niales, 199, 200. Encouragements dans le commerce maritime, 200.- Injustices envers Colbert, 201. Manufactures, 202. - Gobelins, la Savonnerie, fabriques de glaces, 202. Sedan, Aubusson, etc., arts industriels, 205. La police et les embellissements de Paris, 206. Bâtiments à Saint-Germain, à Versailles, à Paris, 207, 208, 209.- Bernin et Perrault, 209. Fondations à Saint-Cyr, les Invalides, 210. Beaux jugements rendus par Louis XIV, législation, 210, 211. — Duels abolis, 212. Règlements militaires, 213, 214, 215. Artillerie, forteresses, 214, 215. Eloges de Spanheim sur l'organisation des armées françaises par Louis XIV et Louvois, 216, 217, 218. Critiques de Saint-Simon, 219, 220, 221, Marine, 225. - Hauteur de Louis XIV avec l'Angleterre : nouveaux ports militaires, 226. Chantiers de constructions, batailles navales, 229. Colonies, 230. Euvre personnelle de Louis XIV, 231.- Mémoires des intendants pour Ce que fit Louis XIV et ce qui restait à faire, 232, 235.

LES AMOURS SCULPTEURS ET ARCHITECTES.

(Gravure allégorique pour l'Académie de Scuplture.) l'instruction du Dauphin, 231. Changements heureux dans la nation, 237. Presque aucune conspiration, 237, 238. La bourgeoisie française: plus de politesse et d'agréments qu'auparavant, 238, 239. - Aisance générale, 240, 241. Paris, centre des arts, 242.- Tableau de Paris et du Parisien par La Bruyère, 243, 244, 245, 246, 247; Saint-Simon: éloges et regrets, 248, 249, 250.

II. Finances et règlements
(p. 251 à 278).

Colbert: ses mérites, 251. - Peu d'intelligence alors dans la nation en matière de finances, 252. - Défense au Parlement de faire des remontrances avant l'enregistrement, 255.- Administration de Colbert, 252. Édit de 1666 en faveur des familles nombreuses, 256. - Colbert ne peut faire tout le bien qu'il veut, 257. Les paysans et la question du blé, 258. Les emprunts, 259. Les traitants, 260. Le Pelletier, contrôleur général, 261.- Meubles d'argent proscrits, 261.- Réforme générale des monnaies, 262.- Les frais du règne ; la guerre appauvrit toujours, 262, 263. Capitation, 264.- Dixième, 264. Chamillart, ministre, 267. Desmarets, ministre, 268. L'argent

222.

du royaume et les monnaies, 269, 270, 271. Luxe et misère, 272. L'industrie et la culture, 272, 273. Aisance de la classe moyenne, condition des paysans, 274, 275. Témoignages de La Bruyère, Guy Patin, Mme de Sévigné, Vauban, Saint-Simon sur le sort des paysans au XVIIe siècle, 276, 277, 278.

LES ARTS, LES LETTRES ET LES SCIENCES (p. 279 à 344).

Descartes, 282.

L'esprit philosophique et critique en France au début du siècle, 281. Société royale de Londres, 282, 283. - Louis XIV et Colbert encouragent les sciences et pensionnent les savants étrangers l'Académie des sciences, 283. Le Jardin royal, l'Observatoire, le journal des Savants, l'Académie des inscriptions, 284, 285. Les superstitions, sorciers combattus, 285, 286- Philosophie nécessaire, 286. - Pourquoi Voltaire donne la première place aux sciences, 287, 288.

CRITIQUE SUR LES MODES DES FEMMES.

(D'après une caricature du temps.)

Musique, 309. Lulli, 309. Architecture, 310. Peinture, 311. - Académie des Beaux- Arts et de Peinture à Rome, 311.- Sculpture, 312. - Médailles, 312. Gravures, 315. - Chirurgie, 315. Médecine, 316. Pourquoi Voltaire met la chirurgie et la médecine au nombre des arts, 316. Catalogue des artistes français, par Voltaire, 316. - Musiciens, 317, 319, 320, 321. Peintres, 322, 323, 324, 325. — Sculpteurs, architectes, graveurs, 326, 327, 328, 329, 330, 331, 332.

IV. Des beaux-arts en Europe du temps de Louis XIV (p. 333-344).

Ce que l'histoire doit retenir, 333. Les Anglais au XVIIe siècle, 334. Milton, 334, 335.Dryden, 335. Pope, 335. Adison, 335, 336. - Swift, 336. Motifs de l'admiration

de Voltaire pour les Anglais : lettres sur l'Angleterre, 336, 337.- Bacon, Newton, 338, 339. Halley, 339. Locke et Platon, 340. Hevelius; magnificence singulière de Louis XIV Leibnitz, 341, 342. Bel âge de la géométrie, 341, 342. La physique Pourquoi le xvIIe siècle doit s'appeler celui de Louis XIV, 343, 344

envers lui, 341. depuis Galilée, 342.

