Études sur les principaux philosophes: rédigées confermément aux programmes officials du 31 mai 1902, à l'usage de la classe de philosophie et des candidats au baccalauréat |
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... être un impie , c'est par un scrupule religieux que Socrate se renferma dans l'étude des choses humaines , Tà dvopone , ne voulant pas empiéter sur les choses phy- siques , qui sont le secret des dieux , ἡ τῶν πάντων φύσις , τὰ ĉaquóvia ...
... être un impie , c'est par un scrupule religieux que Socrate se renferma dans l'étude des choses humaines , Tà dvopone , ne voulant pas empiéter sur les choses phy- siques , qui sont le secret des dieux , ἡ τῶν πάντων φύσις , τὰ ĉaquóvia ...
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... être esclave de personne ' . Parmi ses disciples , il y en eut un au moins qui ne le suivit pas en cela , c'était Aristippe de Cyrène , dont les doctrines pouvaient être compromettantes pour la mémoire de Socrate . Aussi Xénophon ...
... être esclave de personne ' . Parmi ses disciples , il y en eut un au moins qui ne le suivit pas en cela , c'était Aristippe de Cyrène , dont les doctrines pouvaient être compromettantes pour la mémoire de Socrate . Aussi Xénophon ...
Page 14
... être un impie et le corrupteur de la jeunesse . Xénophon rapporte cette double accusation avec un étonnement douloureux , où percent l'indignation et le sarcasme ; pour toute réponse , il rappelle au souvenir des Athéniens la piété de ...
... être un impie et le corrupteur de la jeunesse . Xénophon rapporte cette double accusation avec un étonnement douloureux , où percent l'indignation et le sarcasme ; pour toute réponse , il rappelle au souvenir des Athéniens la piété de ...
Page 17
... être devenue un mot technique que dans la langue d'Aristote . Celui - ci nous dit formellement : il y a deux choses ... être pieux , c'est être sage ou plutôt sensé au sujet des choses divines , c'est en avoir les sentiments qui ...
... être devenue un mot technique que dans la langue d'Aristote . Celui - ci nous dit formellement : il y a deux choses ... être pieux , c'est être sage ou plutôt sensé au sujet des choses divines , c'est en avoir les sentiments qui ...
Page 37
... être en général , qui est presque l'idée du non - être , tant elle reste vague et indéterminée . Or Platon suppose entre ses idées une hiérarchie qui se termine au sommet par l'idée du bien , ou celle qui possède le plus de perfec- tion ...
... être en général , qui est presque l'idée du non - être , tant elle reste vague et indéterminée . Or Platon suppose entre ses idées une hiérarchie qui se termine au sommet par l'idée du bien , ou celle qui possède le plus de perfec- tion ...
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Études sur les Principaux Philosophes: Rédigées Conformément aux Programmes ... Charles Adam No preview available - 2018 |
Common terms and phrases
actions âme animaux Aristippe Aristote Athènes Bacon bonheur Carnéade cause celle-ci choses Chrysippe Cicéron Condillac connaissance corps d'abord d'Aristote d'autres Deorum Descartes Dieu dieux Diog Diogène Laërce dire Disc dit-il divine doctrine doit doute effet enfin ensuite Épictète Épicure Épicuriens esprit géométrie hommes humaine idées jugement justice l'âme l'esprit l'homme l'idée Laerce Leibniz Locke lois Lucrèce lui-même Malebranche Manuel mathématiques matière maxime Mém ment métaphysique Méth méthode monde morale mouvement natura rerum naturelles nécessaire objet officiis ouvrages Panétius Pascal pensée perfection phénomènes philosophie physique plaisir Platon plutôt premier principe propre Protagoras quatre causes raison rapports Ravaisson règle reste rien sage science Sénèque sensations sentiment serait seulement Socrate sophistes sorte Spinoza Stoïciens stoïcisme surtout théorie tion trouve vérité vertu volonté vrai Xénophon Zénon ἀλλ γὰρ δὲ εἶναι ἐν καὶ μὲν μὴ οὐ οὐκ περὶ τὰ τε τὴν τὸ τοῖς τὸν τοῦ τῶν ὡς
Popular passages
Page 187 - Le premier était de ne recevoir jamais aucune chose pour vraie que je ne la connusse évidemment être telle; c'est-à-dire d'éviter soigneusement la précipitation et la prévention, et de ne comprendre rien de plus en mes jugements que ce qui se présenterait si clairement et si distinctement à mon esprit que je n'eusse aucune occasion de le mettre en doute.
Page 206 - Tous les corps, le firmament, les étoiles, la terre et ses royaumes, ne valent pas le moindre des esprits; car il connaît tout cela, et soi; et les corps, rien. Tous les corps ensemble, et tous les esprits ensemble, et toutes leurs productions, ne valent pas le moindre mouvement de charité; cela est d'un ordre infiniment plus élevé.
Page 415 - Celui qui ose entreprendre d'instituer un peuple doit se sentir en état de changer pour ainsi dire la nature humaine, de transformer chaque individu, qui par lui-même est un tout parfait et solitaire, en partie d'un plus grand tout dont cet individu reçoive en quelque sorte sa vie et son être...
Page 407 - Trouver une forme d'association qui défende et protège de toute la force commune la personne et les biens de chaque associé, et par laquelle chacun, s'unissant à tous, n'obéisse pourtant qu'à lui-même et reste aussi libre .qu'auparavant.
Page 209 - ... par laquelle, connaissant la force et les actions du feu, de l'eau, de l'air, des astres, des deux et de tous les autres corps qui nous environnent, aussi distinctement que nous connaissons les divers métiers de nos artisans, nous les pourrions employer en même façon à tous les usages auxquels ils sont propres, et ainsi nous rendre comme maîtres et possesseurs de la nature.
Page 437 - ... j'ai en quelque façon premièrement en moi la notion de l'infini que du fini, c'est-à-dire de Dieu que de moi-même ; car comment serait-il possible que je pusse connaître que je doute et que je désire, c'est-à-dire qu'il me manque quelque chose et que je ne suis pas tout parfait, si je n'avais en moi aucune idée d'un être plus parfait que le mien, par la comparaison duquel je connaîtrais les défauts de ma nature?
Page 415 - ... d'un plus grand tout dont cet individu reçoive en quelque sorte sa vie et son être; d'altérer la constitution de l'homme pour la renforcer; de substituer une existence partielle et morale à l'existence physique et indépendante que nous avons tous reçue de la nature.
Page 372 - Les lois, dans la signification la plus étendue, sont les rapports nécessaires qui dérivent de la nature des choses ; et, dans ce sens, tous les êtres ont leurs lois : la divinité a ses lois, le monde matériel a ses lois, les intelligences supérieures à l'homme ont leurs lois, les bêtes ont leurs lois, l'homme a ses lois.
Page 188 - Le second, de diviser chacune des difficultés que j'examinerais en autant de parcelles qu'il se pourrait et qu'il serait requis pour les mieux résoudre. Le troisième, de conduire par ordre mes pensées, en commençant par les objets les plus simples et les plus, aisés à connaître, pour monter peu à peu comme par degrés jusques à la connaissance des plus composés, et supposant même de l'ordre entre ceux qui ne se précèdent point naturellement les uns les autres.
Page 410 - On convient que tout ce que chacun aliène , par le pacte social, de sa puissance, de ses biens, de sa liberté, c'est seulement la partie de tout cela dont l'usage importe à la communauté; mais il faut convenir aussi que le souverain seul est juge de cette importance.