Le Parnasse de la jeunesse ou Nouveau choix de poésies françaises, par l'éditeur du Manuel épistolaire à l'usage des demoiselles anglaises1816 |
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... homme , et surtout pour le sage : Trop souvent l'infortune est son triste partage ; Ta bienfaisante main vient essuyer ses pleurs . De ceux dont tu charmes les cœurs , Les plaisirs sont plus vifs , les peines s'affaiblissent , Et se ...
... homme , et surtout pour le sage : Trop souvent l'infortune est son triste partage ; Ta bienfaisante main vient essuyer ses pleurs . De ceux dont tu charmes les cœurs , Les plaisirs sont plus vifs , les peines s'affaiblissent , Et se ...
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... hommes généreux , C'es Grecs et ces Romains dont la mort volontaire A rendu les noms si fameux : Qu'ont - ils fait de si grand ? ils sortaient de la vie Lorsque , de disgrâces suivie , Elle n'avait plus rien d'agréable pour eux ; Par ...
... hommes généreux , C'es Grecs et ces Romains dont la mort volontaire A rendu les noms si fameux : Qu'ont - ils fait de si grand ? ils sortaient de la vie Lorsque , de disgrâces suivie , Elle n'avait plus rien d'agréable pour eux ; Par ...
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... homme est cet enfant : les dignités , les places , La noblesse , les biens , le luxe et la splendeur ; C'est la table du nain , ce sont autant d'échasses Qu'il prend pour sa propre grandeur . 1 ... Le vrai Héros ...... J . B. Rousseau ...
... homme est cet enfant : les dignités , les places , La noblesse , les biens , le luxe et la splendeur ; C'est la table du nain , ce sont autant d'échasses Qu'il prend pour sa propre grandeur . 1 ... Le vrai Héros ...... J . B. Rousseau ...
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... Homme , quel usage fais - tu ? Des plantes , des métaux , tu connais la vertu , Des différens pays les mœurs , la politique , La cause des frimats , de la foudre , du vent , Des astres le pouvoir suprême , P Et sur tant de choses savant ...
... Homme , quel usage fais - tu ? Des plantes , des métaux , tu connais la vertu , Des différens pays les mœurs , la politique , La cause des frimats , de la foudre , du vent , Des astres le pouvoir suprême , P Et sur tant de choses savant ...
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... Et de noblesse et d'élégance ! En riant du bossu nous faisons comme lui : A sa condnite en rien la nôtre ne déroge , Et l'homme chaque jour dans l'éloge d'autrui Sans y penser fait son éloge . LA ROSE ET LE BUISSON .... par le Bailly . 10.
... Et de noblesse et d'élégance ! En riant du bossu nous faisons comme lui : A sa condnite en rien la nôtre ne déroge , Et l'homme chaque jour dans l'éloge d'autrui Sans y penser fait son éloge . LA ROSE ET LE BUISSON .... par le Bailly . 10.
Common terms and phrases
affreux aime Aman amant âme amour Assuérus beau beauté bienfaits bonheur bras Bru.-Vous Brumton cache charmes cher Chrétiens ciel cieux Clarice cœur Constant Dubos Corasmin courage Cresfonte crime cruel Darmant destin Dieu dieux douleur doux Egiste enfans époux esclave esprit êtes Euriclès Fatime feux fille fils fleurs frère funeste gloire goût Hélas Héraclides héros heureux Hydaspe hymen infortuné Isménie j'ai jamais jeune jour l'art l'horreur larmes lieux lois long-temps Lusignan Madame main maître malheureux Mardochée maux Mér.-Ah mère Mérope Messène Monsieur mort mortel Narbas Nérestan Oros Orosmane palais parler pense père peuple pitié plaire plaisir pleurs Poëme poésie poëte Polifonte qu'un reine rien rime rois sais sang sang des héros Scènes secret Seigneur sentimens sérail seul Sir John sœur soins Solyme sort soudan Sudmer superbe tendre tendresse trahir tremble triste triste famille trône trouble tyran venger vertu veux vient vœux vois voix yeux Zaïre
Popular passages
Page 72 - La Mort a des rigueurs à nulle autre pareilles: On a beau la prier; La cruelle qu'elle est se bouche les oreilles, Et nous laisse crier. Le pauvre en sa cabane, où le chaume le couvre, Est sujet à ses lois; Et la garde qui veille aux barrières du Louvre N'en défend point nos rois.
Page 50 - Hâtez-vous lentement, et, sans perdre courage, Vingt fois sur le métier remettez votre ouvrage. Polissez-le sans cesse et le repolissez : Ajoutez quelquefois, et souvent effacez.
Page 49 - Surtout qu'en vos écrits la langue révérée Dans vos plus grands excès vous soit toujours sacrée. En vain vous me frappez d'un -son mélodieux Si le terme est impropre, ou le tour vicieux. Mon esprit n'admet point un pompeux barbarisme...
Page 27 - Encor si vous naissiez à l'abri du feuillage Dont je couvre le voisinage, Vous n'auriez pas tant à souffrir ; Je vous défendrais de l'orage : Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste.
Page 192 - C'est ma seule prison qui t'a ravi ta foi. Ma fille, tendre objet de mes dernières peines, Songe au moins, songe au sang qui coule dans tes veines ! C'est le sang de...
Page 27 - Le chêne un jour dit au roseau : « Vous avez bien sujet d'accuser la nature ; Un roitelet pour vous est un pesant fardeau ; Le moindre vent qui d'aventure Fait rider la face de l'eau. Vous oblige à baisser la tête ; Cependant que mon front, au Caucase pareil, Non content d'arrêter les rayons du soleil, Brave l'effort de la tempête.
Page 85 - Cependant mon amour pour notre nation A rempli ce palais de filles de Sion , Jeunes et tendres fleurs par le sort agitées, Sous un ciel étranger comme moi transplantées. Dans un lieu séparé de profanes témoins, Je mets à les former mon étude et mes soins ; Et c'est là que, fuyant l'orgueil du diadème, Lasse des vains honneurs et me cherchant moi-même, Aux pieds de l'Éternel je viens m'humilier, Et goûter le plaisir de me faire oublier.
Page 88 - Quoi ? Lorsque vous voyez périr votre patrie, pour quelque chose, Esther, vous comptez votre vie ! Dieu parle, et d'un mortel vous craignez le courroux ! Que dis-je ? Votre vie, Esther, est-elle à vous ? N'est-elle pas au sang dont vous êtes issue...
Page 30 - S'il ne m'en laisse assez pour avoir un cochon. Le porc à s'engraisser coûtera peu de son ; II était, quand je l'eus, de grosseur raisonnable : J'aurai, le revendant, de l'argent bel et bon. Et qui m'empêchera de mettre en notre étable, Vu le prix dont il est*, une vache et son veau, Que je verrai sauter au milieu du troupeau ? Perrette là-dessus saute aussi, transportée : Le lait tombe ; adieu veau, vache, cochon, couvée.
Page 33 - J'ai dévoré force moutons. Que m'avaient-ils fait ? nulle offense. Même il m'est arrivé quelquefois de manger Le berger. Je me dévoûrai donc, s'il le faut ; mais je pense Qu'il est bon que chacun s'accuse ainsi que moi, Car on doit souhaiter, selon toute justice, Que le plus coupable périsse.