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que dans le ciel, est si pleine de satisfactions, qu'elle en remplit et l'entrée, et le progrès, et le couronnement. C'est une lumière si éclatante, qu'elle rejaillit sur tout ce qui lui appartient. S'il y a quelque tristesse mêlée, et sur-tout à l'entrée, c'est de nous qu'elle vient, et non pas de la vertu ; car ce n'est pas l'effet de la piété qui commence d'être en nous, mais de l'impiété qui y est encore. Otons l'impiété, et la joie sera sans mélange. Ne nous en prenons donc pas à la dévotion, mais à nousmêmes, et n'y cherchons du soulagement que par notre correction.

trer des marques qu'ils sont dans le véritable | La véritable piété, qui ne se trouve parfaite chemin. Mais ces peines-là ne sont pas sans plaisirs, et ne sont jamais surmontées que par le plaisir. Car de même que ceux qui quittent Dieu pour retourner au monde ne le font que parcequ'ils trouvent plus de douceurs dans les plaisirs de la terre que dans ceux de l'union avec Dieu, et que ce charme victorieux les entraîne, et, les faisant repentir de leur premier choix, les rend des pénitents du diable, selon la parole de Tertullien: de même on ne quitteroit jamais les plaisirs du monde pour embrasser la croix de Jésus-Christ, si on ne trouvoit plus de douceur dans le mépris, dans la pauvreté, dans le dénuement et dans le rebut des hommes, que dans les délices du péché. Et ainsi, comme dit Tertullien, il ne faut pas croire que la vie des Chrétiens soit une vie de tristesse. On ne quitte les plaisirs que pour d'autres plus grands. Priez toujours, dit saint Paul, rendez graces toujours, réjouissez-vous toujours. (I Thess., 5, 16, 17, 18.) C'est la joie d'avoir trouvé Dieu, qui est le principe de

du

la tristesse de l'avoir offensé, et de tout le changement de vie. Celui qui a trouvé un trésor dans un champ en a une telle joie, selon JésusChrist, qu'elle lui fait vendre tout ce qu'il a pour l'acheter. (MATTH., 13, 44.) Les gens monde ont leur tristesse; mais ils n'ont point cette joie que le monde ne peut donner, ni ôter, dit Jésus-Christ même. (JOAN., 14, 27 et 16, 22.) Les bienheureux ont cette joie sans aucune tristesse ; et les Chrétiens ont cette joie mêlée de la tristesse d'avoir suivi d'autres plaisirs, et de la crainte de la perdre par l'attrait de ces autres plaisirs qui nous tentent sans relâche. Ainsi nous devons travailler sans cesse à nous conserver cette crainte, qui conserve et modère notre joie; et, selon qu'on se sent trop emporter vers l'un, se pencher vers l'autre pour demeurer debout. Souvenez-vous des biens dans les jours d'affliction, et souvenezvous de l'affliction dans les jours de réjouissance, dit l'Écriture (Eccl., 11, 27.), jusqu'à ce que la promesse que Jésus-Christ nous a faite de rendre sa joie pleine en nous, soit accomplie. Ne nous laissons donc pas abattre à la tristesse, et ne croyons pas que la piété ne consiste qu'en une amertume sans consolation.

XXIX.

Le passé ne doit point nous embarrasser, fautes; mais l'avenir doit encore moins nous puisque nous n'avons qu'à avoir regret de nos toucher, puisqu'il n'est point du tout à notre égard, et que nous n'y arriverons peut-être jamais. Le présent est le seul temps qui est

véritablement à nous, et dont nous devons user selon Dieu. C'est là où nos pensées doivent monde est si inquiet, qu'on ne pense presque être principalement rapportées. Cependant le jamais à la vie présente et à l'instant où l'on est toujours en état de vivre à l'avenir, et vit, mais à celui où l'on vivra. De sorte qu'on jamais de vivre maintenant. Notre Seigneur n'a loin que le jour où nous sommes. Ce sont les pas voulu que notre prévoyance s'étendit plus bornes qu'il nous fait garder, et pour notre salut, et pour notre propre repos.

