Histoire de la Restauration, Volume 4 |
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abdication armée avaient bataillons Benjamin Constant Blacas Blücher Bonaparte boulets Bourbons Bourmont Bruxelles Bulow c'était camp canon Carnot Caulaincourt cause cavalerie cent Chambre des pairs Chambre des représentants champ de bataille Charleroi chef cheval cœur colonnes combat commandement comte d'Artois conseil corps couvrir croyait d'armée d'Autichamp d'Erlon d'Hougoumont défaite dit-il division ennemis Fayette Fleurus forces forêt de Soignes Fouché frère Gand garde gauche général Gérard gloire gouvernement Grouchy guerre heures impériale jour l'armée anglaise l'Assemblée l'Élysée l'em l'empe l'empereur l'Empire l'ennemi l'Europe Labédoyère Lanjuinais liberté lieutenants Ligny Louis XVIII Lucien lui-même mée ment mille hommes ministres Mont-Saint-Jean mort murmures n'avait Napo Napoléon nation nuit officiers ordres patrie patriotisme pereur peuple Planchenoit plateau poléon prince Prussiens Quatre-Bras régiments républicains résolution reste reur Rochejaquelein route Saint-Jean-d'Angély sang Sapinaud sauver sentait seul soldats Suzannet Talleyrand tion Travot tribune trône troupes vaincu Vandamme Vendéens victoire voix Waterloo Wavres Wellington
Popular passages
Page 351 - L'intérêt que je porte à mon fils m'engage à inviter les chambres à organiser sans délai la régence par une loi. Unissez-vous tous pour le salut public et pour rester une nation indépendante.
Page 350 - J'étais fondé à en espérer le succès, et j'avais bravé toutes les déclarations des puissances contre moi. » Les circonstances paraissent changées; je m'offre en sacrifice à la haine des ennemis de la France. Puissent-ils être sincères dans leurs déclarations, et n'en avoir jamais voulu qu'à ma personne!
Page 91 - Français, dirigent aujourd'hui tous leurs coups contre ma personne. Si je ne voyais que c'est à la patrie qu'ils en veulent, je mettrais à leur merci cette existence contre laquelle ils se montrent si acharnés. Mais dites aussi aux citoyens, que tant que les Français me conserveront les sentimens d'amour dont ils me donnent tant de preuves, cette rage de nos ennemis sera impuissante.
Page 337 - Mais la vie d'un homme ne vaut pas ce prix. Je ne suis pas revenu de l'île d'Elbe pour que Paris fût inondé de sang.
Page 5 - France, je ne puis plus vous transmettre d'or;dre en son nom, et il ne me reste qu'à vous dégager de l'observation de tous les ordres que je vous avais transmis, et à vous recommander tout ce que votre excellent jugement et votre patriotisme si pur vous suggéreront de mieux pour les intérêts de la France, et de plus conforme à tous les devoirs que vous avez à remplir.
Page 131 - Alors, comme après Austerlitz, comme après Wagram, nous fûmes trop généreux! Nous crûmes aux protestations et aux serments des princes que nous laissâmes sur le trône ! Aujourd'hui , cependant , coalisés entre eux , ils en veulent à l'indépendance et aux droits les plus sacrés de la France. Ils ont commencé la plus injuste des agressions. Marchons donc à leur rencontre! Eux et nous, ne sommes-nous plus les mêmes hommes?
Page 90 - Je ne tardai pas à apprendre que les princes qui ont méconnu tous les principes, froissé l'opinion et les plus chers intérêts de tant de peuples veulent nous faire la guerre. Ils méditent d'accroître le royaume des Pays-Bas...
Page 91 - Soldats de la garde nationale de l'empire, soldats des troupes de terre et de mer, je vous confie l'aigle impériale aux couleurs nationales, vous jurez de la défendre au prix de votre sang contre les ennemis de la patrie et de ce trône ! Vous jurez qu'elle sera toujours votre signe de ralliaient ! vous le jurez.
Page 104 - N'imitons pas l'exemple du Bas-Empire, qui , pressé de tous côtés par les barbares , se rendit la risée de la postérité en s'occupant de discussions abstraites , au moment où le bélier brisait les portes de la ville.