L'Eglise officielle et le messianisme, Volume 1au comptoir des imprimeurs-unis, Comon et C.e, 1845 |
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âme ancienne appelle Assyriens avaient avons Bohêmes brahmanes Byron c'est-à-dire Cappadoces caste chefs cherche chose chrétien christianisme Cieszkowski COMTE côté création créer culte d'après Danube développement Dieu Divinité dogme doit drame écoles époque esprit existe existence Fichte force forme formules gouvernement Grecs Hanusch Hegel hegelienne héros hommes idée Indous jusqu'à présent Kant Kollar Krolikowski l'âme l'art l'avenir l'esprit l'Europe l'existence l'histoire l'homme l'humanité l'idée langue langue slave législation Lithuaniens littérature lord Byron losophie lutte maintenant manière ment monde morale mythologie grecque mythologie slave Napoléon nation nationalité Nork ouvrage PANCRACE parle parole passé pays slaves paysans pensée peuples slaves philo philosophie philosophie allemande poëme poésie poëte poëte polonais poétique politique polonais polonaise prêtres propriété puissance Puszkin question race slave réellement regarde religieux religion reste révélation rien Romains Russie s'appelle savants Schelling Schlegel Scythes sentiment serait Serb seul siècle Sorab Syriens système terre communale tions tradition Trentowski trouve vérité
Popular passages
Page 361 - La propriété est le droit de jouir et de disposer des choses de la, manière la plus absolue, pourvu qu'on n'en fasse pas un usage prohibé par les lois ou par les règlements.
Page 479 - Cette doctrine pourra sembler paradoxale sans doute , et même ridicule , parce que l'opinion environnante en impose ; mais attendez que l'affinité naturelle de la religion et de la science les réunisse dans la tête d'un seul homme de génie : l'apparition de cet homme ne saurait être éloignée , et peut-être même existe-t-il déjà. Celui-là sera fameux, et mettra fin au...
Page 54 - ... amante, la Laure qu'il cherche partout, qu'il pleure et qu'il chante. Mais ce n'est ni un jeu ni une fiction poétique ; Kollar se dévoue sérieusement à cette idée ; il entreprend des voyages pour visiter les monuments ; il cherche à connaître les savants, les littérateurs, chez les Serbiens, chez les Slovaques, pour leur rappeler la patrie commune, pour ranimer le courage de ces populations opprimées par les Turcs, par les Hongrois, par les Allemands. C'est un ouvrage véritablement...
Page 479 - XVIIIe siècle qui dure toujours ; car les siècles intellectuels ne se règlent pas sur le calendrier comme les siècles proprement dits. Alors des opinions, qui nous paraissent aujourd'hui ou bizarres ou insensées , seront des axiomes dont il ne sera pas permis de douter ; et l'on parlera de notre stupidité actuelle comme nous parlons de la superstition du moyen âge.
Page 171 - ... de joie ou de terreur? et qui pourrait saisir le sens d'une parole aussi monstrueusement multiple ? Mais un homme .arrive , il monte sur une chaise, puis sur une table; il les domine tous ; il leur parle. Sa voix se traîne lente et stridente , et se découpe en mots clairs et faciles à retenir.
Page 189 - Je te connais aussi toi et ton monde; j'ai visité pendant la nuit ton camp; j'ai vu la danse des fous de cette foule dont les têtes te servent de marchepied. J'y ai reconnu tous les crimes du vieux monde, habillés à neuf, entonnant une chanson nouvelle...
Page 208 - La fin de ce drame est sublime , je ne connais rien de comparable. C'est que la vérité n'était ni dans le camp du Comte ni dans celui de Pancrace , elle était au-dessus d'eux ; elle apparaît pour les condamner. Pancrace , après avoir vaincu tout , se trouble, et il reconnaît enfin qu'il n'avait été qu'un instrument de destruction. C'est alors qu'il aperçoit sur un nuage un signe invisible à tout autre qu'à lui ; et , au moment où il le reconnaît , il tombe mort en prononçant cette...
Page 209 - Mais la vérité est que ce poëme n'est que le cri de désespoir d'un homme de génie qui reconnaît la grandeur, la difficulté des questions sociales , et qui malheureusement ne s'est pas élevé à cette hauteur d'où l'on pourrait en entrevoir la solution.
Page 497 - V, d'Espagne, si férocement calme aux autodafés, s'épouvante à l'idée de changer de chemise, et reste six mois au lit sans se laver et sans se couper les ongles, de peur d'être empoisonné par les ciseaux, ou par l'eau de la cuvette, ou par sa chemise, ou par ses souliers. Yvan...
Page 42 - ... le cœur de tes frères : nous sommes méticuleux, nous sommes astucieux, impudiques, méchants, ingrats; nous nous sentons le cœur de boue et l'âme pleine de pourriture. Toi, rempli de l'amour du prochain, tu peux nous donner des leçons sévères : nous promettons de t'écouter.