XXX.

On se corrige quelquefois mieux par la vue du mal que par l'exemple du bien ; et il est bon de s'accoutumer à profiter du mal, puisqu'il est si ordinaire, au lieu que le bien est si rare.

XXXI.

Dans le treizième chapitre de saint Marc, Jésus-Christ fait un grand discours à ses apôtres sur son dernier avènement : et comme tout ce qui arrive à l'Église arrive aussi à chaque chrétien en particulier, il est certain que tout ce chapitre prédit aussi bien l'état de

chaque personne qui, en se convertissant, | rien. Ses sentiments sur l'homicide volontaire et sur la mort sont horribles. Il inspire une nonchalance du salut, sans crainte et sans repentir. Son livre n'étant point fait pour porter à la piété, il n'y étoit pas obligé mais on est toujours obligé de ne pas en détourner. Quoi qu'on puisse dire pour excuser ses sentiments trop libres sur plusieurs choses, on ne sauroit excuser en aucune sorte ses sentiments tout païens sur la mort; car il faut renoncer à toute piété, si on ne veut au moins mourir chrétiennement: or, il ne pense qu'à mourir lâchement et mollement par tout son livre.

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détruit le vieil homme en elle, que l'état de l'univers entier qui sera détruit pour faire place à de nouveaux cieux et à une nouvelle terre, comme dit l'Écriture. (II PIER., 5, 15.) La prédiction qui y est contenue de la ruine du temple réprouvé, qui figure la ruine de l'homme réprouvé qui est en chacun de nous, et dont il est dit qu'il ne sera laissé pierre sur pierre, marque qu'il ne doit être laissé aucune passion du vieil homme; et ces effroyables guerres civiles et domestiques représentent si bien le trouble intérieur que sentent ceux qui se donnent à Dieu, qu'il n'y a rien de mieux peint, etc.

XXXII.

XXXV.

Ce qui nous trompe, en comparant ce qui voit maintenant, c'est qu'ordinairement on res'est passé autrefois dans l'Église à ce qui s'y garde saint Athanase, sainte Thérèse et les autres saints, comme couronnés de gloire. Présen

Le Saint-Esprit repose invisiblement dans les reliques de ceux qui sont morts dans la grace de Dieu, jusqu'à ce qu'il y paroisse visiblement dans la résurrection; et c'est ce qui rend les reliques des saints si dignes de vénération. Cartement que le temps a éclairci les choses, cela

paroît véritablement ainsi. Mais au temps que l'on persécutoit ce grand saint, c'étoit un homme qui s'appeloit Athanase; et sainte Thérèse, dans Élie étoit un homme comme nous, et sujet aux le sien, étoit une religieuse comme les autres. mêmes passions que nous, dit l'apôtre saint Jac

Dieu n'abandonne jamais les siens, non pas même dans le sépulcre, où leurs corps, quoique morts aux yeux des hommes, sont plus vivants devant Dien, à cause que le péché n'y est plus: au lieu qu'il y réside toujours durant cette vie, au moins quant à sa racine: car les fruits du péché n'y sont pas toujours; et cette malheu-ques (JACQ., 5, 17), pour désabuser les Chrétiens reuse racine, qui en est inséparable pendant la de cette fausse idée qui nous fait rejeter l'exemvie, fait qu'il n'est pas permis de les honorer ple des saints, comme disproportionné à notre état : c'étoient des saints, disons-nous, ce n'est alors, puisqu'ils sont plutôt dignes d'être haïs. C'est pour cela que la mort est nécessaire pas comme nous. pour mortifier entièrement cette malheureuse racine; et c'est ce qui la rend souhaitable.

XXXIII.

