Le Parnasse de la jeunesse ou Nouveau choix de poésies françaises, par l'éditeur du Manuel épistolaire à l'usage des demoiselles anglaises1816 |
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... beau des besoins , et le plus saint des nœuds , Le ciel te fit pour l'homme , et surtout pour le sage : Trop souvent l'infortune est son triste partage ; Ta bienfaisante main vient essuyer ses pleurs . De ceux dont tu charmes les cœurs ...
... beau des besoins , et le plus saint des nœuds , Le ciel te fit pour l'homme , et surtout pour le sage : Trop souvent l'infortune est son triste partage ; Ta bienfaisante main vient essuyer ses pleurs . De ceux dont tu charmes les cœurs ...
Page 11
... beau , mais il est sûr . Mais la rose n'en veut rien croire , Vivre ainsi c'est vieillir sans gloire . Un bucheron paraît : Accours , dit - elle , ami . Sois mon libérateur , fais tomber sous ta hache Ce vilain buisson qui me cache . Le ...
... beau , mais il est sûr . Mais la rose n'en veut rien croire , Vivre ainsi c'est vieillir sans gloire . Un bucheron paraît : Accours , dit - elle , ami . Sois mon libérateur , fais tomber sous ta hache Ce vilain buisson qui me cache . Le ...
Page 15
... beau s'écrier , se fâcher , Sur cet arrêt ; il faut qu'il recommence . Les connaisseurs assemblés de nouveau Sur la parfaite ressemblance , Condamnent encor tout l'ouvrage . On vous allonge le visage , On vous creuse la joue , on vous ...
... beau s'écrier , se fâcher , Sur cet arrêt ; il faut qu'il recommence . Les connaisseurs assemblés de nouveau Sur la parfaite ressemblance , Condamnent encor tout l'ouvrage . On vous allonge le visage , On vous creuse la joue , on vous ...
Page 21
... beau trésor : C'était un peu de poudre d'or . L'AVEUGLE ET LE PARALYTIQUE . Aidons - nous mutuellement ; La charge des malheurs en sera plus légère ; Le bien que l'on fait à son frère , Pour le mal que l'on souffre est un soulagement ...
... beau trésor : C'était un peu de poudre d'or . L'AVEUGLE ET LE PARALYTIQUE . Aidons - nous mutuellement ; La charge des malheurs en sera plus légère ; Le bien que l'on fait à son frère , Pour le mal que l'on souffre est un soulagement ...
Page 23
... beau parleur , Se croyait un très - grand docteur ; Et Monsieur Jean passait sa vie A lire l'almanach , à regarder le temps , Et la girouette et les vents . Bientôt donnant l'essor à son rare génie , Il voulut découvrir comment d'un ...
... beau parleur , Se croyait un très - grand docteur ; Et Monsieur Jean passait sa vie A lire l'almanach , à regarder le temps , Et la girouette et les vents . Bientôt donnant l'essor à son rare génie , Il voulut découvrir comment d'un ...
Common terms and phrases
affreux aime Aman amant âme amour Assuérus beau beauté bienfaits bonheur bras Bru.-Vous Brumton cache charmes cher Chrétiens ciel cieux Clarice cœur Constant Dubos Corasmin courage Cresfonte crime cruel Darmant destin Dieu dieux douleur doux Egiste enfans époux esclave esprit êtes Euriclès Fatime feux fille fils fleurs frère funeste gloire goût Hélas Héraclides héros heureux Hydaspe hymen infortuné Isménie j'ai jamais jeune jour l'art l'horreur larmes lieux lois long-temps Lusignan Madame main maître malheureux Mardochée maux Mér.-Ah mère Mérope Messène Monsieur mort mortel Narbas Nérestan Oros Orosmane palais parler pense père peuple pitié plaire plaisir pleurs Poëme poésie poëte Polifonte qu'un reine rien rime rois sais sang sang des héros Scènes secret Seigneur sentimens sérail seul Sir John sœur soins Solyme sort soudan Sudmer superbe tendre tendresse trahir tremble triste triste famille trône trouble tyran venger vertu veux vient vœux vois voix yeux Zaïre
Popular passages
Page 72 - La Mort a des rigueurs à nulle autre pareilles: On a beau la prier; La cruelle qu'elle est se bouche les oreilles, Et nous laisse crier. Le pauvre en sa cabane, où le chaume le couvre, Est sujet à ses lois; Et la garde qui veille aux barrières du Louvre N'en défend point nos rois.
Page 50 - Hâtez-vous lentement, et, sans perdre courage, Vingt fois sur le métier remettez votre ouvrage. Polissez-le sans cesse et le repolissez : Ajoutez quelquefois, et souvent effacez.
Page 49 - Surtout qu'en vos écrits la langue révérée Dans vos plus grands excès vous soit toujours sacrée. En vain vous me frappez d'un -son mélodieux Si le terme est impropre, ou le tour vicieux. Mon esprit n'admet point un pompeux barbarisme...
Page 27 - Encor si vous naissiez à l'abri du feuillage Dont je couvre le voisinage, Vous n'auriez pas tant à souffrir ; Je vous défendrais de l'orage : Mais vous naissez le plus souvent Sur les humides bords des royaumes du vent. La nature envers vous me semble bien injuste.
Page 192 - C'est ma seule prison qui t'a ravi ta foi. Ma fille, tendre objet de mes dernières peines, Songe au moins, songe au sang qui coule dans tes veines ! C'est le sang de...
Page 27 - Le chêne un jour dit au roseau : « Vous avez bien sujet d'accuser la nature ; Un roitelet pour vous est un pesant fardeau ; Le moindre vent qui d'aventure Fait rider la face de l'eau. Vous oblige à baisser la tête ; Cependant que mon front, au Caucase pareil, Non content d'arrêter les rayons du soleil, Brave l'effort de la tempête.
Page 85 - Cependant mon amour pour notre nation A rempli ce palais de filles de Sion , Jeunes et tendres fleurs par le sort agitées, Sous un ciel étranger comme moi transplantées. Dans un lieu séparé de profanes témoins, Je mets à les former mon étude et mes soins ; Et c'est là que, fuyant l'orgueil du diadème, Lasse des vains honneurs et me cherchant moi-même, Aux pieds de l'Éternel je viens m'humilier, Et goûter le plaisir de me faire oublier.
Page 88 - Quoi ? Lorsque vous voyez périr votre patrie, pour quelque chose, Esther, vous comptez votre vie ! Dieu parle, et d'un mortel vous craignez le courroux ! Que dis-je ? Votre vie, Esther, est-elle à vous ? N'est-elle pas au sang dont vous êtes issue...
Page 30 - S'il ne m'en laisse assez pour avoir un cochon. Le porc à s'engraisser coûtera peu de son ; II était, quand je l'eus, de grosseur raisonnable : J'aurai, le revendant, de l'argent bel et bon. Et qui m'empêchera de mettre en notre étable, Vu le prix dont il est*, une vache et son veau, Que je verrai sauter au milieu du troupeau ? Perrette là-dessus saute aussi, transportée : Le lait tombe ; adieu veau, vache, cochon, couvée.
Page 33 - J'ai dévoré force moutons. Que m'avaient-ils fait ? nulle offense. Même il m'est arrivé quelquefois de manger Le berger. Je me dévoûrai donc, s'il le faut ; mais je pense Qu'il est bon que chacun s'accuse ainsi que moi, Car on doit souhaiter, selon toute justice, Que le plus coupable périsse.