 | Antoine François Bertrand de Molleville - France - 1802 - 466 pages
...réflexions n'ont point pour objet de me justifier , mais de présenter les véritables dispositions de la cour de Vienne ; ai-je donné lieu par ma dernière note aux déclamations que l'on retrouve dans la réponse autrichienne , et qui nous remet au-dessous du point où nous étions au. mois de juillet... | |
 | Antoine François Bertrand de Molleville - France - 1802 - 468 pages
...réflexions n'ont point pour objet de me justifier , niais de présenter les véritables dispositions de la cour de Vienne ; ai-je donné lieu par ma dernière note aux déclamations que l'on retrouve dans la réponse autrichienne , et qui nous remet au-dessous du point où nous étions au mois de juillet dernier... | |
 | Antoine-François marquis de Bertrand de Moleville - France - 1813 - 382 pages
...réflexions n'ont point pour objet de me justifier , mais de présenter les véritables dispositions de la cour de Vienne ; ai-je donné lieu par ma dernière note aux déclamations que l'on retrouve dan^Ha réponse autrichienne , et qui nous remet au-dessous du point où nous étions au mois de juillet... | |
 | France - 1842 - 804 pages
...n'ont point pour objet de me justifier, ma» de présenter les véritables dis|K>silions] de la cuur de Vienne; ai-je donné lieu par ma dernière note aux déclamations que l'on retrouve dans la réponse autrichienne, et qui nous remet au-dessous du point où nous «ions au mois de juillet dernier:1... | |
 | Philippe-Joseph-Benjamin Buchez - 1846 - 440 pages
...réflexions n'ont point pour objet de me justifier, mais de présenter les véritables dispositions de la cour de Vienne. Ai-je donné lieu par ma dernière note aux déclamations que l'on retrouve dans la réponse autrichienne, et qui nous remet au-dessous du point où nous étions au mois de juillet dernier?... | |
| |
... fait tout de suite éclater des sentimens qu'il avoit auparavant dissimulés. La lettre de M. de Lessart a été mise en lambeaux, et des passages isolés ont présenté le sens qu'on a voulu. Ces réflexions n'ont point pour objet de me justifier... 