Revue du Lyonnais, Volume 4L. Boitel, 1836 - Lyon (France) |
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administrateurs Anselme armée arrêté arts assez avaient avons c'était canons Cantorbéry Chalier Champier chose cité citoyens Collot-d'Herbois comité commissaires commune conseil-général Convention nationale courrier Dalembert département de Rhône-et-Loire députés devait Dieu Directoire donner Dubois-Crancé église élevé enfants étoffes fabrique femme force frère Gaule général Doppet gloire GONON goût Grandchamp Hist hommes j'ai Jean Jean de Tournes jeune jour juges l'Académie l'an l'église laisser lettre livre long-temps lyonnaise Mâcon mains maire maison massacre ment Meynis mille ministre de l'intérieur mois Monsieur Mont-d'Or montagne Monte-Cuculli monuments mort Municipalité Nivière-Chol nombre ouvrage Paradin passer pensée père Perrache place place des Terreaux Pontigny porte Pravaz Précy premier président prison procureur procureur-général-syndic public publique représentants du peuple république reste révolutionnaire Rhône Rhône-et-Loire Roanne Rubys saint Saint-Nizier sang Saône sentiment sera seulement Severt siècle siége Société royale soie St-Nizier supplice Symphorien Thibière Thomas tion Tolomas toyens tribunal trouve
Popular passages
Page 305 - La ville de Lyon sera détruite. Tout ce qui fut habité par le riche sera démoli. Il ne restera que la maison du pauvre, les habitations des patriotes égorgés ou proscrits, les édifices spécialement employés à l'industrie et les monuments consacrés à l'humanité et à l'instruction publique.
Page 419 - Les méditations y prennent je ne sais quel caractère grand et sublime, proportionné aux objets qui nous frappent , je ne sais quelle volupté tranquille qui n'a rien d'acre et de sensuel. Il semble qu'en s'élevant au-dessus, du séjour des hommes on y laisse tous les sentiments bas et terrestres, et qu'à mesure qu'on approche des régions éthérées, l'âme contracte quelque chose de leur inaltérable pureté.
Page 403 - ... la vallée couverte de nuées orageuses, et l'on sourit d'entendre sous ses pas ce tonnerre qui gronda si longtemps sur la tête; on aime à voir à ses pieds ces sommets, jadis...
Page 512 - Et ne dit-il pas à ceux qui voulaient lapider la femme coupable d'adultère , que celui d'entre vous qui n'a jamais péché lui jette la première pierre?
Page 419 - En effet, c'est une impression générale qu'éprouvent tous les hommes, quoiqu'ils ne l'observent pas tous, que sur les hautes montagnes, où l'air est pur et subtil, on se sent plus de facilité dans la respiration, plus de légèreté dans le corps, plus de sérénité dans l'esprit; les plaisirs y sont moins ardents, les passions plus modérées.
Page 368 - ... le prix de la maind'œuvre , pour économiser le temps , pour perfectionner la fabrication , pour introduire de nouvelles branches d'industrie , etc. Les artistes qui veulent concourir peuvent s'adresser, dans tous les temps , à MM.
Page 368 - A la même époque , seront distribués les prix d'encouragement fondés par M. le duc de Plaisance, et destinés aux artistes qui...
Page 421 - Sur les terres basses, c'est une nécessité que l'homme naturel soit sans cesse altéré, en respirant cette atmosphère sociale si épaisse, si orageuse, si pleine de fermentation, toujours ébranlée par le bruit des arts, le fracas des plaisirs ostensibles, les cris de la haine et les perpétuels gémissements de l'anxiété et des douleurs. Mais là, sur ces monts déserts, où le ciel est immense, où l'air est plus fixe, et les temps moins rapides, et la vie plus permanente; là, la nature...
Page 305 - ... élevé sera anéanti , et sur les débris de cette ville superbe et rebelle , qui fut assez corrompue pour demander un maître , le voyageur verra avec satisfaction quelques monuments simples, élevés à la mémoire des martyrs de la liberté , et des chaumières éparses que les amis de l'égalité s'empresseront de venir habiter, pour y vivre heureux des bienfaits de la nature.
Page 70 - ... produire la sensation du comique par exemple en raisonnant sur la comédie, défaut commun en France, mais à faire avancer la science. Je me transporte sur la frontière. Je ne répète point ce qui me semble connu. QUELQUES PRINCIPES...