Le Parnasse de la jeunesse ou Nouveau choix de poésies françaises, par l'éditeur du Manuel épistolaire à l'usage des demoiselles anglaises1816 |
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... fils , par un choix des Odes sacrées de J. B. Rousseau , par des Fragmens du Poëme de la Religion , et quelques scènes d'Esther , que notre langue est susceptible d'un arrangement de mots et d'une noblesse d'expressions propres à louer ...
... fils , par un choix des Odes sacrées de J. B. Rousseau , par des Fragmens du Poëme de la Religion , et quelques scènes d'Esther , que notre langue est susceptible d'un arrangement de mots et d'une noblesse d'expressions propres à louer ...
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... fils , en naissant , J 2 3 4 5 6 Reçut ample mesure , 1 2 3 4 Heureux enfant ! 1 2 3 5 Esprit et beauté 1 2 3 4 5 Grâce et dignité , ] 23 4 5 Ame simple et pure ; 1 2 3 4 Il est charmant ! De la Lecture des Vers français . Il ne s'agit ...
... fils , en naissant , J 2 3 4 5 6 Reçut ample mesure , 1 2 3 4 Heureux enfant ! 1 2 3 5 Esprit et beauté 1 2 3 4 5 Grâce et dignité , ] 23 4 5 Ame simple et pure ; 1 2 3 4 Il est charmant ! De la Lecture des Vers français . Il ne s'agit ...
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... fils de la nature ; Il faut dans ses atours de la simplicité : Ne lui donnez jamais de trop grande parure ; Quand on veut trop l'orner on cache sa beauté . .. Voltaire . e ....... Sur l'Emulation et l'Envie ..... Voltaire . De l ...
... fils de la nature ; Il faut dans ses atours de la simplicité : Ne lui donnez jamais de trop grande parure ; Quand on veut trop l'orner on cache sa beauté . .. Voltaire . e ....... Sur l'Emulation et l'Envie ..... Voltaire . De l ...
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... fils . Adorable vertu , que tes divins attraits Dans un cœur qui te perd laissent de longs regrets ! Sous tes nobles couleurs le vice se déguise , Pour consoler du moins l'âme qu'il a surprise . La richesse , il est vrai , la fortune te ...
... fils . Adorable vertu , que tes divins attraits Dans un cœur qui te perd laissent de longs regrets ! Sous tes nobles couleurs le vice se déguise , Pour consoler du moins l'âme qu'il a surprise . La richesse , il est vrai , la fortune te ...
Page 17
... fils , répondit - elle , Du sarigue c'est la femelle . Nulle mère pour ses enfans N'eut jamais plus d'amour , de soins plus vigilans . La nature a voulu seconder sa tendresse Et lui fit près de l'estomac Une poche profonde , une espèce ...
... fils , répondit - elle , Du sarigue c'est la femelle . Nulle mère pour ses enfans N'eut jamais plus d'amour , de soins plus vigilans . La nature a voulu seconder sa tendresse Et lui fit près de l'estomac Une poche profonde , une espèce ...
Common terms and phrases
affreux aime Aman amant âme amour Assuérus beau beauté bienfaits bonheur bras Bru.-Vous Brumton cache charmes cher Chrétiens ciel cieux Clarice cœur Constant Dubos Corasmin courage Cresfonte crime cruel Darmant destin Dieu dieux douleur doux Egiste enfans époux esclave esprit êtes Euriclès Fatime feux fille fils fleurs frère funeste gloire goût Hélas Héraclides héros heureux Hydaspe hymen infortuné Isménie j'ai jamais jeune jour l'art l'horreur larmes lieux lois long-temps Lusignan Madame main maître malheureux Mardochée maux Mér.-Ah mère Mérope Messène Monsieur mort mortel Narbas Nérestan Oros Orosmane palais parler pense père peuple pitié plaire plaisir pleurs Poëme poésie poëte Polifonte qu'un reine rien rime rois sais sang sang des héros Scènes secret Seigneur sentimens sérail seul Sir John sœur soins Solyme sort soudan Sudmer superbe tendre tendresse trahir tremble triste triste famille trône trouble tyran venger vertu veux vient vœux vois voix yeux Zaïre
Popular passages
Page 72 - La Mort a des rigueurs à nulle autre pareilles: On a beau la prier; La cruelle qu'elle est se bouche les oreilles, Et nous laisse crier. Le pauvre en sa cabane, où le chaume le couvre, Est sujet à ses lois; Et la garde qui veille aux barrières du Louvre N'en défend point nos rois.
Page 50 - Hâtez-vous lentement, et, sans perdre courage, Vingt fois sur le métier remettez votre ouvrage. Polissez-le sans cesse et le repolissez : Ajoutez quelquefois, et souvent effacez.
Page 49 - Surtout qu'en vos écrits la langue révérée Dans vos plus grands excès vous soit toujours sacrée. En vain vous me frappez d'un -son mélodieux Si le terme est impropre, ou le tour vicieux. Mon esprit n'admet point un pompeux barbarisme...
Page 27 - Encor si vous naissiez à l'abri du feuillage Dont je couvre le voisinage, Vous n'auriez pas tant à souffrir ; Je vous défendrais de l'orage : Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste.
Page 192 - C'est ma seule prison qui t'a ravi ta foi. Ma fille, tendre objet de mes dernières peines, Songe au moins, songe au sang qui coule dans tes veines ! C'est le sang de...
Page 27 - Le chêne un jour dit au roseau : « Vous avez bien sujet d'accuser la nature ; Un roitelet pour vous est un pesant fardeau ; Le moindre vent qui d'aventure Fait rider la face de l'eau. Vous oblige à baisser la tête ; Cependant que mon front, au Caucase pareil, Non content d'arrêter les rayons du soleil, Brave l'effort de la tempête.
Page 85 - Cependant mon amour pour notre nation A rempli ce palais de filles de Sion , Jeunes et tendres fleurs par le sort agitées, Sous un ciel étranger comme moi transplantées. Dans un lieu séparé de profanes témoins, Je mets à les former mon étude et mes soins ; Et c'est là que, fuyant l'orgueil du diadème, Lasse des vains honneurs et me cherchant moi-même, Aux pieds de l'Éternel je viens m'humilier, Et goûter le plaisir de me faire oublier.
Page 88 - Quoi ? Lorsque vous voyez périr votre patrie, pour quelque chose, Esther, vous comptez votre vie ! Dieu parle, et d'un mortel vous craignez le courroux ! Que dis-je ? Votre vie, Esther, est-elle à vous ? N'est-elle pas au sang dont vous êtes issue...
Page 30 - S'il ne m'en laisse assez pour avoir un cochon. Le porc à s'engraisser coûtera peu de son ; II était, quand je l'eus, de grosseur raisonnable : J'aurai, le revendant, de l'argent bel et bon. Et qui m'empêchera de mettre en notre étable, Vu le prix dont il est*, une vache et son veau, Que je verrai sauter au milieu du troupeau ? Perrette là-dessus saute aussi, transportée : Le lait tombe ; adieu veau, vache, cochon, couvée.
Page 33 - J'ai dévoré force moutons. Que m'avaient-ils fait ? nulle offense. Même il m'est arrivé quelquefois de manger Le berger. Je me dévoûrai donc, s'il le faut ; mais je pense Qu'il est bon que chacun s'accuse ainsi que moi, Car on doit souhaiter, selon toute justice, Que le plus coupable périsse.