Séances et travaux de l'Académie des sciences morales et politiques, compte rendu, Volume 30, Part 4Felix Alcan, 1854 |
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Abel Rémusat allemand avaient Averroès Bhagavat Bodhisattva bonne loi Bouddha bouddhique Bouddhisme Brahmanes Brême chapitre choses classes Code autrichien Code d'instruction criminelle concours condamnation conséquences coupable crimes d'état civil d'Hiouen devant devoir Dieu dieux doctrine doit écrits émigrants esprit faculté famille femme Fichte Foe Koue Foucaux général Gerando gouvernement hermaphrodite hommes humaine ibid idées Idem individu institutions Introd juge jury justice Kant l'Académie l'accusé l'émigration l'empire l'esprit l'état l'hist l'homme l'inculpé l'un Lalitavistara législation liberté livre lois Lotus M. E. Burnouf madame d'Epinay madame d'Houdetot madame du Châtelet mémoire ment ministère public monde morale n'avait Nirvâna non-seulement nouveau Code ouvrage pays pénal pensée philosophie politique pratique première preuves principe procédure publique question raison règles religieux reste Rgya tch'er rol saint Saint-Lambert science secrétariat de l'Institut sentiment serait seul sexe siècle singhalais société sorte soûtras suivant sujet système Tathagata théodicée théorie Thomas Morus Thsang tion tribunal verdict véritable
Popular passages
Page 182 - La maîtresse n'était pas, à beaucoup près, si bien traitée. Elle tirait à peine alors du roi de Pologne de quoi avoir des jupes ; et cependant le jésuite enviait sa portion, et était furieusement jaloux de la marquise. Ils étaient ouvertement brouillés. Le pauvre roi avait tous les jours bien 70 de la peine, au sortir de la messe, à rapatrier sa maîtresse et son confesseur.
Page 432 - Les concurrents sont prévenus que l'Académie ne rendra aucun des ouvrages qui auront été envoyés au concours ; mais les auteurs auront la liberté d'en faire prendre des copies au secrétariat de l'Académie.
Page 182 - Menoux crut qu'une femme auteur réussirait mieux qu'une autre auprès de lui. Et le voilà qui vient à Cirey pour ourdir cette belle trame : il cajole madame du...
Page 200 - J'en conviens. — Il sent? — Assurément. — Il possède le technique du vers ? — Comme peu d'hommes. — Il a de l'oreille? — Mais oui. — Il est harmonieux? — Toujours. — Que lui manque-t-il donc pour être un poète? — Ce qui lui manque? c'est une âme qui se tourmente, un esprit violent, une imagination forte et bouillante, une lyre qui ait plus de cordes ; la sienne n'en a pas assez.
Page 199 - Pour avoir dit que tes vers sans génie « M'assoupissaient par leur monotonie , « Froid Saint-Lambert , je me vois séquestré. « Si tu voulais me punir à ton gré , « Point ne fallait me laisser ton poème: « Lui seul me rend mes chagrins moins amers , « Car de mes maux le remède suprême , « C'est le sommeil je le dois à tes vers.
Page 179 - Le temps que j'ai passé auprès de vous à Nancy l'a augmenté à un point dont je suis étonnée moi-même; mais, loin de me le reprocher, je sens un plaisir extrême à vous aimer, et c'est le seul qui puisse adoucir votre absence. Je suis...
Page 207 - L'envie a voulu y voir de la parure; il n'ya que de la beauté. » Il définit le jardin du roi et le cabinet d'histoire naturelle, une bibliothèque immense qui nous instruit toujours et ne peut jamais nous tromper. « Aristote, ajouta-t-il, et ce fut le dernier trait de sa réponse, pour rassembler sous ses yeux les productions de la nature, avait eu besoin qu'Alexandre fit la conquête du monde; pour rassembler un plus grand nombre des mêmes productions, que fallut-il à M. de Buffon? sa gloire.
Page 201 - Saisons : le plat ouvrage ! point de suite, point d'imagination ; une philosophie froide et déplacée : un berger et une bergère qui reviennent à tous moments ; des apostrophes sans cesse, tantôt au bon Dieu, tantôt à Bacchus ; les mœurs et les usages d'aucun pays; en un mot, c'est l'Arcadie encyclopédique.
Page 176 - Saint-Lambert, ce n'est que pour toi Que ces belles fleurs sont écloses; C'est ta main qui cueille les roses, Et les épines sont pour moi.
Page 197 - Genève et qu'on ne le rend point ; mais soyez très certain que c'est le seul de notre siècle qui passera à la postérité, parce que le fond en est utile, parce que tout y est vrai, parce qu'il brille presque partout d'une poésie charmante, parce qu'il ya une imagination toujours renaissante dans l'expression ; je déteste le fatras et le petit, et tout ce que je vois ailleurs est petit et fatras.