L'imagination ne reste point froide à l'aspect du labourage et des moissons. La simplicité de la vie pastorale et champêtre a toujours quelque chose qui touche. .Qu'on regarde les prés couverts de gens qui fanent et chantent, et des troupeaux épars... Oeuvres complètes - Page 423by Jean-Jacques Rousseau - 1865Full view - About this book
| Jean-Jacques Rousseau - 1806 - 348 pages
...ne reste point froide à l'aspect du labourage et des moissons. La simplicité de la vie pastorale et champêtre a toujours quelque chose qui touche. Qu'on regarde les prés couverts de gens qui iaiient et chantent , et des troupeaux épars dans l'éloignement, insensiblement on se sent attendri... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1817 - 636 pages
...ne reste point froide à l'aspect du labourage et des moissons. La simplicité de la vie pastorale et champêtre a toujours quelque chose qui touche....quelquefois encore la voix de la nature amollit nos cœurs fa- . rouches; et, quoiqu'on l'entende avec un regret inutile, elle est si douce qu'on ne l'entend... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1826 - 574 pages
...froide à l'aspect du labourage et des moissons. La simplicité de la vie pastorale et chamIpêtre a toujours quelque chose qui touche. Qu'on regarde...les prés couverts de gens qui fanent et chantent, , *--« " ' • • ' * * r ' 'II y faut ajouter la chasse; encore la font-ils si commodément, qu'ils... | |
| Jean Jacques Rousseau - 1826 - 568 pages
...ne reste point froide à l'aspect du labourage et des moissons. La simplicité de la vie pastorale et champêtre a toujours quelque chose qui touche....les prés couverts de gens qui fanent et chantent, ' ?1 y faut ajouter la chasse; encore la font-ils si commodément, qu'ils n'en ont pas la moitié de... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1832 - 436 pages
...ne reste point froide à l'aspect du labourage et des moissons. La simplicité de la vie pastorale et champêtre a toujours quelque chose qui touche....troupeaux épars dans l'éloignement; insensiblement on se t sent attendrir sans sayoir pourquoi. Ainsi quelquefois encore la voix de la nature amollit nos cœurs... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1831 - 1250 pages
...moissons. La simplicité de la vie pastorale et champêtre a toujours quelque chose qui touche. Qu'où regarde les prés couverts de gens qui fanent et chantent, et des troupeaux épars dans IV'loigiicmcnt, insensiblement ou se sent attendrir sans savoir pourquoi. (2<>) 11 faut ajouter la... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1836 - 844 pages
...ne resle poinl froide à l'aspect du labourage et des moissons. La simplicité de la vie pastorale et champêtre a toujours quelque chose qui touche....chantent, et des troupeaux épars dans l'éloignement ; insensiblemcnl on se sent attendrir sans savoir pourquoi. Ainsi quelquefois encore la voix de la... | |
| Jean-Jacques Rousseau - 1845 - 874 pages
...11 fournit trop pour être traitt! dans une note. J'aurai peutêtre occasion d'en parler ailleurs. quelque chose qui touche. Qu'on regarde les prés...qui fanent et chantent, et des troupeaux épars dans Péloignement ; insensiblement on se sent attendrir sans savoir pourquoi. Ainsi quelquefois encore... | |
| Jean-Charles Laveaux, Charles Joseph Marty-Laveaux - French language - 1847 - 762 pages
...déserteurs. Publier une amnistie. AMOIHDBIB. V. a. de la 2" conj . Il est peu usité. On dit diminuer. Ainsi quelquefois encore la voix de la nature amollit nos cœurs farouches. (J.-J. Rousseau.) AMONCELER. V. a. de la Í" conj. On double la lettre l dans les temps de ce verbe... | |
| Saucié - 1850 - 272 pages
...ne reste point froide à l'aspect du labourage et des moissons. La simplicité de la vie pastorale et champêtre a toujours quelque chose qui touche....Qu'on regarde les prés couverts de gens qui fanent et qui chantent *, et des troupeaux épars dans l'éloignement; insensiblement on se sent attendrir sans... | |
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