Les élus ignoreront leurs vertus, et les réprouvés leurs crimes. Seigneur, diront les uns et les autres, quand vous avons-nous vu avoir faim? etc. (MATTH., 25, 57, 44.)

Jésus-Christ n'a point voulu du témoignage des démons, ni de ceux qui n'avoient pas vocation; mais de Dieu et de Jean-Baptiste.

XXXIV.

Les défauts de Montaigne sont grands. Il est plein de mots sales et déshonnêtes. Cela ne vaut

XXXVI.

A ceux qui ont de la répugnance pour la religion, il faut commencer par leur montrer qu'elle n'est point contraire à la raison; ensuite, qu'elle est vénérable, et en donner du respect; après, la rendre aimable, et faire souhaiter qu'elle fût vraie; et puis, montrer par les preuves incontestables qu'elle est vraie; faire voir son antiquité et sa sainteté par sa grandeur et par son élévation, et enfin qu'elle est aimable, parcequ'elle promet le vrai bien.

Un mot de David, ou de Moïse, comme celui-ci, Dieu circoncira les cours (Deut., 50, 6), fait juger de leur esprit. Que tous les autres discours soient équivoques, et qu'il soit inver

tain s'ils sont de philosophes ou de chrétiens, un mot de cette nature détermine tout le reste. Jusque-là l'ambiguité dure, mais non pas après. De se tromper en croyant vraie la religion chrétienne, il n'y a pas grand'chose à perdre. Mais quel malheur de se tromper en la croyant

fausse!

XXXVII.

Les conditions les plus aisées à vivre selon le monde sont les plus difficiles à vivre selon Dieu: et, au contraire, rien n'est si difficile selon le monde que la vie religieuse; rien n'est plus facile que de la passer selon Dieu : rien n'est plus aisé que d'être dans une grande charge et dans de grands biens selon le monde ; rien n'est plus difficile que d'y vivre selon Dieu, et sans y prendre de part et de goût.

XXXVIII.

L'ancien Testament contenoit les figures de la joie future, et le nouveau contient les moyens d'y arriver. Les figures étoient de joie, les moyens sont de pénitence; et néanmoins l'agneau pascal étoit mangé avec des laitues sauvages, cum amaritudinibus (Exod., 12, 8, ex Hebr.), pour marquer toujours qu'on ne pouvoit trouver la joie que par l'amertume.

XXXIX.

l'orage, lorsqu'on est assuré qu'il ne périra point. Les persécutions qui travaillent l'Église sont de cette nature.

L'histoire de l'Église doit être proprement appelée l'histoire de la vérité.

XLII.

Comme les deux sources de nos péchés sont l'orgueil et la paresse, Dieu nous a découvert en lui deux qualités pour les guérir: sa miséricorde et sa justice. Le propre de la justice est d'abattre l'orgueil; et le propre de la miséricorde est de combattre la paresse en invitant aux bonnes œuvres, selon ce passage: La miséricorde de Dieu invite à la pénitence (Rom., 2, 4); et cet autre des Ninivites: Faisons pénitence pour voir s'il n'auroit point pitié de nous. (JON., 3, 9.) Ainsi, tant s'en faut que la miséricorde de Dieu autorise le relâchement, qu'il n'y a rien, au contraire, qui le combatte davantage; et qu'au lieu de dire: S'il n'y avoit point en Dieu de miséricorde, il faudroit faire toutes sortes d'efforts pour accomplir ses préceptes; il faut dire, au contraire, que c'est parcequ'il y a en Dieu de la miséricorde, qu'il faut faire tout ce qu'on peut pour les accomplir.

XLIII.

