Le grand siècle: Louis XIV, les arts, les idées, d'après Voltaire, Saint-Simon, Spanheim, Dangeau, Madame de Sévigné, Choisy, La Bruyère, Laporte, le Mercure de France, la Princesse Palatine, etc |
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... souvent l'admiration . Il en est pourtant de cet art comme de la littérature et de la societé du même temps . Vu de près , il est vivant , ingénieux , d'un détail achevé , d'une grace et d'un charme conformes au génie français qui l'a ...
... souvent l'admiration . Il en est pourtant de cet art comme de la littérature et de la societé du même temps . Vu de près , il est vivant , ingénieux , d'un détail achevé , d'une grace et d'un charme conformes au génie français qui l'a ...
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... souvent ouï parler de ces temps avec amertume , jusque - là qu'il ra- contait qu'on le trouva un soir tombé dans le jardin du Palais Royal à Paris où la cour était alors . CURA « Dans la suite , sa dépendance fut extrême . A peine lui ...
... souvent ouï parler de ces temps avec amertume , jusque - là qu'il ra- contait qu'on le trouva un soir tombé dans le jardin du Palais Royal à Paris où la cour était alors . CURA « Dans la suite , sa dépendance fut extrême . A peine lui ...
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... des jansénistes , avait écrit souvent à la reine contre ces spectacles dès les premières années de la régence . Il prétendit que l'on était. LES NOCES DE THÉTIS . LOUIS XIV EN COSTUME DE ROI SOLEIL . >> LE. LA PREFACE DU REGNE . 15.
... des jansénistes , avait écrit souvent à la reine contre ces spectacles dès les premières années de la régence . Il prétendit que l'on était. LES NOCES DE THÉTIS . LOUIS XIV EN COSTUME DE ROI SOLEIL . >> LE. LA PREFACE DU REGNE . 15.
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... souvent absurde , anathématisent les plaisirs innocents nécessaires à une grande ville , et des arts qui contribuent à la splendeur d'une nation . L'abolition des spectacles serait une idée plus digne du siècle d'Attila que du siècle de ...
... souvent absurde , anathématisent les plaisirs innocents nécessaires à une grande ville , et des arts qui contribuent à la splendeur d'une nation . L'abolition des spectacles serait une idée plus digne du siècle d'Attila que du siècle de ...
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... souvent traité cet homme singulier dans ses maladies , a dit qu'il n'avait jamais vu son visage , quoiqu'il eût souvent examiné sa langue et le reste de son corps . Il était admirablement bien fait , disait ce médecin : sa peau était un ...
... souvent traité cet homme singulier dans ses maladies , a dit qu'il n'avait jamais vu son visage , quoiqu'il eût souvent examiné sa langue et le reste de son corps . Il était admirablement bien fait , disait ce médecin : sa peau était un ...
Contents
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Le Grand Siècle - Louis XIV; Les Arts, Les Idées, d'Après Voltaire, Saint ... Emile Bourgeois No preview available - 2018 |
Common terms and phrases
Almanach arts avaient ballets et opéras Bérain conservé Bibliothèque de Versailles Bossuet bulle C'était Cabinet des Estampes calvinistes cardinal de Noailles cardinal de Richelieu cent chambre Château de Versailles choses Clément XI clergé Colbert Collection Hennin commença condamner Corneille cour D'après le portrait D'après une estampe Dauphin Dieu disputes donna duchesse enfin estampe de Bonnart Estampe satirique évêques femmes Fénelon Fouquet française gens gloire goût gouvernement guerre Hollande hommes huguenots Innocent X jamais jansénistes Jansénius Jérôme Pichon jésuites l'Académie l'Église l'esprit l'État l'Europe Lebrun Leclerc Lepautre lettres livre Louis XIV Louvois Madame maison manuscrit de Bérain maréchal Mazarin médaille mérite mille millions ministre Mlle Mme de Maintenon Mme de Montespan Mme Guyon mort Musée de Versailles Musée du Louvre n'avait n'était nation paix pape parlement peintres peuple philosophie presque prince Quesnel quiétisme règne reine religion rois Rome royale royaume Saint-Simon secret seul Tellier tion Voltaire voulut XVII SIÈCLE
Popular passages
Page 171 - Ce que je vous recommande le plus fortement, est de n'oublier jamais les obligations que vous avez à Dieu Souvenez-vous que vous lui devez tout ce que vous êtes » Tâchez de conserver la paix avec vos voisins. » J'ai trop aimé la guerre. Ne m'imitez pas en cela, non plus que dans les trop grandes dépenses que j'ai faites.
Page 296 - C'est moins un livre que des matériaux pour orner un livre. On lut avidement ce petit recueil ; il accoutuma à penser et à renfermer ses pensées dans un tour vif, précis et délicat.
Page 410 - Les meilleures comédies de Molière n'ont pas plus de sel que les premières Lettres provinciales : Bossuet n'a rien de plus sublime que les dernières.
Page 21 - Bastille, où il fut logé aussi bien qu'on peut l'être dans le château : on ne lui refusait rien de ce qu'il demandait; son plus grand goût était pour le linge d'une finesse extraordinaire, et pour les dentelles; il jouait de la guitare.
Page 21 - SainteMarguerite, dans la mer de Provence, un prisonnier inconnu, d'une taille au-dessus de l'ordinaire, jeune, et de la figure la plus belle et la plus noble. Ce prisonnier, dans la route, portait un masque dont la mentonnière avait des ressorts d'acier, qui lui laissaient la liberté de manger avec le masque sur son visage : on avait ordre de le tuer s'il se découvrait.
Page 296 - L'éloge funèbre de Madame, enlevée à la fleur de son âge, et morte entre ses bras, eut le plus grand et le plus rare des succès, celui de faire verser des larmes à la cour. Il fut obligé de s'arrêter après ces paroles, «0 nuit désastreuse! nuit effroyable, où retentit tout à coup, comme un éclat de tonnerre, cette étonnante nouvelle : Madame se meurt, Madame est morte, etc.
Page 302 - Je suis maître de moi comme de l'univers ; Je le suis, je veux l'être. O siècles! ô mémoire ! Conservez à jamais ma dernière victoire ; Je triomphe aujourd'hui du plus juste courroux De qui le souvenir puisse aller jusqu'à vous. Soyons amis, Cinna, c'est moi qui t'en convie...
Page 296 - ... et qui substitue une prose cadencée à la versification. Il semble qu'il ait voulu traiter le roman comme M. de Meaux avait traité l'histoire, en lui donnant une dignité et des charmes inconnus, et surtout en tirant de ces fictions une morale utile au genre humain, morale entièrement négligée dans presque toutes les inventions fabuleuses.
Page 282 - L'on voit certains animaux farouches, des mâles et des femelles, répandus par la campagne, noirs, livides et tout brûlés du soleil, attachés à la terre qu'ils fouillent et qu'ils remuent avec une opiniâtreté invincible ; ils ont comme une voix articulée, et quand ils se lèvent sur leurs pieds, ils montrent une face humaine, et en effet ils sont des hommes. Ils se retirent la nuit dans des tanières, où ils vivent de pain noir, d'eau et de racines ; ils épargnent aux autres hommes la peine...
Page 180 - Enfin il a fallu que je lui ordonnasse de se retirer, parce que tout ce qui passait par lui, perdait de la grandeur et de la force qu'on doit avoir en exécutant les ordres d'un roi de France qui n'est pas malheureux.