| Voltaire - 1728 - 272 pages
...carnage échauffez. Criant à haute voix, qu'on n'épargne perfonne, C'eft Dieu, c'eft Medicis, c'eft le Roi qui l'ordonne. Il entend retentir le nom de Coligny. Il aperçoit de loin le jeune Teligny, Teligny dont l'amour a mérité fa fille, L'efpoir de fon parti, l'honneur de fa famille,... | |
| Voltaire - France - 1728 - 242 pages
...à haute voix, qu'on n'épargne perfonne, C'eft Dieu, c'eft Medicis, c'eft le Roi qui l'ordonne, II entend retentir le nom de Coligny. Il aperçoit de loin le jeune Teligny, Teligny dont l'amour a mérité fa fille, L'efpoir de fon parti, l'honneur de fa famille,... | |
| Voltaire - French literature - 1756 - 452 pages
...Son Palais embrafé , tout un peuple en allarmes^ Ses ferviteurs fanglans dans la flamme étouffes , Les meurtriers en foule au carnage échauffés , Criant à haute voix : » Qu'on n'épargne perfoune , i90 » C'eft Dieu , c'eft Médicis , c'eft le Roi qui l'ordonne. « II entend retentir le... | |
| Voltaire - 1757 - 432 pages
...les flambeaux & les armesj Son Palais embrafé, tout un Peuple en allarmes, Ses ferviteurs fanglans dans la flamme étouffés , Les meurtriers en foule...échauffés, Criant à haute voix : „ Qu'on n'épargne perfonne, „ C'eft Dieu, c'eft Médicis, c'eft le Roi qui l'ordonne. La Henriade , &c. CB qui ouvrirent... | |
| Voltaire - 1761 - 300 pages
...pihi? embrafé, tout un peuple en ail arme*t' Ses fcrviteurs fanfl?ns dans la flamme étouffés , tes meurtriers en foule au carnage échauffés , Criant à haute voix : » Qu'on n'épargne perfonnc , i yo » C'eft Dieu , c'eft Médicis , c'eft le Roi qui » l'ordonne. » II entend retentir... | |
| Voltaire - 1765 - 462 pages
...;ur,ies, Son Palais embraie , tour un peuple en allarnaes. , Ses ferviteurs fanglans dans la flàme étouffés, Les meurtriers en foule au carnage échauffés , Criant à haute voix : » Qu'on n'épargne perfonne ; Wo » C'eft Dieu , c'eft Médicis , c'eft le Roi qui l'or» donne «. Il entend retentir... | |
| abbé Sabatier de Castres (Antoine) - French literature - 1770 - 750 pages
...les flambeaux & les armes ï Son palais embrafé, tout fon peuple en alarmes; Ses ferviteurs fanglans dans la flamme étouffés ; Les meurtriers en foule...échauffés , Criant à haute voix : « Qu'on n'épargne perfonne ! » C'eft Dieu, c'eft Médicïs, c'eft le Roi qui l'or» donne ! » II entend retentir le... | |
| France - 1772 - 772 pages
...ffambeaux & le* armes, . Son palais embrafé, tout un peuple en ailarmes , Ses ferviteurs fanglans dans la flamme. étouffés, Les meurtriers en foule...échauffés,. Criant à haute voix ." » qu'on n'épargne per» fonne ; » Ceft Dieu , c'eft Médicis , c'eft le Roi qui » l'ordonne. « Je conçois aifém.'nt... | |
| Voltaire - 1772 - 504 pages
...flambeaux & les armes i ', Son Palais embrâfc, toui un Peuple en alarmes , Ses ferviteurs fanglans , par la flamme étouffés , Les meurtriers en foule au...échauffés , Criant à haute voix :'« Qu'on n'épargne perfonne , M C'eft Dieu , c'efl Médicis , c'eft le Roi quU'ordonne ».. Il entend retentir le nom... | |
| Voltaire - 1772 - 418 pages
...les armes,. Son palais embrafé, tout un peuple en allarmes, Ses ferviteurs fanglans d.ms' la riamr^e étouffés , Les meurtriers en foule au carnage échauffés , Criant à haute voix : " Qu'on n'épargne perfonne , „ C'eft Dieu , c'eft Médicis , c'eft le roi qui l'ordonne, II entend repentir le n^m... | |
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