visage triste qu'il avait pris le jour de l ...
... commencement de l'année 1833 , M. Car ... vécut fort retiré à Paris . Nous le ren- contrions quelquefois aux Champs - Élysées . Son ancienne gaieté n'avait pas reparu . Il avait gardé le visage triste qu'il avait pris le jour de l ...
Page 150
... commencement du XIe siècle , et que depuis ce temps , il a toujours passé de mains en mains à de hauts ba- rons , à d'heureux soldats , à d'illustres princesses , et que tout ce monde , emporté par la mort , barons , soldats ...
... commencement du XIe siècle , et que depuis ce temps , il a toujours passé de mains en mains à de hauts ba- rons , à d'heureux soldats , à d'illustres princesses , et que tout ce monde , emporté par la mort , barons , soldats ...
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Common terms and phrases
ami le juste-milieu Anacharsis Apennins arrive assez avaient beau belle c'était Carlo Luz César chambre chanter château château de Stirling Châteaubriand chose Claude d'Abbeville cœur comte de Gowrie comtes d'Athol Corneille côté d'Angleterre d'Écosse David David Rizzio demander devant Dieppe Dieu dire duc de Lennox Édimbourg enfant Énoë eût femme fille fils François Ier Goudouli grace Guillaume habitans Henri j'ai j'étais Jacques jamais jeune homme jour l'ame laisser Lauzun Lennox long-temps lord de Ruthven Louis XIV madame main Marie Marie Stuart Méthuen Michel-Ange misère monde monsieur mort Ninette noble parlement parlement d'Écosse passé Patrick pauvre pensée père Ives Perth Perthshire peuple peut-être pieds poésie poète pont pont d'Iéna Pont-Neuf porte regard reine reste Riccorsi rien roman Rome Ronciglione royaume s'éteint la maison sais sera seul sorte statue Stirling Stuart Sylvia tête triste trouve Tupinambas venait Vera-Cruz vieux visage voilà voyageur XVIe siècle yeux
Popular passages
Page 148 - Alors, au grand bruit et au grand éclat de la mer, succèdent l'ombre des arbustes et le murmure des frais ruisseaux. Vous décrirai-je ensuite cette maison de briques ? autant vaudrait décrire le Musée du Louvre. Du haut en bas de ce château, sur chaque porte, sur chaque muraille, dans les escaliers, sur les plafonds, à vos pieds, sur vos têtes, autour de vous, vous voyez des figures et des personnages historiques. Tous les âges, tous les temps, tous les malheurs, toutes les gloires, tous...
Page 241 - Aujourd'hui la science est une, il est impossible de tou«cher à la politique sans s'occuper de morale, et la morale «tient à toutes les questions scientifiques.
Page 138 - Angleterre, gaieté et bonne humeur contre ennui et tristesse, le vin de Champagne contre le cidre... Et vive la joie! Tout l'avantage a été pour nous. Or voici ce qui se passait un soir sur la jetée , par un beau soleil couchant qui enveloppait la mer d'un voile d'or et d'azur. Un homme se promenait en silence, la tête nue et dans l'attitude du recueillement. Chacun s'écartait devant lui par intérêt et par respect; tout le monde avait les yeux fixés sur le noble étranger, et personne ne...
Page 149 - ... ensuite cette maison de briques? autant vaudrait décrire le musée du Louvre. Du haut en bas de ce château , sur chaque porte , sur chaque muraille , dans les escaliers, sur les plafonds , à vos pieds , sur vos têtes, autour de vous, vous voyez des figures et des personnages historiques. Tous les âges , tous les temps , tous les malheurs , toutes les gloires , tous les revers , sont représentés dans ces murailles et sur ces murailles. Rappelez-vous que ce château d'Eu a été fondé au...
Page 281 - C'est l'ouvrage de l'un de vos compatriotes , lui répondis-je , d'un nommé Virgile Maro qui vivait à Rome sous un empereur, avant qu'il y eût des souverains pontifes. — Que trouve-t-on dans ce livre? — Pas grand'chose ; votre compatriote y donne des conseils aux laboureurs pour marier la vigne à l'ormeau , et ensuite il a fait une grande quantité de sonnets sur un certain...
Page 281 - L'auberge est vis-à-vis ; elle n'a rien de repoussant; elle est propre et blanche, elle a même une cuisine, mais on y soupe fort mal. Heureusement, le cameriere parle un français correct , et vous raconte ses campagnes; il a servi sous l'Empereur ; il aime les Français, et leur donne secrètement du vin de Montefiascone. Les chambres de cette auberge ont des portes , mais elles n'ont ni cefs , ni serrures.
Page 138 - Chateaubriand, que les marins du port regardaient avec autant d'émotion que lui-même il regardait la mer. Bien plus , les Anglais eux-mêmes, à l'aspect du grand poète de la France , avaient l'air ému et attendri. Voilà ce que c'est que la gloire ! Imposer silence même à la mer ! rendre attentif même le rude matelot qui ne sait pas lire et qui pourtant sait votre nom ; remplir par sa seule présence tous les yeux de larmes et tous les cœurs d'émotion ; croyezvous que ce ne soit pas là...
Page 141 - Que cette voix fut puissante alors! et que la France fut émue et attentive quand elle entendit l'auteur des Martyrs lui parler pour la première fois des Bourbons et de la Charte, de la vieille famille de saint Louis et en même temps de la liberté, cette jeune conquête! Ce fut alors qu'on vit bien des deux parts ce que peut un seul homme dans la destinée des empires : d'un côté Bonaparte tout seul...
Page 125 - Aimez-vous ce vieux toit domestique qui s'avance dans la rue comme pour protéger l'étranger qui passe? Aimez-vous ces murailles lézardées par le temps, qui ont abrité au dedans tant de générations évanouies , qui ont vu s'accomplir au dehors tant de révolutions oubliées? Aimez-vous à traverser ces rues sinueuses où s'est agité le vieux peuple? et cela ne vaut-il pas mieux, à tout prendre , que les balcons de vos maisons modernes sans passé , sans souvenir et sans mystères?
Page 278 - ... promenait en attendant pâques, sur les petites roches calcaires qui enclavent l'hôtellerie de Riccorsi ; il se laissa prendre avec une résignation touchante , et une demiheure après on nous le servit noyé dans un brodo clair comme l'eau. Nous sortîmes de ce famélique vallon , où depuis Enée tous les voyageurs sont contraints à dévorer leurs tables , et nous reprîmes notre route , avec une défaillance de cœur qu'aggravait encore la brise ironiquement apéritive des Apennins. Du sommet...