L'église et le clergé de France, premier ordre de l'État, 347. - Immunités de 1 Église, 348. Richesses comparées de l'Eglise en France et en Europe, 349, 350. - Don gratuit, 350. - Anciennes maximes du clergé de France, 351. Conduite du roi avec le clergé, 252. Les libertés de l'église galli

Pourquoi y a-t-il eu toujours des querelles théologiques? 363, 364. - Origine des sectes du xvIIe siècle : catholiques et protestants, 365. Protestants de France, 366. Edit de Nantes, 367. - Sédition et guerre civile des Réformés, 368. Richelieu veut enfin réunir les deux religions, 369, 370. - Réformés protégés par Colbert. 370. -Louis XIV excité contre eux, 371. - Petits enfants convertis, 372. Mesures du gouvernement; Pellisson convertit pour de l'argent, 372, 373.-L'œuvre des conversions, 373, 374. - Prédicants roués, 374. Les huguenots s'enfuient, 374. Dragonnades, 374, 375, 376. Lettre apostolique de Louvois, 377. Édit de Nantes révoqué, 377. Peuples, argent, manufactures, transportés hors de France, 378, 379. Prisons et galères, 380. Rebelles et prophètes, 381.- Prophètes dormants, 382. Cl. Brousson, ministre roué, 383. - Prophètes assassins, 384. L'abbé de la Bourlie, 384. - Guerre des fanatiques, 387. - Cavalier, un garçon boulanger, fait la guerre à Louis XIV, 388, 389. - Le garçon boulanger traite avec Villard, 389. Son histoire, 389. Conspiration des prophètes, 390. - Prophètes réfugiés à Londres, 391.- Saint-Simon plus équitable que Voltaire pour les Cévenols et les Camisards: son témoignage sur Bâville et les rigueurs contre les protestants du Midi, 391, 392.

III. Du jansénisme (p. 393 à 428).

Jansénisme moins turbulent que le calvinisme, 393. - Baius inintelligible, 394. Rome s'en moque, 394, 395. - Molina visionnaire, 395. Procès à Rome, pour ses visions, 396.

Ni les plaideurs, ni les juges ne s'entendent, 396. Jansénius condamné par la Sorbonne, 397. Arnauld, 398. Les cinq propositions condamnées par Innocent X, 399. - Mazarin fait recevoir la bulle, 399. - Disputes dans l'eglise de France, 400.- Arnauld persécuté par la Sorbonne, et suspect de calvinisme, 401, 402. Formulaire imposé aux filles de Port-Royal, 402. - Le miracle de Mlle Perrier, 403. Les Jésuites font aussi leurs miracles, 404. Lettres Provinciales chef-d'œuvre, 404. Ce chef-d'œuvre brûlé, 405. Religieuses de Port-Royal enlevées, 405. Paix de Clément IX, 406. La société janséniste assemblées jansénistes, Port-Royal, 409. Mme de Longueville cabale et s'exile, 410. - Port-Royal démoli, 410. Quesnel, 412. Prisonnier et délivré, 413. Contrat des jansénistes avec la Bourignon, 413. Le père Quesnel et le pape, 414, 415. Le père Le Tellier, confesseur du roi, 415, 416. Mme de Maintenon, 416. Autorité royale employée par les jésuites, 417. - Bulle dressée par eux qui met tout en désordre, 417, 418. La Constitution, haine contre Le Tellier, 418, 419. 420, 421. Le système de Law fait oublier la Bulle, 422.

Convulsionnaires, 426.

IV. Du Quiétisme (p. 429 à 444.)

Causes de la querelle, 429. Mme Guyon, extravagante, 429.

directeur, 430. Mme Guyon enfermée à Vincennes, 431. - Fénelon et Mme Guyon, 432. 433. Fénelon persécuté pour cette affaire, 434. Le père La Chaise et Bossuet contre lui, 435. Les mystiques en cour de Rome, 435, 436. - Pape Innocent XII juge la dispute, 436. Louis XIV peu content des idées de Fénelon sur les gouvernements, 437, 438. Fénelon condamné, 438. Se soumet, 439. Sa retraite philosophique, il est détrompé des disputes et de la cour, 439, 440.- L'affaire du cardinal de Bouillon, 441, 442, 443. La vérité sur cette affaire, 444.