Tout ce qui est au monde est concupiscence Le mot de Galilée, prononcé comme par ha- de la chair, ou concupiscence des yeux, ou orsard par la foule des Juifs, en accusant Jésus-gueil de la vie (I JOAN., 2, 16), libido sentiendi, Christ devant Pilate (Luc, 25, 5), donna sujet libido sciendi, libido dominandi. Malheureuse la à Pilate d'envoyer Jésus-Christ à Hérode, en terre de malédiction que ces trois fleuves de feu quoi fut accompli le mystère, qu'il devoit être embrasent plutôt qu'ils n'arrosent! Heureux jugé par les Juifs et les Gentils. Le hasard en ceux qui, étant sur ces fleuves, non pas plonapparence fut la cause de l'accomplissement du gés, non pas entraînés, mais immobilement affermis; non pas debout, mais assis dans une mystère. assiette basse et sûre, dont ils ne se relèvent jamais avant la lumière, mais, après s'y être reposés en paix, tendent la main à celui qui doit les relever, pour les faire tenir debout et fermies dans les porches de la sainte Jérusalem, où ils n'auront plus à craindre les attaques de l'orgueil; et qui pleurent cependant, non pas de voir écouler toutes les choses périssables, mais dans le souvenir de leur chère patrie, de la Jérusalem céleste, après laquelle ils soupirent sans

XL.

Un homme me disoit un jour qu'il avoit grande joie et confiance en sortant de confession; un autre me disoit qu'il étoit en crainte. Je pensai sur cela que de ces deux on en feroit un bon, et que chacun manquoit en ce qu'il n'avoit pas le sentiment de l'autre.

XLI.

Il y a plaisir d'être dans un vaisseau battu de cesse dans la longueur de leur exil!

XLIV.

Un miracle, dit-on, affermiroit ma croyance. On parle ainsi quand on ne le voit pas. Les raisons qui, étant vues de loin, semblent borner notre vue, ne la bornent plus quand on y est arrivé. On commence à voir au-delà. Rien n'ar

rête la volubilité de notre esprit. Il n'y a point, dit-on, de règle qui n'ait quelque exception, ni de vérité si générale qui n'ait quelque face par où elle manque. Il suffit qu'elle ne soit pas absolument universelle pour nous donner prétexte d'appliquer l'exception au sujet présent, et de dire: Cela n'est pas toujours vrai; donc il y a des cas où cela n'est pas. Il ne reste plus qu'à montrer que celui-ci en est ; et il faut être bien maladroit, si on n'y trouve quelque jour.

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La propre volonté ne se satisferoit jamais quand elle auroit tout ce qu'elle souhaite; mais on est satisfait dès l'instant qu'on y renonce. Avec elle, on ne peut être que malcontent; sans elle, on ne peut être que content.

La vraie et unique vertu est de se haïr, car on est haïssable par sa concupiscence; et de chercher un être véritablement aimable, pour l'aimer. Mais comme nous ne pouvons aimer ce qui est hors de nous, il faut aimer un être qui soit en nous, et qui ne soit pas nous. Or, il n'y a que l'Être universel qui soit tel. Le royaume de Dieu est en nous (Luc, 17, 21); le bien universel est en nous, et n'est pas nous.

Il est injuste qu'on s'attache à nous, quoiqu'on le fasse avec plaisir et volontairement. Nous tromperons ceux à qui nous en ferons naître le desir; car nous ne sommes la fin de personne, et nous n'avons pas de quoi les satisfaire. Ne sommes-nous pas prêts à mourir 1? Et ainsi l'objet de leur attachement mourroit. Comme nous serions coupables de faire croire une fausseté, quoique nous la persuadassions doucement, et qu'on la crût avec plaisir, et qu'en cela on nous fit plaisir : de même nous sommes coupables, si nous nous faisons aimer, et si nous attirons les gens à s'attacher à nous. Nous devons avertir ceux qui seroient prêts à consentir au mensonge qu'ils ne doivent pas le croire, quelque avantage qui nous en revînt. De même nous devons les avertir qu'ils ne doivent pas s'attacher à nous; car il faut qu'ils passent leur vie à plaire à Dieu, ou à le chercher.

