La littérature française par les critiques contemporains: Du règne de Louis XIV à 1830Belin frères, 1915 - French literature |
From inside the book
Results 1-5 of 77
Page 10
... admiration aveugle , la jus- tesse du goût qui sait choisir dans les productions antiques les éléments compatibles avec l'esprit moderne ; ils ont surtout le mens divinior dont parle Horace , le génie créateur qui donne une âme ...
... admiration aveugle , la jus- tesse du goût qui sait choisir dans les productions antiques les éléments compatibles avec l'esprit moderne ; ils ont surtout le mens divinior dont parle Horace , le génie créateur qui donne une âme ...
Page 17
... admiration universelle des lettres pour Louis XIV n'est pas une conspiration de flatterie , mais l'impression forte que de grands écrivains recevaient des qualités du roi et de la grandeur de la France , depuis que sous ce roi , comme ...
... admiration universelle des lettres pour Louis XIV n'est pas une conspiration de flatterie , mais l'impression forte que de grands écrivains recevaient des qualités du roi et de la grandeur de la France , depuis que sous ce roi , comme ...
Page 17
... admiration universelle des lettres pour Louis XIV n'est pas une conspiration de flatterie , mais l'impression forte que de grands écrivains recevaient des qualités du roi et de la grandeur de la France , depuis que sous ce roi , comme ...
... admiration universelle des lettres pour Louis XIV n'est pas une conspiration de flatterie , mais l'impression forte que de grands écrivains recevaient des qualités du roi et de la grandeur de la France , depuis que sous ce roi , comme ...
Page 21
... admiration pour Boileau a toujours été , dans notre pays , une sage coutume plutôt qu'un entraînement , et comment l'opposition qu'on lui a faite a toujours été moins POURQUOI BOILEAU EST SI ATTAQUÉ ET SI POPULAIRE 21.
... admiration pour Boileau a toujours été , dans notre pays , une sage coutume plutôt qu'un entraînement , et comment l'opposition qu'on lui a faite a toujours été moins POURQUOI BOILEAU EST SI ATTAQUÉ ET SI POPULAIRE 21.
Page 24
... admiration passionnée pour Arnauld , et par quelques autres de ses relations , par les luttes qu'il soutint dans ses dernières années contre les jésuites , il se rattache de plus en plus à Port - Royal et aux jansénistes . Pour Racine ...
... admiration passionnée pour Arnauld , et par quelques autres de ses relations , par les luttes qu'il soutint dans ses dernières années contre les jésuites , il se rattache de plus en plus à Port - Royal et aux jansénistes . Pour Racine ...
Contents
1 | |
3 | |
22 | |
64 | |
92 | |
107 | |
130 | |
169 | |
350 | |
366 | |
371 | |
372 | |
378 | |
387 | |
466 | |
473 | |
185 | |
241 | |
279 | |
291 | |
294 | |
297 | |
302 | |
312 | |
318 | |
322 | |
324 | |
329 | |
336 | |
348 | |
479 | |
485 | |
487 | |
507 | |
513 | |
520 | |
529 | |
536 | |
541 | |
553 | |
557 | |
567 | |
574 | |
636 | |
Other editions - View all
Common terms and phrases
admirable aime Alceste âme Andromaque Astyanax Athalie beau beauté Boileau Bossuet Bourdaloue Britannicus Bruyère Buffon Burrhus caractère charme chose chrétienne cœur comédie contemporains Corneille critique défauts Dieu dire discours donner dramatique drame écrit écrivains esprit Euripide fable femmes Fénelon fille fils Fontaine génie gloire goût Grecs Hécube Homère homme humaine idées jamais jugement l'Académie l'âme l'amour l'Andromaque l'antiquité l'art l'esprit l'histoire l'homme Lamartine langue lettres littéraire Littérature française livre Louis XIV lui-même lyrique Ménélas ment mieux Mme de Maintenon moderne mœurs Molière Molossus monde Montesquieu morale Narcisse nature naturel Néron Nisard ouvrage parler passim passion pensée personnages philosophie plaisir poésie poète poétique premier prose Pyrrhus qu'un Racine raison religion reste ridicule rien romantisme Rousseau Saint-Marc Girardin Saint-Simon Sainte-Beuve satire scène semble sentiment seulement société sorte style sujet surtout Taine talent Tartufe Télémaque théâtre tion tragédie traits trouve vérité vertu veut Victor Hugo voilà Voltaire vrai XVIIe siècle yeux