Essai sur la philosophie de Bossuet: avec des fragments inéditsLibrairie philosophique de Ladrange, 1852 - 284 pages |
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... tion , le mouvement et le repos ( 1 ) . » << Il est vrai que , par un certain accord entre toutes les parties qui composent l'homme , l'âme n'agit pas , c'est - à - dire ne pense pas et ne connaît pas sans le corps , ni la partie ...
... tion , le mouvement et le repos ( 1 ) . » << Il est vrai que , par un certain accord entre toutes les parties qui composent l'homme , l'âme n'agit pas , c'est - à - dire ne pense pas et ne connaît pas sans le corps , ni la partie ...
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... tion dans le sens cartésien , et bien qu'il n'aille point aux précisions , cette opinion compromettante ne manquera pas de porter ses conséquences dans la question de la liberté . << Quoiqu'il lui semble difficile et peut - être im ...
... tion dans le sens cartésien , et bien qu'il n'aille point aux précisions , cette opinion compromettante ne manquera pas de porter ses conséquences dans la question de la liberté . << Quoiqu'il lui semble difficile et peut - être im ...
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... tion ( 1 ) . » En un mot , « l'âme et le corps ne font en- semble qu'un tout naturel , et il y a entre les parties une parfaite et nécessaire communication ( 2 ) . Le corps , en effet , n'est pas un simple instrument ap- pliqué par le ...
... tion ( 1 ) . » En un mot , « l'âme et le corps ne font en- semble qu'un tout naturel , et il y a entre les parties une parfaite et nécessaire communication ( 2 ) . Le corps , en effet , n'est pas un simple instrument ap- pliqué par le ...
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... tion ( 2 ) . » La psychologie se change donc en physiologie , qui n'est elle - même qu'une partie de la mécani- que ( 3 ) . C'est pourquoi un critique éminent a dit avec raison , en parlant de Descartes , « qu'on ne sait si ce ...
... tion ( 2 ) . » La psychologie se change donc en physiologie , qui n'est elle - même qu'une partie de la mécani- que ( 3 ) . C'est pourquoi un critique éminent a dit avec raison , en parlant de Descartes , « qu'on ne sait si ce ...
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... tion inquiète et vague au plaisir des sens , qui ne tend à rien et qui tend à tout ( 3 ) .. Quoiqu'on ôte à cet amour le grossier et l'illicite , il en est inséparable , et de quelque manière que les Libertins le tournent et le dorent ...
... tion inquiète et vague au plaisir des sens , qui ne tend à rien et qui tend à tout ( 3 ) .. Quoiqu'on ôte à cet amour le grossier et l'illicite , il en est inséparable , et de quelque manière que les Libertins le tournent et le dorent ...
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Common terms and phrases
actes action âme amour animaux Aristote bonheur cartésienne cause efficiente cause finale chap cœur connaissance connaître conséquent contraire corps créatures Descartes désirs dessein Diogène Laërce distinction divine doctrine effet entendre esprit éternelle faux mystiques Fénelon fond genres de causes heureux hommes ibid idées Idem infini Innocent XI intelli intelligence jamais jugement l'âme l'amour l'esprit l'être l'homme l'idée l'infini l'optimisme Leibniz liberté Libertins libre arbitre lui-même Malebranche Meaux ment métaphysique monde morale moribus ad Nicomachum moteur universel mouvements mysti mysticisme n'y a rien nature nous-mêmes objet parfait parfaite Pascal passions passiveté pensée perfection Philosophie de Bossuet plaisir Platon premier principes propre Providence puissance qu'une Quiétisme raison Réfutation du système règle sagesse saint saint Augustin sait sensations sentiment serait seul sorte souveraine Spinoza substance suet Théodicée théorie théorie des idées tion Traité des causes trouve vérité veut voit volonté vrai XVII XXII xxvi xxvii καὶ
Popular passages
Page 174 - Veut-il faire des conquérants , il fait marcher l'épouvante devant eux , et il inspire à eux et à leurs soldats une hardiesse invincible. Veut-il faire des législateurs? il leur envoie son esprit de sagesse et de prévoyance ; il leur fait prévenir les maux qui menacent les États, et poser les fondements de la tranquillité publique.
Page 232 - ... philosophie cartésienne. Je vois naître de son sein et de ses principes, à mon avis mal entendus, plus d'une hérésie; et je prévois que les conséquences qu'on en tire contre les dogmes que nos pères ont tenus, la vont rendre odieuse, et feront perdre à l'Église tout le fruit qu'elle en pouvait espérer, pour établir dans l'esprit des philosophes la divinité et l'immortalité de l'âme.
Page 230 - Qui ne fait ainsi n'entend pas la force de la raison. Il y en a qui faillent contre ces trois principes, ou en assurant tout comme démonstratif, manque de se connaître en démonstration ; ou en doutant de tout, manque de savoir où il faut se soumettre; ou en se soumettant en tout , manque de savoir où il faut juger.
Page 175 - ... principes constitutifs de notre être. Là donc nous voyons, avec toutes les autres vérités, les règles invariables de nos mœurs; et nous voyons qu'il ya des choses d'un devoir indispensable, et que dans celles qui sont naturellement indifférentes le vrai devoir est de s'accommoder au plus grand bien de la société humaine.
Page 180 - Mais qu'ont-ils vu ces rares génies, qu'ont-ils vu plus que les autres ? Quelle ignorance est la leur ! et qu'il serait aisé de les confondre, si, faibles et présomptueux, ils ne craignaient d'être instruits ! Car pensent-ils avoir mieux vu les difficultés à cause qu'ils y succombent, et que les autres, qui les ont vues, les ont méprisées?
Page 16 - C'est pourquoi la première règle de notre logique , c'est qu'il ne faut jamais abandonner les vérités une fois connues , quelque difficulté qui survienne , quand on veut les concilier ; mais qu'il faut au contraire , pour ainsi parler, tenir toujours fortement comme les deux bouts de la chaîne, quoiqu'on ne voie pas toujours le milieu par où l'enchaînement se continue.
Page 151 - De plus , il me vient encore en l'esprit qu'on ne doit pas considérer une seule créature séparément , lorsqu'on recherche si les ouvrages de Dieu sont parfaits, mais généralement toutes les créatures ensemble...
Page 171 - Que je méprise ces philosophes qui, mesurant les conseils de Dieu à leurs pensées, ne le font auteur que d'un certain ordre général d'où le reste se développe comme il peut ! Comme s'il avait à notre manière des vues générales et confuses, et comme si la souveraine Intelligence pouvait ne pas comprendre dans ses desseins les choses particulières qui seules subsistent véritablement.
Page 158 - Je réponds que ce qui se peut dire d'une créature ou d'une substance particulière, qui peut toujours être surpassée par une autre, ne doit pas être appliqué à l'univers, lequel se devant étendre par toute l'éternité future, est un infini*.
Page 186 - II ya un état habituel d'amour de Dieu , qui est une charité pure et sans aucun mélange du motif de l'intérêt propre... Ni la crainte des châtiments , ni le désir des récompenses n'ont plus de part à cet amour.