Tout en suivant scrupuleusement le texte, je crois devoir

relever cette faute d'expression. Fréts à mourir signifie préparés, disposés à la mort. La pensée même de l'auteur indique

que ce n'est pas là ce qu'il a voulu dire. Il faudroit donc lire ici: Ne sommes-nous pas près de mourir? Ce qui signifie, en

d'autres termes : Notre vie est si courte, et sujette à tant d'accidents, que nous ne pouvons jamais regarder la mort comme fort éloignée. (Note de l'édit. de 1822.)

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Toutes les religions et toutes les sectes du monde ont eu la raison naturelle pour guide. Les seuls Chrétiens ont été astreints à prendre leurs règles hors d'eux-mêmes, et à s'informer de celles que Jésus-Christ a laissées aux anciens pour nous être transmises. Il y a des gens que cette contrainte lasse. Ils veulent avoir, comme les autres peuples, la liberté de suivre leurs imaginations. C'est en vain que nous leur crions, comme les prophètes faisoient autrefois aux Juifs Allez au milieu de l'Eglise; informezvous des lois que les anciens lui ont laissées, et suivez ses sentiers. Ils répondent comme les Juifs: Nous n'y marcherons pas : nous voulons suivre les pensées de notre cœur, et être comme les autres peuples.

:

LII.

Il y a trois moyens de croire : la raison, la coutume et l'inspiration. La religion chrétienne, qui seule a la raison, n'admet pas pour ses vrais enfants ceux qui croient sans inspiration : ce n'est pas qu'elle exclue la raison et la coutume; au contraire, il faut ouvrir son esprit aux preuves par la raison, et s'y conformer par la coutume; mais elle veut qu'on s'offre par l'humiliation aux inspirations, qui seules peuvent faire le vrai et salutaire effet: Ut non evacuetur crux Christi. (I Cor., 1, 17.)

LIII.

Jamais on ne fait le mal si pleinement et si gaiement que quand on le fait par un faux principe de conscience.

LIV.

dans la foiblesse et dans l'agonie, affronter un Dieu tout-puissant et éternel?

LVI.

Je crois volontiers les histoires dont les témoins se font égorger.

LVII.

La bonne crainte vient de la foi; la fausse crainte vient du doute. La bonne crainte porte à l'espérance, parcequ'elle naît de la foi, et qu'on espère au Dieu que l'on croit : la mauvaise porte au désespoir, parcequ'on craint le Dieu auquel on n'a point de foi. Les uns craignent de le perdre, et les autres de le trouver.

LVIII.

Salomon et Job ont le mieux connu la misère de l'homme, et en ont le mieux parlé : l'un le plus heureux des hommes, et l'autre le plus malheureux ; l'un connoissant la vanité des plaisirs par expérience, l'autre la réalité des maux.

LIX.

Les païens disoient du mal d'Israël, et le prophète aussi : et tant s'en faut que les Israélites eussent droit de lui dire : Vous parlez comme les païens; qu'il fait sa plus grande force sur ce que les païens parlent comme lui. (ÉZÉCHIEL. )

LX.

Dieu n'entend pas que nous soumettions notre croyance à lui sans raison, ni nous assujettir avec tyrannie. Mais il ne prétend pas aussi nous rendre raison de toutes choses; et pour accorder ces contrariétés, il entend nous faire voir clai

vainquent de ce qu'il est, et s'attirer autorité prin-rement des marques divines en lui, qui nous conpar des merveilles et des preuves que nous ne puissions refuser; et qu'ensuite nous croyions

Les Juifs, qui ont été appelés à dompter les sans hésiter les choses qu'il nous enseigne quand

nations et les rois, ont été esclaves du péché; et les Chrétiens, dont la vocation a été à servir et à être sujets, sont les enfants libres.

LV.

Est-ce courage à un homme mourant d'aller,

nous n'y trouverons d'autre raison de les refusinon que nous ne pouvons par nous-mêmes connoître si elles sont ou non.

ser,

LXI.

Il n'y a que trois sortes de personnes : les uns

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